Alors que le Conseil d’administration d’Air Tahiti Nui, abrégé vendredi dernier, n’a toujours pas été reconvoqué par le président directeur général de la compagnie Cédric Pastour, l’Union pour l’Avenir d’Air Tahiti Nui tient à faire une mise au point ce mardi. « Nous n’avons jamais préconisé une centaine de licenciements contrairement à ce qui a été dit sur une chaîne de télévision locale » précise son secrétaire général, Reiarii Tru, qui s’alarme des conséquences que pourraient avoir ces rumeurs sur la crédibilité de son jeune syndicat.
« Le syndicat a une position claire et constante depuis le début. Depuis le juillet, nous disons que l’entreprise est au plus mal et que les prévisions ne sont pas optimistes. Pour préserver nos emplois, il faudra faire des efforts, aussi bien du côté des employés que du Pays, et de tous les acteurs économiques qui gravitent autour d’ATN aujourd’hui. »
« Nous n’avons jamais suggéré une centaine de licenciements » continue Raiarii Tru. « C’est inconcevable de la part d’un syndicat de préconiser des licenciements ! Par contre on dit que nous sommes prêts à faire des concessions pour garantir la pérennité de l’entreprise, que ce soit sur le 13ème mois, ou sur le gel des salaires….à condition d’obtenir des garanties sur la viabilité de la société. »
La direction aurait déjà proposé un plan de départs volontaires, qui concernerait une quarantaine de personnes. L’Union pour l’Avenir d’Air Tahiti Nui suggère qu’il soit élargi à l’ensemble du personnel. « Nous avons fait nos propositions, à la direction de revenir avec des chiffres. Pour l’heure, on n’est au courant de rien » explique Reiarii Tru.
Cédric Pastour a bien envoyé ce mardi une note à tous ses salariés résumant le déroulement du conseil d’administration de vendredi dernier. Mais ne s’est pas exprimé sur la suite des événements. « Un tel silence radio c’est du jamais vu. Nous sommes inquiets » s’alarme Reiarii Tru. Cédric Pastour doit briser son silence demain : il a prévu d’accorder des interviews aux médias.
« Le syndicat a une position claire et constante depuis le début. Depuis le juillet, nous disons que l’entreprise est au plus mal et que les prévisions ne sont pas optimistes. Pour préserver nos emplois, il faudra faire des efforts, aussi bien du côté des employés que du Pays, et de tous les acteurs économiques qui gravitent autour d’ATN aujourd’hui. »
« Nous n’avons jamais suggéré une centaine de licenciements » continue Raiarii Tru. « C’est inconcevable de la part d’un syndicat de préconiser des licenciements ! Par contre on dit que nous sommes prêts à faire des concessions pour garantir la pérennité de l’entreprise, que ce soit sur le 13ème mois, ou sur le gel des salaires….à condition d’obtenir des garanties sur la viabilité de la société. »
La direction aurait déjà proposé un plan de départs volontaires, qui concernerait une quarantaine de personnes. L’Union pour l’Avenir d’Air Tahiti Nui suggère qu’il soit élargi à l’ensemble du personnel. « Nous avons fait nos propositions, à la direction de revenir avec des chiffres. Pour l’heure, on n’est au courant de rien » explique Reiarii Tru.
Cédric Pastour a bien envoyé ce mardi une note à tous ses salariés résumant le déroulement du conseil d’administration de vendredi dernier. Mais ne s’est pas exprimé sur la suite des événements. « Un tel silence radio c’est du jamais vu. Nous sommes inquiets » s’alarme Reiarii Tru. Cédric Pastour doit briser son silence demain : il a prévu d’accorder des interviews aux médias.
