Tahiti, le 22 mai 2020 - Le second tour des élections municipales sera très vraisemblablement organisé le dimanche 28 juin, en Polynésie française, dans les 26 communes où le tour de scrutin du 15 mars n’a pas été décisif.
Conformément à ce que prévoit la loi sur l’état d’urgence sanitaire du 23 mars 2020, un décret en Conseil des ministres doit être adopté mercredi 27 mai à Paris, pour une convocation des électeurs au second tour des élections municipales, le 28 juin, en France métropolitaine et dans toutes les collectivités françaises ultramarines.
Parallèlement et conformément aux recommandations du Conseil scientifique, le gouvernement Philippe présentera mercredi en Conseil des ministres, "simultanément" à ce décret de convocation des électeurs, "un projet de loi portant annulation, dans les communes où le premier tour n’a pas été décisif, des opérations électorales du 15 mars et du second tour prévu en juin".
Si la situation sanitaire se dégradait en France dans les 15 prochains jours, ce projet de loi organise les conditions d'un report des opérations électorales au-delà de juin, avec toutes les conséquences que cela implique notamment sur la tenue des élections sénatoriales de septembre.
Mais les électeurs de Polynésie française et de Nouvelle-Calédonie ne seront pas concernés par ce texte. La loi sur l’état d’urgence prévoit que le scrutin puisse se tenir dans ces deux collectivités selon un calendrier autre que le national, après avis de leurs gouvernants et consultation du Conseil scientifique. Le virus ne circule plus dans ces deux collectivités du Pacifique. On sait que le gouvernement polynésien a manifesté le "vœu" d’un second tour des municipales organisé le 21 juin, donc avant l'échéance de fin juin. Cette perspective a reçu l’aval du Conseil scientifique.
Dans les 26 communes concernées au fenua, tout indique donc aujourd'hui aux candidats en lice pour le second tour de se préparer à un scrutin le dimanche 28 juin.
Conformément à ce que prévoit la loi sur l’état d’urgence sanitaire du 23 mars 2020, un décret en Conseil des ministres doit être adopté mercredi 27 mai à Paris, pour une convocation des électeurs au second tour des élections municipales, le 28 juin, en France métropolitaine et dans toutes les collectivités françaises ultramarines.
Parallèlement et conformément aux recommandations du Conseil scientifique, le gouvernement Philippe présentera mercredi en Conseil des ministres, "simultanément" à ce décret de convocation des électeurs, "un projet de loi portant annulation, dans les communes où le premier tour n’a pas été décisif, des opérations électorales du 15 mars et du second tour prévu en juin".
Si la situation sanitaire se dégradait en France dans les 15 prochains jours, ce projet de loi organise les conditions d'un report des opérations électorales au-delà de juin, avec toutes les conséquences que cela implique notamment sur la tenue des élections sénatoriales de septembre.
Mais les électeurs de Polynésie française et de Nouvelle-Calédonie ne seront pas concernés par ce texte. La loi sur l’état d’urgence prévoit que le scrutin puisse se tenir dans ces deux collectivités selon un calendrier autre que le national, après avis de leurs gouvernants et consultation du Conseil scientifique. Le virus ne circule plus dans ces deux collectivités du Pacifique. On sait que le gouvernement polynésien a manifesté le "vœu" d’un second tour des municipales organisé le 21 juin, donc avant l'échéance de fin juin. Cette perspective a reçu l’aval du Conseil scientifique.
Dans les 26 communes concernées au fenua, tout indique donc aujourd'hui aux candidats en lice pour le second tour de se préparer à un scrutin le dimanche 28 juin.
