PORT-VILA, mercredi 26 mars 2014 (Flash d’Océanie) – Le Centre Culturel de Vanuatu (Vanuatu Kaljoral Senta - VKS) a annoncé en début de semaine sa décision de mettre fin à un moratoire mis en place en juillet 2013 concernant toutes les opérations et missions de recherche étrangères dans cet archipel.
La durée initialement annoncée de ce moratoire était d’un an à compter de juillet 2013.
Marcellin Abong, directeur du VKS et Membre exécutif du Conseil Culturel National du Vanuatu (Vanuatu National Cultural Council – VNCC, organe chargé, entre autres, de réguler les activités de recherches étrangères dans cet archipel), avait précisé lors de l’annonce de cette suspension des activités que le but de l’opération était de faire le point sur l’état d’avancement des recherches de la part d’équipes de chercheurs étrangers, aussi bien dans les domaines culturels, éducatifs, sociologiques politiques ou encore scientifiques.
Dans l’intérim, les directeurs de quelque 63 missions en cours ont rendu leurs rapports d’activités, permettant d’obtenir un aperçu des recherches et de leurs éventuels débouchés.
Les rapports ont ensuite été transmis au gouvernement.
Le VNCC, pour justifier cette mesure, avait évoqué en juillet 2013 « de nombreux chercheurs qui, ces dernières années, n’ont pas respecté la politique de recherche mis en place par le VNCC et ont oublié l’aspect collaboratif des recherches ».
Pendant la durée de ce moratoire, de son côté, le VNCC aurait « pris le temps de repenser sa politique nationale en matière de recherches », qu’elles concernent « les savoirs traditionnels, les sciences sociales, les systèmes environnementaux ou encore les sciences politiques ».
Vanuatu a été le théâtre, ces dernières années, de nombreuses expéditions de recherches scientifiques, parmi lesquelles certaines concernaient un inventaire de la biodiversité alors que d’autres se concentraient sur l’archéologie (sites lapitas et découverte notamment de cimetière entiers dans les environs de Port-Vila) ou encore les sciences sociales.
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La durée initialement annoncée de ce moratoire était d’un an à compter de juillet 2013.
Marcellin Abong, directeur du VKS et Membre exécutif du Conseil Culturel National du Vanuatu (Vanuatu National Cultural Council – VNCC, organe chargé, entre autres, de réguler les activités de recherches étrangères dans cet archipel), avait précisé lors de l’annonce de cette suspension des activités que le but de l’opération était de faire le point sur l’état d’avancement des recherches de la part d’équipes de chercheurs étrangers, aussi bien dans les domaines culturels, éducatifs, sociologiques politiques ou encore scientifiques.
Dans l’intérim, les directeurs de quelque 63 missions en cours ont rendu leurs rapports d’activités, permettant d’obtenir un aperçu des recherches et de leurs éventuels débouchés.
Les rapports ont ensuite été transmis au gouvernement.
Le VNCC, pour justifier cette mesure, avait évoqué en juillet 2013 « de nombreux chercheurs qui, ces dernières années, n’ont pas respecté la politique de recherche mis en place par le VNCC et ont oublié l’aspect collaboratif des recherches ».
Pendant la durée de ce moratoire, de son côté, le VNCC aurait « pris le temps de repenser sa politique nationale en matière de recherches », qu’elles concernent « les savoirs traditionnels, les sciences sociales, les systèmes environnementaux ou encore les sciences politiques ».
Vanuatu a été le théâtre, ces dernières années, de nombreuses expéditions de recherches scientifiques, parmi lesquelles certaines concernaient un inventaire de la biodiversité alors que d’autres se concentraient sur l’archéologie (sites lapitas et découverte notamment de cimetière entiers dans les environs de Port-Vila) ou encore les sciences sociales.
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