PARIS, 14 avr 2012 (AFP) - Quelque 200 personnes du collectif "Notre santé en danger", regroupant associations, syndicats, comités de défense d'établissements de santé et partis de gauche, ont manifesté samedi à Paris pour défendre l'accès à un système de santé public, a constaté une journaliste de l'AFP.
Rassemblés devant la mairie du XXe arrondissement, dans l'est de la capitale, les manifestants, portant parfois des blouses blanches, ont occupé un côté de la place Gambetta, bloquant partiellement la circulation.
"A dix jours de l'élection présidentielle, la santé doit être replacée au coeur du débat politique, car nous sommes confrontés à une dégradation du système de santé qui se traduit par une réduction de l'accès aux soins de proximité de qualité", a déclaré Carole Soulé, salariée de l'AP-HP.
A 15h00, au son d'un tambour, les manifestants ont été appelés à s'allonger sur le bitume pendant quelques minutes pour symboliser "les attaques contre le système de santé".
Au son d'une cornemuse, ils se sont ensuite relevés et ont repris en choeur "abrogation de la loi Bachelot" et "pour un service public de santé, on ne lâchera rien".
Ont alors été lus des messages de soutien de collectifs similaires en Grande-Bretagne et en Espagne.
Le collectif "Santé en danger" comprend notamment des comités de défense des hôpitaux Tenon à Paris, Argenteuil, Bicêtre, Ivry, les Lilas, la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité et des associations comme Attac ou le Planning familial.
ces/jg/fm
Rassemblés devant la mairie du XXe arrondissement, dans l'est de la capitale, les manifestants, portant parfois des blouses blanches, ont occupé un côté de la place Gambetta, bloquant partiellement la circulation.
"A dix jours de l'élection présidentielle, la santé doit être replacée au coeur du débat politique, car nous sommes confrontés à une dégradation du système de santé qui se traduit par une réduction de l'accès aux soins de proximité de qualité", a déclaré Carole Soulé, salariée de l'AP-HP.
A 15h00, au son d'un tambour, les manifestants ont été appelés à s'allonger sur le bitume pendant quelques minutes pour symboliser "les attaques contre le système de santé".
Au son d'une cornemuse, ils se sont ensuite relevés et ont repris en choeur "abrogation de la loi Bachelot" et "pour un service public de santé, on ne lâchera rien".
Ont alors été lus des messages de soutien de collectifs similaires en Grande-Bretagne et en Espagne.
Le collectif "Santé en danger" comprend notamment des comités de défense des hôpitaux Tenon à Paris, Argenteuil, Bicêtre, Ivry, les Lilas, la coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternités de proximité et des associations comme Attac ou le Planning familial.
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