Le Ministre de l’Artisanat, Marcel Tuihani, était présent, vendredi soir, au musée de Tahiti et des îles pour le vernissage de l’exposition du Centre des métiers d’art (CMA), au musée de Tahiti et des îles, à Punaauia.
Aux côtés du directeur du centre des métiers d’art, Viri Taimana, et de la directrice du musée de Tahiti et des îles, Theano Jaillet, Marcel Tuihani a expliqué que les lieux de culture devaient s’ouvrir à des œuvres variées toutes représentatives de la culture polynésienne, dans ses traditions et sa modernité.
Symbole de ces mélanges de culture, d’échanges entre la tradition et la modernité, cette exposition qui doit être organisée jusqu’à la fin septembre regroupe à la fois des œuvres des élèves du CMA, mais aussi des œuvres de leurs enseignants, y compris, Alexander Lee, un enseignant polynésien au profil atypique qui a résidé pendant plus d’une dizaine d’années à New York, aux Etats-Unis.
La démarche pour cette exposition se veut ainsi à la fois conceptuelle, critique et créative. Le ministre de l’Artisanat a également estimé que les œuvres des artistes polynésiens devaient être mises en avant en Polynésie mais aussi à l’étranger.
Aux côtés du directeur du centre des métiers d’art, Viri Taimana, et de la directrice du musée de Tahiti et des îles, Theano Jaillet, Marcel Tuihani a expliqué que les lieux de culture devaient s’ouvrir à des œuvres variées toutes représentatives de la culture polynésienne, dans ses traditions et sa modernité.
Symbole de ces mélanges de culture, d’échanges entre la tradition et la modernité, cette exposition qui doit être organisée jusqu’à la fin septembre regroupe à la fois des œuvres des élèves du CMA, mais aussi des œuvres de leurs enseignants, y compris, Alexander Lee, un enseignant polynésien au profil atypique qui a résidé pendant plus d’une dizaine d’années à New York, aux Etats-Unis.
La démarche pour cette exposition se veut ainsi à la fois conceptuelle, critique et créative. Le ministre de l’Artisanat a également estimé que les œuvres des artistes polynésiens devaient être mises en avant en Polynésie mais aussi à l’étranger.
