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600 élèves sur la scène de To’ata


(crédit photo : APF - Conservatoire)
(crédit photo : APF - Conservatoire)
PAPEETE, le 13 juin 2014 – Toutes les classes de danse, chant et percussion de la section des arts traditionnels du conservatoire artistique de Polynésie française (Te Fare Upa Rau) se retrouvent sur la grande scène de To’ata ce soir à 18 heures.

Les superlatifs manqueraient presque pour ce gala annuel de Te Fare Upa Rau : 600 personnes en scène c’est sans doute le plus grand spectacle vivant de Polynésie française et peut-être même du Pacifique. C’est en tout cas une démonstration de force pour le Conservatoire qui met à l’honneur, chaque année, toutes les classes et tous les niveaux de ces interprètes en devenir des arts traditionnels. Démonstration également que la culture polynésienne est vivace, vivante et qu’elle s’ancre davantage avec le temps qui passe

Le but de ce spectacle : mettre en valeur les apprentissages des élèves mais également la sauvegarde et la préservation de cette culture locale. Ce samedi soir, les 600 élèves feront vibrer en 13 tableaux différents l’immense scène de la place To’ata. Au programme des formations de ori tahiti, des chants traditionnels, du ukelele, du orero, de la guitare, mais aussi la classe de percussions et ses xylophones. Les textes des différents tableaux sont mis en scène cette année par Vanina Heu, nouvelle coordinatrice du conservatoire mais tous les textes ont été écrits par Mamie Louise Kimitete. Ce grand gala est une ode à la transmission des savoirs et un excellent lever de rideau au Heiva 2014 qui pointera son nez au tout début du mois de juillet.


(crédit photo : APF - Conservatoire)
(crédit photo : APF - Conservatoire)
Pratique

Les billets pour ce grand gala sont en vente à la Maison de la culture ce samedi matin de 9h à 12h ; puis à l’entrée des tribunes de la place To’ata une heure avant le spectacle.
Trois tarifs : 1500 Fcfp en tribune principale, 1000 Fcfp dans les tribunes latérales et 500 Fcfp pour les enfants de moins de 12 ans.

Rédigé par Jacques Franc de Ferrière le Vendredi 13 Juin 2014 à 16:09 | Lu 586 fois