NOUMEA, 26 mars 2012 (AFP) - Un protocole d'accord portant essentiellement sur des questions de sécurité a été signé entre la direction de la Société Le Nickel (SLN) à Nouméa et le syndicat Soenc-Nickel, qui avait brandi la menace d'une grève générale, a rapporté lundi la presse.
"Les discussions ont été longues mais on a signé un accord", a déclaré à l'AFP, Freddy M'Boueri, délégué du Soenc-Nickel (Syndicat des ouvriers et employés de Nouvelle-Calédonie), qui avait déposé un préavis de grève générale le 7 mars.
L'accord prévoit notamment un plan dévacuation de l'ensemble du personnel, la réfection d'escaliers non conformes ou encore l'installation de sirènes sur le site de l'usine métallurgique à Doniambo, ont rapporté lundi Les Nouvelles-Calédoniennes.
Quatre embauches pour étoffer les effectifs de quarts aux fours, la création d'une laverie ou encore un grand nettoyage de l'usine, surnommée "la vieille dame" à Nouméa, ont également été acceptés par la direction.
Principal syndicat de la SLN, premier employeur privé du Caillou, le Soenc-Nickel était monté au créaneau sur les conditions de sécurité dans l'usine après deux explosions dans un des fours, qui avaient fait un blessé grave et deux blessés légers, en décembre et janvier derniers.
Opérateur historique du nickel calédonien, la SLN est une filiale du groupe minier français, Eramet. Elle a produit l'an dernier 53.800 tonnes de ferronickel.
cw/jcc
"Les discussions ont été longues mais on a signé un accord", a déclaré à l'AFP, Freddy M'Boueri, délégué du Soenc-Nickel (Syndicat des ouvriers et employés de Nouvelle-Calédonie), qui avait déposé un préavis de grève générale le 7 mars.
L'accord prévoit notamment un plan dévacuation de l'ensemble du personnel, la réfection d'escaliers non conformes ou encore l'installation de sirènes sur le site de l'usine métallurgique à Doniambo, ont rapporté lundi Les Nouvelles-Calédoniennes.
Quatre embauches pour étoffer les effectifs de quarts aux fours, la création d'une laverie ou encore un grand nettoyage de l'usine, surnommée "la vieille dame" à Nouméa, ont également été acceptés par la direction.
Principal syndicat de la SLN, premier employeur privé du Caillou, le Soenc-Nickel était monté au créaneau sur les conditions de sécurité dans l'usine après deux explosions dans un des fours, qui avaient fait un blessé grave et deux blessés légers, en décembre et janvier derniers.
Opérateur historique du nickel calédonien, la SLN est une filiale du groupe minier français, Eramet. Elle a produit l'an dernier 53.800 tonnes de ferronickel.
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