Dans le cadre de la préparation au Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré (CAPES), 39 professeurs stagiaires ont reçu leur affectation en Polynésie française. Celle-ci leur a été signifiée vendredi 10 août, par le ministre de l’Education, Tauhiti Nena.
Cette année, 102 élèves professeurs étaient admissibles à l'examen du CAPES, 52 ont été reçus, 39 effectueront donc leur année de stage de validation en Polynésie.
Une petite victoire du ministre de l’Education, pas peu fier de la situation et très éloquent sur les vertus d’une décision politique prise, prise le 17 juin dernier à Paris, à la faveur du changement de majorité parlementaire, en métropole.
La promotion 2011 des « capésiens » s’était trouvée au cœur de démêlés politico-juridique et d’un bras de fer entre le ministre de l’Education et les représentants de l’Etat, Haut Commissaire et vice-recteur, sur fond de refus d’effectuer un stage ailleurs qu’en Polynésie.
Vingt-deux d’entre eux avaient cependant été affectés malgré tout en Polynésie française, sans l’accord du vice-rectorat, ni du Ministère de l’Education nationale.
>> Lire aussi : Les 22 professeurs stagiaires expliquent leur refus de partir en métropole
« Vous serez payés en septembre ou octobre », a souligné Tauhiti Nena dans un soulagement général des professeurs stagiaires, vendredi matin. « Pas en février ou mars. Il n’y a plus de soucis. »
L’occasion pour la directrice de la Direction des enseignements secondaires , Aline Heitaa-Archier, de préciser à l’attention des futurs professeurs mais en s’adressant au ministre : « Je profite de votre présence pour leur rappeler : on a besoin de vous dans les archipels éloignés et pas seulement à Tahiti ».
Cette année, 102 élèves professeurs étaient admissibles à l'examen du CAPES, 52 ont été reçus, 39 effectueront donc leur année de stage de validation en Polynésie.
Une petite victoire du ministre de l’Education, pas peu fier de la situation et très éloquent sur les vertus d’une décision politique prise, prise le 17 juin dernier à Paris, à la faveur du changement de majorité parlementaire, en métropole.
La promotion 2011 des « capésiens » s’était trouvée au cœur de démêlés politico-juridique et d’un bras de fer entre le ministre de l’Education et les représentants de l’Etat, Haut Commissaire et vice-recteur, sur fond de refus d’effectuer un stage ailleurs qu’en Polynésie.
Vingt-deux d’entre eux avaient cependant été affectés malgré tout en Polynésie française, sans l’accord du vice-rectorat, ni du Ministère de l’Education nationale.
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« Vous serez payés en septembre ou octobre », a souligné Tauhiti Nena dans un soulagement général des professeurs stagiaires, vendredi matin. « Pas en février ou mars. Il n’y a plus de soucis. »
L’occasion pour la directrice de la Direction des enseignements secondaires , Aline Heitaa-Archier, de préciser à l’attention des futurs professeurs mais en s’adressant au ministre : « Je profite de votre présence pour leur rappeler : on a besoin de vous dans les archipels éloignés et pas seulement à Tahiti ».
