Il a déjà mis sa ceinture en jeu en juillet dernier à Païta, en Nouvelle-Calédonie, contre Yoann Bloyer. Le représentant de Païta a fait vibrer l’Arène du Sud en remportant le combat par arrêt de l’arbitre au 3ème round. Cette-fois ci, le champion remet son titre en jeu sur les terres Maohi et compte bien le conserver.
Dans le coin opposé, on retrouvera l’enfant du fenua, Cédric Bellais. Plus jeune mais plus expérimenté, Cédric sera un adversaire de taille pour le champion Calédonien. Le puncheur tahitien est âgé de 27ans, il détient 30 combats à son palmarès avec 18 victoires (8 K.O.), 8 défaites (3 K.O.) et 3 nuls. En 7 ans de carrière professionnelle, il a forgé sa boxe dans les clubs français et dans la prestigieuse écurie américaine coaché par Abel Sanchez. L’enfant de Punaauia a su franchir un parcours semé d’embuches sous l’aile de son père Hokini Bellais.
En 2013, il remporte la coupe de la ligue puis l’année dernière il décroche le titre WBF en dévastant le croate Tomas Man dès le premier round, sur un crochet du gauche. Cette année, Cédric s’est attaqué au circuit européen où il a fait face à des ténors du noble art. Les rencontres ne se sont pas soldées en faveur du tahitien même ci ce dernier n’a pas démérité. Après ces deux défaites consécutives « le requin blanc », comme le surnomment ses frères d’armes, a faim de victoire.
Conserver sa ceinture coûte que coûte pour l’un, décrocher le titre devant son public pour l’autre ; pour les deux pugilistes l’enjeu est de taille. Qui de ces deux aito du Pacifique décrochera le Graal ? Le verdict sera rendu samedi soir à Fautaua à partir de 20h00.
Dans le coin opposé, on retrouvera l’enfant du fenua, Cédric Bellais. Plus jeune mais plus expérimenté, Cédric sera un adversaire de taille pour le champion Calédonien. Le puncheur tahitien est âgé de 27ans, il détient 30 combats à son palmarès avec 18 victoires (8 K.O.), 8 défaites (3 K.O.) et 3 nuls. En 7 ans de carrière professionnelle, il a forgé sa boxe dans les clubs français et dans la prestigieuse écurie américaine coaché par Abel Sanchez. L’enfant de Punaauia a su franchir un parcours semé d’embuches sous l’aile de son père Hokini Bellais.
En 2013, il remporte la coupe de la ligue puis l’année dernière il décroche le titre WBF en dévastant le croate Tomas Man dès le premier round, sur un crochet du gauche. Cette année, Cédric s’est attaqué au circuit européen où il a fait face à des ténors du noble art. Les rencontres ne se sont pas soldées en faveur du tahitien même ci ce dernier n’a pas démérité. Après ces deux défaites consécutives « le requin blanc », comme le surnomment ses frères d’armes, a faim de victoire.
Conserver sa ceinture coûte que coûte pour l’un, décrocher le titre devant son public pour l’autre ; pour les deux pugilistes l’enjeu est de taille. Qui de ces deux aito du Pacifique décrochera le Graal ? Le verdict sera rendu samedi soir à Fautaua à partir de 20h00.
Parole à Cédric Bellais :
« Je suis prêt pour ce combat. Je sais que l’enjeu est important pour moi mais je ne me mets pas de pression. Je ne connais pas le style de boxe de mon adversaire et c’est mieux comme ça. Peu importe qui j’affronte, je vais me donner à fond, pour moi, pour ma famille et pour toute la Polynésie. Tout ce que je sais, c’est que ça sera un adversaire coriace car il a fait preuve de courage en acceptant de venir ici pour remettre son titre en jeu. Quant à moi, je ne vais pas le décevoir, je vais donner tout ce que j’ai et que le meilleur gagne. »
« Je suis prêt pour ce combat. Je sais que l’enjeu est important pour moi mais je ne me mets pas de pression. Je ne connais pas le style de boxe de mon adversaire et c’est mieux comme ça. Peu importe qui j’affronte, je vais me donner à fond, pour moi, pour ma famille et pour toute la Polynésie. Tout ce que je sais, c’est que ça sera un adversaire coriace car il a fait preuve de courage en acceptant de venir ici pour remettre son titre en jeu. Quant à moi, je ne vais pas le décevoir, je vais donner tout ce que j’ai et que le meilleur gagne. »
