Tahiti, le 22 février 2023 – L'ancien champion de Jiu jitsu, Dany Gérard, poursuivi pour “exploitation d'un cercle de jeux sans autorisation”, a été relaxé mardi par le tribunal correctionnel.
Dany Gérard, l'ancien champion du monde de jiu jitsu et ex-athlète bien connu au fenua, a comparu devant le tribunal correctionnel mardi pour répondre d'“exploitation d'un cercle de jeux sans autorisation” du 1er septembre au 12 décembre 2020. C'est à la faveur d'une enquête portant sur du trafic de stupéfiants que les enquêteurs avaient découvert que Dany Gérard et un ami organisaient des soirées de poker dont ils faisaient payer l'entrée. Seul à être poursuivi pour ces faits, Dany Gérard a expliqué mardi à la barre qu'il ne s'agissait en aucun cas de cercles de jeux clandestins mais plutôt de soirée entre amis. Il a également indiqué qu'il n'avait tiré aucun bénéfice puisque l'argent donné par les joueurs de poker était destiné à payer le loyer de l'endroit où avaient lieu les parties de carte. Si le procureur de la République a requis cinq mois de sursis à son encontre au motif que l'infraction était tout à fait caractérisée, le tribunal en a jugé autrement. Après en avoir délibéré, il a en effet relaxé Dany Gérard qui n'a pas souhaité commenter cette décision à la sortie de l'audience.
Dany Gérard, l'ancien champion du monde de jiu jitsu et ex-athlète bien connu au fenua, a comparu devant le tribunal correctionnel mardi pour répondre d'“exploitation d'un cercle de jeux sans autorisation” du 1er septembre au 12 décembre 2020. C'est à la faveur d'une enquête portant sur du trafic de stupéfiants que les enquêteurs avaient découvert que Dany Gérard et un ami organisaient des soirées de poker dont ils faisaient payer l'entrée. Seul à être poursuivi pour ces faits, Dany Gérard a expliqué mardi à la barre qu'il ne s'agissait en aucun cas de cercles de jeux clandestins mais plutôt de soirée entre amis. Il a également indiqué qu'il n'avait tiré aucun bénéfice puisque l'argent donné par les joueurs de poker était destiné à payer le loyer de l'endroit où avaient lieu les parties de carte. Si le procureur de la République a requis cinq mois de sursis à son encontre au motif que l'infraction était tout à fait caractérisée, le tribunal en a jugé autrement. Après en avoir délibéré, il a en effet relaxé Dany Gérard qui n'a pas souhaité commenter cette décision à la sortie de l'audience.
