WELLINGTON, mardi 17 juillet – Deux jeunes Néo-zélandais ont été arrêtés mardi par la police, dans la région de la Baie de Plenty, dans le cadre de l’enquête concernant l’agression et le vol de deux ressortissants français samedi 7 juillet 2012, a annoncé mardi la police locale.
Les deux suspects, âgés respectivement de 24 et 26 ans, après leur arrestation et un bref interrogatoire, ont été cités à comparaître dès mercredi, et devraient répondre de chefs d’accusation de vol avec violence, devant le tribunal du district de Tauranga, a précisé le Sergent Greg Turner, chargé de l’enquête.
Les deux touristes français, tous deux âgés de 21 ans mais dont l’identité n’a pas été divulguée, avaient été agressés après avoir été pris en autostop par un véhicule avec deux hommes à bord dans la région de la Baie de Plenty, où ils se livraient à une randonnée dans la célèbre région de Rotorua (Sud-est d’Auckland, côte Nord de l’île du Nord).
Ils avaient ensuite été emmenés de force dans un lieu proche, où se trouve une station service abandonnée, passés à tabac et dépouillés de leurs biens (argent, cartes de crédit, passeports), avait précisé la police.
Après leur agression, ils ont fait l’objet d’offres multiples d’hébergement de la part des habitants de Tauranga, choqués par ce fait divers.
Cette agression a aussi suscité des commentaires de la part de Stuart Crosby, maire de Tauranga, qui s’est déclaré à la fois « dégoûté » et « bouleversé ».
Par ailleurs, en fin de semaine dernière, un homme de 28 ans, Stuart Maru Harris, de Tauranga, reconnu coupable en février 2012 de faits de viol sur la personne d’une touriste française prise en autostop, a été condamné jeudi 12 juillet 2012 à huit ans et demi de prison, dont cinq incompressibles, rapporte le Daily Post de cette localité.
Le coupable, après avoir pris la jeune touriste de 23 ans en stop, l’avait ensuite retenue avant de la violer.
Le Juge James Weir, qui entendait l’affaire devant le tribunal de district de Rotorua, avait, en février, jugé approprié de présenter ses excuses à la victime « au nom de tous les Néo-Zélandais ».
Il avait alors reconnu ce jeune sans emploi coupable de séquestration, d’agression sexuelle et de viol.
Cette série de faits divers a suscité ces derniers jours de vives inquiétudes au sein du secteur touristique de la région, connue pour ses randonnées nature, et qui craignent des retombées négatives pour la fréquentation de cette partie de la Nouvelle-Zélande.
« C’est une honte de voir ce genre de choses se passer ici, dans l’une des régions les plus sûres de la Nouvelle-Zélande. Ces actes de la part de quelques éléments de la société nous dégoûtent tous », a déclaré lundi Rhys Arrowsmith, directeur de l’office du tourisme « Tourism Bay of Plenty » au quotidien New Zealand Herald.
Les deux suspects, âgés respectivement de 24 et 26 ans, après leur arrestation et un bref interrogatoire, ont été cités à comparaître dès mercredi, et devraient répondre de chefs d’accusation de vol avec violence, devant le tribunal du district de Tauranga, a précisé le Sergent Greg Turner, chargé de l’enquête.
Les deux touristes français, tous deux âgés de 21 ans mais dont l’identité n’a pas été divulguée, avaient été agressés après avoir été pris en autostop par un véhicule avec deux hommes à bord dans la région de la Baie de Plenty, où ils se livraient à une randonnée dans la célèbre région de Rotorua (Sud-est d’Auckland, côte Nord de l’île du Nord).
Ils avaient ensuite été emmenés de force dans un lieu proche, où se trouve une station service abandonnée, passés à tabac et dépouillés de leurs biens (argent, cartes de crédit, passeports), avait précisé la police.
Après leur agression, ils ont fait l’objet d’offres multiples d’hébergement de la part des habitants de Tauranga, choqués par ce fait divers.
Cette agression a aussi suscité des commentaires de la part de Stuart Crosby, maire de Tauranga, qui s’est déclaré à la fois « dégoûté » et « bouleversé ».
Par ailleurs, en fin de semaine dernière, un homme de 28 ans, Stuart Maru Harris, de Tauranga, reconnu coupable en février 2012 de faits de viol sur la personne d’une touriste française prise en autostop, a été condamné jeudi 12 juillet 2012 à huit ans et demi de prison, dont cinq incompressibles, rapporte le Daily Post de cette localité.
Le coupable, après avoir pris la jeune touriste de 23 ans en stop, l’avait ensuite retenue avant de la violer.
Le Juge James Weir, qui entendait l’affaire devant le tribunal de district de Rotorua, avait, en février, jugé approprié de présenter ses excuses à la victime « au nom de tous les Néo-Zélandais ».
Il avait alors reconnu ce jeune sans emploi coupable de séquestration, d’agression sexuelle et de viol.
Cette série de faits divers a suscité ces derniers jours de vives inquiétudes au sein du secteur touristique de la région, connue pour ses randonnées nature, et qui craignent des retombées négatives pour la fréquentation de cette partie de la Nouvelle-Zélande.
« C’est une honte de voir ce genre de choses se passer ici, dans l’une des régions les plus sûres de la Nouvelle-Zélande. Ces actes de la part de quelques éléments de la société nous dégoûtent tous », a déclaré lundi Rhys Arrowsmith, directeur de l’office du tourisme « Tourism Bay of Plenty » au quotidien New Zealand Herald.
