CHRISTCHURCH, lundi 3 février 2014 (Flash d’Océanie) – Chris Davies, propriétaire d’un pub de la ville de Christchurch (île du Sud de la Nouvelle-Zélande), a mis en place ce week-end une mesure originale pour ses clients : les faire souffler dans un analyseur d’haleine, en mode alcootest, afin d’identifier les plus imbibés d’entre eux, rapporte la télévision nationale privée TV3.
Selon lui, cette mesure est le fruit de « longs mois de réflexion ». et elle a pour principal objectif de couper court à toute discussion face à des clients qui refusent d’admettre qu’ils sont ivres ou au-delà de la limite autorisée d’alcoolémie.
« Avec une machine, on ne discute pas et donc ils acceptent plus facilement », a-t-il commenté.
Ce patron de pub a même décidé d’ajouter un autre outil à cette panoplie : des scanneurs qui conservent la photo des clients le temps de leur présence et après leur entrée dans l'établissement de débit de boissons.
Avec ensuite la possibilité, en cas de trouble ultérieurs, de transmettre ces données à la police.
« C’est comme si je remettais à la police mes bandes vidéo des caméras de surveillance. Après tout, si on n’a rien à cacher, où est le problème ? », a-t-il justifié.
En Nouvelle-Zélande, de nouveaux textes, plus durs, concernant la consommation d’alcool, sont entrés en vigueur en décembre 2013.
pad
Selon lui, cette mesure est le fruit de « longs mois de réflexion ». et elle a pour principal objectif de couper court à toute discussion face à des clients qui refusent d’admettre qu’ils sont ivres ou au-delà de la limite autorisée d’alcoolémie.
« Avec une machine, on ne discute pas et donc ils acceptent plus facilement », a-t-il commenté.
Ce patron de pub a même décidé d’ajouter un autre outil à cette panoplie : des scanneurs qui conservent la photo des clients le temps de leur présence et après leur entrée dans l'établissement de débit de boissons.
Avec ensuite la possibilité, en cas de trouble ultérieurs, de transmettre ces données à la police.
« C’est comme si je remettais à la police mes bandes vidéo des caméras de surveillance. Après tout, si on n’a rien à cacher, où est le problème ? », a-t-il justifié.
En Nouvelle-Zélande, de nouveaux textes, plus durs, concernant la consommation d’alcool, sont entrés en vigueur en décembre 2013.
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