Tahiti, le 4 janvier 2021 - Le Conseil d’Etat rejette un recours de la tête de liste Tumaraa to tatou oire visant l’annulation des opérations électorales du premier tour des élections municipales à Tumaraa.
Fin de parcours pour la contestation portée Gérard Goltz, tête de liste Tumaraa to tatou oire, contre les opérations électorales du premier tour des élections municipales, le 15 mars dernier dans la commune de Tumaraa à Raiatea. Déjà débouté devant le tribunal administratif le 23 juin dernier, le plaignant a fait appel devant le Conseil d’Etat. Dans une décision de rejet rendue le 24 décembre dernier, la plus haute des juridictions de l’ordre administratif douche ses derniers espoirs d’annulation des municipales à Tumaraa.
Pas moins de 11 points de contestation étaient soulevés par la tête de liste Tumaraa to tatou oire dans cette procédure : organisation de repas par le maire sortant durant la campagne électorale, offre d’aide publique à des agriculteurs, transports offert aux électeurs le jour du scrutin, radiation "erronées" sur la liste électorale. Des griefs que n’avait pas retenus le tribunal administratif dans sa décision du 23 juin.
Dans son jugement, le Conseil d’Etat constate que, "sans qu'il soit besoin de se prononcer sur la recevabilité de certains des griefs soulevés à l'appui de sa requête, [le plaignant] n'est pas fondé à soutenir que c'est à tort que, par le jugement attaqué, qui est suffisamment motivé, le tribunal administratif de la Polynésie française a rejeté sa protestation tendant à l'annulation des opérations électorales qui se sont déroulées le 15 mars 2020 dans la commune de Tumaraa".
La liste Tapura Amui conduite par le maire sortant, Cyril Tetuanui, avait emporté la majorité de peu avec 50,44% et 21 voix d’avance sur la liste adverse, Tumaraa To Tatou Oire.
Fin de parcours pour la contestation portée Gérard Goltz, tête de liste Tumaraa to tatou oire, contre les opérations électorales du premier tour des élections municipales, le 15 mars dernier dans la commune de Tumaraa à Raiatea. Déjà débouté devant le tribunal administratif le 23 juin dernier, le plaignant a fait appel devant le Conseil d’Etat. Dans une décision de rejet rendue le 24 décembre dernier, la plus haute des juridictions de l’ordre administratif douche ses derniers espoirs d’annulation des municipales à Tumaraa.
Pas moins de 11 points de contestation étaient soulevés par la tête de liste Tumaraa to tatou oire dans cette procédure : organisation de repas par le maire sortant durant la campagne électorale, offre d’aide publique à des agriculteurs, transports offert aux électeurs le jour du scrutin, radiation "erronées" sur la liste électorale. Des griefs que n’avait pas retenus le tribunal administratif dans sa décision du 23 juin.
Dans son jugement, le Conseil d’Etat constate que, "sans qu'il soit besoin de se prononcer sur la recevabilité de certains des griefs soulevés à l'appui de sa requête, [le plaignant] n'est pas fondé à soutenir que c'est à tort que, par le jugement attaqué, qui est suffisamment motivé, le tribunal administratif de la Polynésie française a rejeté sa protestation tendant à l'annulation des opérations électorales qui se sont déroulées le 15 mars 2020 dans la commune de Tumaraa".
La liste Tapura Amui conduite par le maire sortant, Cyril Tetuanui, avait emporté la majorité de peu avec 50,44% et 21 voix d’avance sur la liste adverse, Tumaraa To Tatou Oire.
