PARIS, 15 septembre 2014 (AFP) - Les Français ont un a priori favorable sur la voiture électrique, mais sont finalement peu à en acheter, en raison principalement d'un manque d'information sur ce type de véhicules, en termes de prix et d'autonomie notamment, selon une étude Ipsos.
Cette enquête a été réalisée pour l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere) et le groupe Mobivia - Norauto, Auto 5, Midas, Carter-Cash, Synchro Diffusion, Oxyo-pneus.fr et Bythjul.com - auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes, du 22 au 29 août.
Ce sondage révèle que la voiture électrique est, pour 93% des sondés, innovante, pour 92%, respectueuse de l'environnement, mais aussi, pour 81%, économique et agréable à conduire.
Néanmoins, souligne le communiqué de l'Avere et de Mobivia, "de nombreux freins perdurent, qui nuisent à la concrétisation en acte d'achat et proviennent d'un sentiment d'information encore très insuffisant".
Ainsi, le "premier obstacle qui continue d'être évoqué par les Français (est) l'autonomie +restreinte+ de ces véhicules", mise en avant par 64% d'entre eux.
"44% des Français déclarent qu'ils porteraient plus d'intérêt à la voiture électrique si son autonomie était supérieure à 250 kilomètres par jour", selon cette étude, qui note néanmoins qu'"en France, la distance moyenne parcourue quotidiennement est 31 kilomètres et les voitures passent 80% de leur temps stationnées".
51% des personnes interrogées évoquent également le manque de stations de recharge.
Quant au prix d'une voiture électrique, 71% des sondés ne le connaissent pas, et 83% disent être mal informés des aides de l'Etat pour une telle acquisition. Par ailleurs, le fait qu'"il en coûte 2 euros pour effectuer 100 kilomètres en voiture électrique et 9,10 euros avec une voiture roulant à l'essence sans plomb", est ignoré de 80% des sondés.
Parmi les 12% ayant déjà essayé une voiture électrique, comme conducteur ou comme passager, 70% les trouvent sécurisantes, 72% les jugent fiables et 65% louent leur côté pratique.
La France est le deuxième marché de véhicules électriques en Europe, avec 5.415 immatriculations depuis le début de l'année, selon l'Avere et Mobivia.
Cette enquête a été réalisée pour l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere) et le groupe Mobivia - Norauto, Auto 5, Midas, Carter-Cash, Synchro Diffusion, Oxyo-pneus.fr et Bythjul.com - auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes, du 22 au 29 août.
Ce sondage révèle que la voiture électrique est, pour 93% des sondés, innovante, pour 92%, respectueuse de l'environnement, mais aussi, pour 81%, économique et agréable à conduire.
Néanmoins, souligne le communiqué de l'Avere et de Mobivia, "de nombreux freins perdurent, qui nuisent à la concrétisation en acte d'achat et proviennent d'un sentiment d'information encore très insuffisant".
Ainsi, le "premier obstacle qui continue d'être évoqué par les Français (est) l'autonomie +restreinte+ de ces véhicules", mise en avant par 64% d'entre eux.
"44% des Français déclarent qu'ils porteraient plus d'intérêt à la voiture électrique si son autonomie était supérieure à 250 kilomètres par jour", selon cette étude, qui note néanmoins qu'"en France, la distance moyenne parcourue quotidiennement est 31 kilomètres et les voitures passent 80% de leur temps stationnées".
51% des personnes interrogées évoquent également le manque de stations de recharge.
Quant au prix d'une voiture électrique, 71% des sondés ne le connaissent pas, et 83% disent être mal informés des aides de l'Etat pour une telle acquisition. Par ailleurs, le fait qu'"il en coûte 2 euros pour effectuer 100 kilomètres en voiture électrique et 9,10 euros avec une voiture roulant à l'essence sans plomb", est ignoré de 80% des sondés.
Parmi les 12% ayant déjà essayé une voiture électrique, comme conducteur ou comme passager, 70% les trouvent sécurisantes, 72% les jugent fiables et 65% louent leur côté pratique.
La France est le deuxième marché de véhicules électriques en Europe, avec 5.415 immatriculations depuis le début de l'année, selon l'Avere et Mobivia.