Tahiti, le 27 mai 2025 - Mercredi dernier, Canal+ Polynésie et Marie-Eve Tafaatau, la gérante de Pacific TV Prod, ont présenté le nouveau documentaire écrit par Marie Eve Tefaatau et Max von Hier, réalisé par Jean-Claude Vitalis et produit par Pacific TV Prod, Khaleesy, La Petite fille dans le tiroir.
Originaire de Rurutu en Polynésie française, Tama est issu d'une famille monoparentale très pauvre. Mis de côté, harcelé, il a du mal à cacher sa part de féminité et il est la honte de sa mère et de ses frères, et d’un père qui le maltraite.
À 20 ans, Tama quitte son île pour la capitale, Papeete. Enfin, sur place, il s'y sent accepté et peut affirmer son homosexualité. Il entame sa transition.
Grâce à la télévision où il travaille comme comédien, grâce aussi à John, son chéri qui l’assiste tous les jours, il s'assume enfin. Il trace son chemin petit à petit et devient “populaire” à Tahiti. Sa notoriété lui donne confiance et l'encourage à terminer sa transition, Tama devient alors Khaleesy. À 27 ans, elle participe à son premier concours de beauté national transgenre et elle gagne Miss T France 2023.
Destin bouleversant et victoire éclatante
Le documentaire qui retrace ce parcours est diffusé ce jeudi sur Canal+. Il touchera sans aucun doute les téléspectateurs face au destin fascinant de Tama, devenu Khaleesy, y compris pour l’état civil.
La semaine dernière, une cinquantaine de personnes ont pu découvrir en avant-première ce parcours de vie qui a mené ce petit garçon de Rurutu à son extraordinaire réalisation. À travers les obstacles, les polémiques, les difficultés de la vie, et même les discours de rédemption de son frère, c’est toute une société qui est à découvrir.
Touchant, émouvant, le destin de Khaleesy conduit chacun à se pencher sur son propre ressenti face à la transidentité.
La semaine dernière, lors de la présentation de ce documentaire, Khaleesy n’a pu être présente. Bloquée en métropole pour raison professionnelle, elle devait aussi participer à une élection internationale de Miss Transgenre. Une élection à laquelle elle n’a finalement pas pris part. Dans une vidéo diffusée avant la projection, puis à travers les mots de Marie-Eve Tefaatau, l’héroïne de sa vie a expliqué qu’elle ne partageait pas les valeurs dégagées par l’événement.
Miss Transgenre est en effet décrié pour ses conditions d’organisation dans un bar malfamé de Pigalle, à Paris.
Originaire de Rurutu en Polynésie française, Tama est issu d'une famille monoparentale très pauvre. Mis de côté, harcelé, il a du mal à cacher sa part de féminité et il est la honte de sa mère et de ses frères, et d’un père qui le maltraite.
À 20 ans, Tama quitte son île pour la capitale, Papeete. Enfin, sur place, il s'y sent accepté et peut affirmer son homosexualité. Il entame sa transition.
Grâce à la télévision où il travaille comme comédien, grâce aussi à John, son chéri qui l’assiste tous les jours, il s'assume enfin. Il trace son chemin petit à petit et devient “populaire” à Tahiti. Sa notoriété lui donne confiance et l'encourage à terminer sa transition, Tama devient alors Khaleesy. À 27 ans, elle participe à son premier concours de beauté national transgenre et elle gagne Miss T France 2023.
Destin bouleversant et victoire éclatante
Le documentaire qui retrace ce parcours est diffusé ce jeudi sur Canal+. Il touchera sans aucun doute les téléspectateurs face au destin fascinant de Tama, devenu Khaleesy, y compris pour l’état civil.
La semaine dernière, une cinquantaine de personnes ont pu découvrir en avant-première ce parcours de vie qui a mené ce petit garçon de Rurutu à son extraordinaire réalisation. À travers les obstacles, les polémiques, les difficultés de la vie, et même les discours de rédemption de son frère, c’est toute une société qui est à découvrir.
Touchant, émouvant, le destin de Khaleesy conduit chacun à se pencher sur son propre ressenti face à la transidentité.
La semaine dernière, lors de la présentation de ce documentaire, Khaleesy n’a pu être présente. Bloquée en métropole pour raison professionnelle, elle devait aussi participer à une élection internationale de Miss Transgenre. Une élection à laquelle elle n’a finalement pas pris part. Dans une vidéo diffusée avant la projection, puis à travers les mots de Marie-Eve Tefaatau, l’héroïne de sa vie a expliqué qu’elle ne partageait pas les valeurs dégagées par l’événement.
Miss Transgenre est en effet décrié pour ses conditions d’organisation dans un bar malfamé de Pigalle, à Paris.