Photo JPT
PARIS, 30 oct 2012 (AFP) - Jean-Louis Borloo, président de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) a déclaré que les outre-mer étaient "vitaux" pour la France, mardi lors d'une réunion avec des parlementaires de sa nouvelle formation, dont ceux de Polynésie et de Nouvelle-Calédonie qui y ont tous adhéré.
"Nos outre-mer sont vitaux pour notre pays. Ils sont le concentré de toutes les réussites possibles de notre République", a affirmé M. Borloo à la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris.
Il y a reçu la coutume, c'est-à-dire des cadeaux, dont un chambranle miniature, comme il s'en dresse à l'entrée des cases traditionnelles kanak.
Parmi les "richesses" énumérées, l'ancien ministre de l'Ecologie a mis l'accent sur le "vivre ensemble" dans ces territoires, la possibilité d'en faire un "laboratoire avancé pour un développement durable et totalement soutenable" via notamment les énergies renouvelables et la "biodiversité".
"La mer et les océans sont les richesses du XXIe siècle mais à condition de les respecter", a affirmé M. Borloo qui a prévu de "passer de huit à dix jours dans le Pacifique, très bientôt".
Récusant tout calcul politique dans le fait d'avoir capté dans son groupe les trois députés polynésiens et les deux Calédoniens (ex-UMP) au détriment de l'UMP, il a plutôt mis l'accent sur "la rencontre".
"On ne raisonne pas en parts de marché, il se trouve qu'on s'est rencontrés, on s'est pris dans les bras et on essaie de faire équipe", a-t-il dit.
"Ce qui nous rassemble, c'est l'ouverture d'esprit", a-t-il fait valoir, "nous n'avons pas peur des autres, il est normal que nous soyons la formation politique des outre-mer".
Il a toutefois concédé un certain "retard" dans l'implantation aux Antilles et à la Réunion.
Au sein des instances de l'UDI, M. Borloo envisage la création d'un poste dédié à l'outre-mer mais pas occupé par un parlemenaire ultramarin et à l'inverse de confier à des parlementaires d'outre-mer "des responsabilités régaliennes".
Parmi les parlementaires UDI de métropole avaient notamment fait le déplacement Yves Jégo (ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-mer du gouvernement Fillon), et les sénateurs François Zocchetto (président du groupe UDI), Chantal Jouanno et Philippe Pozzo di Borgo.
"Nos outre-mer sont vitaux pour notre pays. Ils sont le concentré de toutes les réussites possibles de notre République", a affirmé M. Borloo à la Maison de la Nouvelle-Calédonie à Paris.
Il y a reçu la coutume, c'est-à-dire des cadeaux, dont un chambranle miniature, comme il s'en dresse à l'entrée des cases traditionnelles kanak.
Parmi les "richesses" énumérées, l'ancien ministre de l'Ecologie a mis l'accent sur le "vivre ensemble" dans ces territoires, la possibilité d'en faire un "laboratoire avancé pour un développement durable et totalement soutenable" via notamment les énergies renouvelables et la "biodiversité".
"La mer et les océans sont les richesses du XXIe siècle mais à condition de les respecter", a affirmé M. Borloo qui a prévu de "passer de huit à dix jours dans le Pacifique, très bientôt".
Récusant tout calcul politique dans le fait d'avoir capté dans son groupe les trois députés polynésiens et les deux Calédoniens (ex-UMP) au détriment de l'UMP, il a plutôt mis l'accent sur "la rencontre".
"On ne raisonne pas en parts de marché, il se trouve qu'on s'est rencontrés, on s'est pris dans les bras et on essaie de faire équipe", a-t-il dit.
"Ce qui nous rassemble, c'est l'ouverture d'esprit", a-t-il fait valoir, "nous n'avons pas peur des autres, il est normal que nous soyons la formation politique des outre-mer".
Il a toutefois concédé un certain "retard" dans l'implantation aux Antilles et à la Réunion.
Au sein des instances de l'UDI, M. Borloo envisage la création d'un poste dédié à l'outre-mer mais pas occupé par un parlemenaire ultramarin et à l'inverse de confier à des parlementaires d'outre-mer "des responsabilités régaliennes".
Parmi les parlementaires UDI de métropole avaient notamment fait le déplacement Yves Jégo (ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-mer du gouvernement Fillon), et les sénateurs François Zocchetto (président du groupe UDI), Chantal Jouanno et Philippe Pozzo di Borgo.
