La Déléguée de la Polynésie française, Maeva Salmon a présenté mardi après-midi, l’ensemble des manifestations culturelles que la Délégation organisera à Paris jusqu’en décembre, dans le cadre de l’Année des Outre-mer.
Cette série d’évènements baptisée Hotu Ma’ohi (ndlr : richesses polynésiennes) impliquera une soixantaine d’acteurs et associera près d’une vingtaine de partenaires polynésiens et nationaux.
« C’est la première fois que la Délégation de la Polynésie française et le Pays entreprennent une manifestation de cette envergure à Paris » a souligné Maeva Salmon, précisant que l’objectif était de « mettre en avant l’excellence de la culture polynésienne ».
« Nous avons notamment fait appel à des scientifiques réputés et des auteurs polynésiens de renom pour que cette belle culture polynésienne soit mise à son réel niveau » a-t-elle insisté.
Hotu Ma’ohi débutera mi-mai à la mairie du 1er arrondissement par l’exposition « Tai Kahano, une pirogue des îles Marquises », conçue autour d’une maquette à l’échelle 1/7ème de l’embarcation polynésienne, et invitant chacun à découvrir les techniques de navigation et les cultures vivantes de l’archipel.
Du 31 mai au 3 juin, une sélection de films primés au Festival International du Film documentaire Océanien (FIFO) sera proposée au Musée du Quai Branly. Les projections seront suivies de conférences-débats sur les thèmes du Fa’amu (ndlr : adoption), de la religion et des identités, ou encore des arts vivants, des danses et des tatouages.
Partager ce qui nous tient à coeur
Celles-ci bénéficieront notamment des interventions de Simone Grand et Manouche Lehartel.
D’autres conférences auront lieu, par ailleurs, à l’Hôtel de Ville de Paris, à la Délégation de la Polynésie française et à la Maison des associations du 16ème arrondissement.
Diverses manifestations seront en outre organisées dans le cadre de Hotu Ma’ohi. Parmi elles, des ateliers de contes et légendes, de danse et de tatouage au Musée du Quai Branly, des « Tamure Marathon » en bord de Seine ou encore l’exposition de photos et d’objets d’art polynésiens à la Maison de l’Océanie.
« Nous proposerons des choses qui nous tiennent à cœur et que nous souhaitons partager avec les populations qui vivent à Paris ou qui ont l’occasion de venir d’un peu plus loin » a souligné Maeva Salmon.
« L’objectif est de pérenniser cet évènement, Hotu Ma’ohi, et faire en sorte que chaque année, de mai à juin, la Polynésie soit présente à Paris » a-t-elle conclu.
Cette série d’évènements baptisée Hotu Ma’ohi (ndlr : richesses polynésiennes) impliquera une soixantaine d’acteurs et associera près d’une vingtaine de partenaires polynésiens et nationaux.
« C’est la première fois que la Délégation de la Polynésie française et le Pays entreprennent une manifestation de cette envergure à Paris » a souligné Maeva Salmon, précisant que l’objectif était de « mettre en avant l’excellence de la culture polynésienne ».
« Nous avons notamment fait appel à des scientifiques réputés et des auteurs polynésiens de renom pour que cette belle culture polynésienne soit mise à son réel niveau » a-t-elle insisté.
Hotu Ma’ohi débutera mi-mai à la mairie du 1er arrondissement par l’exposition « Tai Kahano, une pirogue des îles Marquises », conçue autour d’une maquette à l’échelle 1/7ème de l’embarcation polynésienne, et invitant chacun à découvrir les techniques de navigation et les cultures vivantes de l’archipel.
Du 31 mai au 3 juin, une sélection de films primés au Festival International du Film documentaire Océanien (FIFO) sera proposée au Musée du Quai Branly. Les projections seront suivies de conférences-débats sur les thèmes du Fa’amu (ndlr : adoption), de la religion et des identités, ou encore des arts vivants, des danses et des tatouages.
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Celles-ci bénéficieront notamment des interventions de Simone Grand et Manouche Lehartel.
D’autres conférences auront lieu, par ailleurs, à l’Hôtel de Ville de Paris, à la Délégation de la Polynésie française et à la Maison des associations du 16ème arrondissement.
Diverses manifestations seront en outre organisées dans le cadre de Hotu Ma’ohi. Parmi elles, des ateliers de contes et légendes, de danse et de tatouage au Musée du Quai Branly, des « Tamure Marathon » en bord de Seine ou encore l’exposition de photos et d’objets d’art polynésiens à la Maison de l’Océanie.
« Nous proposerons des choses qui nous tiennent à cœur et que nous souhaitons partager avec les populations qui vivent à Paris ou qui ont l’occasion de venir d’un peu plus loin » a souligné Maeva Salmon.
« L’objectif est de pérenniser cet évènement, Hotu Ma’ohi, et faire en sorte que chaque année, de mai à juin, la Polynésie soit présente à Paris » a-t-elle conclu.
