PAPEETE, le 19 février 2018 - La gendarmerie a mené une opération anti-runs le week-end dernier. 5 deux-roues ont été immobilisés et deux alcoolémies ont été relevées.
La compagnie des Îles du Vent a mis en place une opération anti-runs dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 février 2018. Malgré une météo défavorable, 30 gendarmes et 12 véhicules ont été mobilisés pour mener une opération de contrôle de zone sur la commune de Faa’a.
Durant 2 heures, près de 60 deux-roues motorisés ont été contrôlés en détail, 5 ont fait l’objet d’une mesure d’immobilisation car non-conforme/kité et/ou trop bruyants et deux alcoolémies ont été relevées.
Le chien de l’équipe cynophile spécialisé dans la recherche de produits stupéfiants a été engagé également, permettant de détecter la présence de petites quantités de "pakalolo".
Le lieutenant-colonel Frédéric Brachet, commandant le compagnie des Îles du Vent le réaffirme : "Nous ne lâchons rien. Tant que ces runs perdureront, nous saisirons des deux roues "kités". Il en va de la sécurité de nos jeunes adolescents, de celle des usagers de la route, mais il s'agit aussi d'une question d'ordre public : la route n'est pas un terrain de jeu ni une zone de non droit."
La compagnie des Îles du Vent a mis en place une opération anti-runs dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 février 2018. Malgré une météo défavorable, 30 gendarmes et 12 véhicules ont été mobilisés pour mener une opération de contrôle de zone sur la commune de Faa’a.
Durant 2 heures, près de 60 deux-roues motorisés ont été contrôlés en détail, 5 ont fait l’objet d’une mesure d’immobilisation car non-conforme/kité et/ou trop bruyants et deux alcoolémies ont été relevées.
Le chien de l’équipe cynophile spécialisé dans la recherche de produits stupéfiants a été engagé également, permettant de détecter la présence de petites quantités de "pakalolo".
Le lieutenant-colonel Frédéric Brachet, commandant le compagnie des Îles du Vent le réaffirme : "Nous ne lâchons rien. Tant que ces runs perdureront, nous saisirons des deux roues "kités". Il en va de la sécurité de nos jeunes adolescents, de celle des usagers de la route, mais il s'agit aussi d'une question d'ordre public : la route n'est pas un terrain de jeu ni une zone de non droit."
