Tahiti, le 9 janvier 2024 - Un nouveau cas de dengue a été confirmé le 5 janvier à Mahina chez une personne qui n’a pas récemment voyagé. Les autorités de santé indiquent mardi le maintien de Tahiti en alerte dengue de niveau 2.
La découverte en fin de semaine dernière d’un cas de dengue autochtone, pointe Vénus à Mahina, chez un sujet n’ayant pas voyagé récemment, justifie mardi le maintien de l’île de Tahiti en alerte dengue de niveau 2 en conséquence de l’existence de cas dans un contexte où il n’y a pas encore de diffusion massive.
Pour rappel, la dengue n’a pas circulé en Polynésie française depuis trois ans malgré la présence de moustiques vecteurs de la maladie à travers tous les archipels.
Les symptômes de la dengue se manifestent au bout de 3 à 14 jours après la piqûre infectante et les plus courants sont, une forte fièvre, des maux de tête (douleurs rétro-orbitaires), des courbatures, des nausées.
Les mesures prises pour tenter d’enrayer la diffusion de la maladie reposent sur la recherche et l’élimination des gîtes larvaires et l’utilisation de traitements insecticides dans la zone où a séjourné le cas durant sa période de contagiosité.
Dans le cadre de la lutte anti-vectorielle la Direction de la santé planifie des traitements insecticides sur zone mercredi entre 5h30 et 8 heures et lundi 15 entre 5h30 et 8 heures. Une opération de destruction des gîtes larvaires est en outre programmée jeudi 11 janvier entre 8 heures et 11 heures.
Afin d’anticiper et de ralentir une éventuelle diffusion de la maladie, il est recommandé à toute la population :
- d’aller consulter un médecin en cas de suspicion de dengue (forte fièvre céphalées, courbatures) ;
- de se débarrasser des gîtes à moustiques autour de chez soi et sur les lieux de travail ;
- de se protéger des piqûres par l’application de répulsifs cutanés, insecticides, diffuseurs.
Pour toute demande d’information sur la dengue, contactez le Bureau de veille sanitaire et de l’observation de l’Agence de régulation de l’action sanitaire et sociale au 40 48 82 01 ou par mail à [email protected] .
Pour toute information sur les traitements contre les moustiques, contactez le Centre de santé environnementale de la Direction de la santé au 40 503 745 ou par mail à [email protected]
La découverte en fin de semaine dernière d’un cas de dengue autochtone, pointe Vénus à Mahina, chez un sujet n’ayant pas voyagé récemment, justifie mardi le maintien de l’île de Tahiti en alerte dengue de niveau 2 en conséquence de l’existence de cas dans un contexte où il n’y a pas encore de diffusion massive.
Pour rappel, la dengue n’a pas circulé en Polynésie française depuis trois ans malgré la présence de moustiques vecteurs de la maladie à travers tous les archipels.
Les symptômes de la dengue se manifestent au bout de 3 à 14 jours après la piqûre infectante et les plus courants sont, une forte fièvre, des maux de tête (douleurs rétro-orbitaires), des courbatures, des nausées.
Les mesures prises pour tenter d’enrayer la diffusion de la maladie reposent sur la recherche et l’élimination des gîtes larvaires et l’utilisation de traitements insecticides dans la zone où a séjourné le cas durant sa période de contagiosité.
Dans le cadre de la lutte anti-vectorielle la Direction de la santé planifie des traitements insecticides sur zone mercredi entre 5h30 et 8 heures et lundi 15 entre 5h30 et 8 heures. Une opération de destruction des gîtes larvaires est en outre programmée jeudi 11 janvier entre 8 heures et 11 heures.
Afin d’anticiper et de ralentir une éventuelle diffusion de la maladie, il est recommandé à toute la population :
- d’aller consulter un médecin en cas de suspicion de dengue (forte fièvre céphalées, courbatures) ;
- de se débarrasser des gîtes à moustiques autour de chez soi et sur les lieux de travail ;
- de se protéger des piqûres par l’application de répulsifs cutanés, insecticides, diffuseurs.
Pour toute demande d’information sur la dengue, contactez le Bureau de veille sanitaire et de l’observation de l’Agence de régulation de l’action sanitaire et sociale au 40 48 82 01 ou par mail à [email protected] .
Pour toute information sur les traitements contre les moustiques, contactez le Centre de santé environnementale de la Direction de la santé au 40 503 745 ou par mail à [email protected]
