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10 km de course sur route : Georges Richmond et Sophie Gardon s’imposent


10 km de course sur route : Georges Richmond et Sophie Gardon s’imposent
Punaauia le samedi 19 janvier. Malgré un temps menaçant, le championnat de 10 km de course à pied sur route a bien eu lieu. Le départ a été donné vers 18H. Il s’agissait ensuite de réaliser 4 boucles de 2,5 km depuis le stade jusqu’au fond de la zone industrielle. C’est Georges Richmond en 34’08 et Sophie Gardon en 41’37 qui s’imposent.

Françoise Teriierooiterai, vice-présidente de la fédération d’athlétisme :

« On a eu 130 personnes à peu près, un peu moins que l’année dernière. On débute toujours l’année par le championnat, les gens sont habitués, il n’y a pas que les licenciés. »

« Le circuit est bien pour les coureurs, il n’y a pas la circulation. Je remercie tous les coureurs qui sont là et tous les sponsors qui nous suivent chaque année comme Olympians, Billy et Vaimato…On a eu de la chance, pas une goutte d’eau ! »

Olivier Agussan secrétaire de la Fédération, au micro de Tahiti Infos :

«Cela donne une référence aux athlètes sur leur état de forme avant les prochaines échéances comme le marathon de Moorea en février. La saison sur piste démarre la semaine prochaine avec une compétition fédérale, le Challenge Olympians Sport avec de la course, du saut, du lancer. Ensuite début février se déroulera le Challenge Top Piste avec des épreuves spécifiques sur la course et sur les haies. »


10 km de course sur route : Georges Richmond et Sophie Gardon s’imposent
Georges Richmond, au micro de Tahiti Infos juste après sa victoire :

« C’était une occasion de se rencontrer avec tous les ‘Elite’, vu que c’est la première course de la saison. Ils ne sont pas venus mais ce n’est pas grave. J’ai fait la course tout seul avec Izal. Un grand bravo a lui. »

« La course s’est bien passée, je suis parti à mon train habituel, j’ai pris la tête et j’ai géré. Mon objectif était de faire moins de 35 minutes. Je me prépare pour le marathon de Moorea et ensuite le marathon de Paris. J’ai réussi, je suis donc satisfait. »

« Il faut que la relève vienne, j’arrive en fin de carrière, j’ai 48 ans, je commence à sentir la fatigue…Je suis courageux, j’aime ça. C’est comme une drogue, je fonce au maximum, jusqu’à ce que la relève soit là pour prendre la tête. »

SB


Rédigé par SB le Mardi 22 Janvier 2013 à 06:05 | Lu 933 fois