Jeudi 4 juillet 2013. Bixente Lizarazu, le footballeur champion du monde 1998 avec l’équipe de France, est actuellement à Tahiti. Tahiti Infos a pu le rencontrer avec Teva Zaveroni et ses amis. Teva était en instance de départ pour la Suisse pour la préparation de la coupe du monde de beach soccer de la sélection tahitienne, dont il est le capitaine.
Bixente, originaire du pays basque, est bien connu à Tahiti puisqu’il vient régulièrement. Il a, une fois encore, démontré sa ‘cool attitude’ en se prêtant avec simplicité au jeu des photos de fans, nombreux à le reconnaître pendant l’interview.
On connaît la passion pour la mer et le surf de Bixente. Il a la chance de vivre la Polynésie à travers des amis comme Teva Zaveroni ou encore Raimana Van Bastolaer et leur ‘Mataiea life style’.
Teva Zaveroni vient d’organiser une compétition pluri-disciplinaire à Papara avec du surf, du stand up paddle, du bodyboard et du beach soccer. L’événement parrainé par Michel Bourez et son sponsor Hurley Europe - représenté par Philippe Malvaux - a été une réussite.
Bixente Lizarazu a anticipé sa venue pour venir soutenir son ami Teva Zaveroni dans cette initiative, en étant lui aussi parrain de l’édition 2013.
Bixente Lizarazu au micro de Tahiti Infos :
Qu’est ce qui te fait revenir en Polynésie ?
« Le mana (rires, long silence)… Oui je crois que c’est ça. C’est cet esprit, je ne sais pas, à chaque fois que je viens, on a le mana pour qu’à chaque fois il se passe des choses incroyables. Quand c’est pour le surf on a des conditions incroyables, hier on a été à la pêche et cela a été une belle pêche. J’ai la chance d’être avec des locaux, d’avoir des amis d’ici, cela change tout. C’est très bien les grands hôtels mais si tu as envie de connaître Tahiti, la Polynésie c’est évidemment avec les locaux que tu vas la connaître, en vivant avec eux et j’ai été super bien accueilli par Raimana et par Teva. Ce sont mes deux amis les plus proches qui me font découvrir leur Tahiti, chacun à sa façon, Raimana avec ses vagues, Teva avec le foot et son équipe de beach soccer. »
« C’est ce qui a fait que j’ai accepté de venir. Cette amitié avec Teva date depuis notre venue avec ‘France 98’ à Tahiti en 2008. Teva était mon guide parce qu’il savait que j’adorais le surf donc un footballeur-surfeur cela collait bien et c’est comme ça que notre amitié est née. »
Vous avez ces passions en commun, la balle et la vague ?
« Le foot et le surf moi je trouve ça complémentaire. Le beach soccer se pratique sur du sable donc tu peux évidemment le pratiquer près d’une plage. Tu peux lier une compétition de surf ou de SUP avec du beach soccer sans problème. Elle réunit les univers qui plaisent à Teva. Naturellement j’ai accepté de venir et d’être une sorte de parrain de l’édition 2013, j’ai avancé mon séjour par amitié pour lui et soutenir une épreuve que j’ai trouvé très bien organisée. Franchement…Car il y avait énormément d’épreuves et enchaîner tout ça, je sais ce que c’est… Ils ont fait un super boulot. Je me suis régalé à la compétition de SUP, c’était sympa, simple, une bonne aventure rigolote et on a fait une bonne partie de foot aussi avec Pascal Vahirua. Ces choses là, tu les vis parce que tu es dans la vraie vie des gens. »
« J’ai rarement vu un accueil pareil. Le légendaire accueil tahitien est pour moi une réalité. Ils te donnent tout, voilà. »
Tu vas suivre la coupe du monde de beach soccer ?
« Oui je vais suivre la coupe du monde de beach soccer parce qu’il y a Teva. Ils vont en Suisse pour leur préparation, ils vont s’entraîner deux fois par jour. Il m’a dit qu’il avait une équipe compétitive, ils ont battu de belles nations, je connais ses objectifs mais je ne veux pas le mettre dans l’embarras, c’est à lui d’en parler. »
Que pense-tu du parcours des Toa Aito à la coupe des confédérations ?
« J’ai suivi de loin la coupe des confédérations parce que j’ai ‘bouffé du foot’ depuis plus de 10 mois, j’ai deux mois de break ou c’est nécessaire d’oublier un peu tout ça mais j’ai vu qu’ils ont réussi à marquer et je pense que c’est déjà fantastique de se retrouver là, d’avoir la chance de jouer contre l’Espagne, une équipe qui a marqué l’histoire. Nous, on avait gagné une coupe du monde et un championnat d’Europe, eux deux championnats d’Europe et une coupe du monde. C’est en jouant des compétitions comme celles-là que l’on progresse. Ils sont tous rentrés avec le sourire, avec de la fierté . »
Tes objectifs ?
« J’ai un projet à Tahiti, mais j’en parlerai au moment voulu. »
SB
Bixente, originaire du pays basque, est bien connu à Tahiti puisqu’il vient régulièrement. Il a, une fois encore, démontré sa ‘cool attitude’ en se prêtant avec simplicité au jeu des photos de fans, nombreux à le reconnaître pendant l’interview.
On connaît la passion pour la mer et le surf de Bixente. Il a la chance de vivre la Polynésie à travers des amis comme Teva Zaveroni ou encore Raimana Van Bastolaer et leur ‘Mataiea life style’.
Teva Zaveroni vient d’organiser une compétition pluri-disciplinaire à Papara avec du surf, du stand up paddle, du bodyboard et du beach soccer. L’événement parrainé par Michel Bourez et son sponsor Hurley Europe - représenté par Philippe Malvaux - a été une réussite.
Bixente Lizarazu a anticipé sa venue pour venir soutenir son ami Teva Zaveroni dans cette initiative, en étant lui aussi parrain de l’édition 2013.
Bixente Lizarazu au micro de Tahiti Infos :
Qu’est ce qui te fait revenir en Polynésie ?
« Le mana (rires, long silence)… Oui je crois que c’est ça. C’est cet esprit, je ne sais pas, à chaque fois que je viens, on a le mana pour qu’à chaque fois il se passe des choses incroyables. Quand c’est pour le surf on a des conditions incroyables, hier on a été à la pêche et cela a été une belle pêche. J’ai la chance d’être avec des locaux, d’avoir des amis d’ici, cela change tout. C’est très bien les grands hôtels mais si tu as envie de connaître Tahiti, la Polynésie c’est évidemment avec les locaux que tu vas la connaître, en vivant avec eux et j’ai été super bien accueilli par Raimana et par Teva. Ce sont mes deux amis les plus proches qui me font découvrir leur Tahiti, chacun à sa façon, Raimana avec ses vagues, Teva avec le foot et son équipe de beach soccer. »
« C’est ce qui a fait que j’ai accepté de venir. Cette amitié avec Teva date depuis notre venue avec ‘France 98’ à Tahiti en 2008. Teva était mon guide parce qu’il savait que j’adorais le surf donc un footballeur-surfeur cela collait bien et c’est comme ça que notre amitié est née. »
Vous avez ces passions en commun, la balle et la vague ?
« Le foot et le surf moi je trouve ça complémentaire. Le beach soccer se pratique sur du sable donc tu peux évidemment le pratiquer près d’une plage. Tu peux lier une compétition de surf ou de SUP avec du beach soccer sans problème. Elle réunit les univers qui plaisent à Teva. Naturellement j’ai accepté de venir et d’être une sorte de parrain de l’édition 2013, j’ai avancé mon séjour par amitié pour lui et soutenir une épreuve que j’ai trouvé très bien organisée. Franchement…Car il y avait énormément d’épreuves et enchaîner tout ça, je sais ce que c’est… Ils ont fait un super boulot. Je me suis régalé à la compétition de SUP, c’était sympa, simple, une bonne aventure rigolote et on a fait une bonne partie de foot aussi avec Pascal Vahirua. Ces choses là, tu les vis parce que tu es dans la vraie vie des gens. »
« J’ai rarement vu un accueil pareil. Le légendaire accueil tahitien est pour moi une réalité. Ils te donnent tout, voilà. »
Tu vas suivre la coupe du monde de beach soccer ?
« Oui je vais suivre la coupe du monde de beach soccer parce qu’il y a Teva. Ils vont en Suisse pour leur préparation, ils vont s’entraîner deux fois par jour. Il m’a dit qu’il avait une équipe compétitive, ils ont battu de belles nations, je connais ses objectifs mais je ne veux pas le mettre dans l’embarras, c’est à lui d’en parler. »
Que pense-tu du parcours des Toa Aito à la coupe des confédérations ?
« J’ai suivi de loin la coupe des confédérations parce que j’ai ‘bouffé du foot’ depuis plus de 10 mois, j’ai deux mois de break ou c’est nécessaire d’oublier un peu tout ça mais j’ai vu qu’ils ont réussi à marquer et je pense que c’est déjà fantastique de se retrouver là, d’avoir la chance de jouer contre l’Espagne, une équipe qui a marqué l’histoire. Nous, on avait gagné une coupe du monde et un championnat d’Europe, eux deux championnats d’Europe et une coupe du monde. C’est en jouant des compétitions comme celles-là que l’on progresse. Ils sont tous rentrés avec le sourire, avec de la fierté . »
Tes objectifs ?
« J’ai un projet à Tahiti, mais j’en parlerai au moment voulu. »
SB
