Un petit avion sort de piste lors d’un atterrissage à Faa’a

Ca y est ! Les corbeaux des plus tristes moments de notre histoire reviennent. Verront nous bientôt refleurir les sinistres bérets noirs de nos milices d’antan ? Il vient de Nouméa le Monsieur, ce doit être un écumeur de l’outre mer. Si je comprends bien il était déjà installé près de l’aéroport à Magenta, ne serait ce pas tout simplement par goût de la provocation qu’il se fixe près des aéroports? Il prétend imposer sa loi et ses mensonges là où il se trouve, quelle morgue mais surtout quelle suffisance!! Je n’ai pas bien compris le début car même s’il est particulièrement grossier comme ses termes le laissent paraître, il ne peut pas parler de ce qui est absent chez lui, absence confirmée par le fait qu’il se cache derrière un pseudonyme, c’est évidemment moins risqué mais aussi moins honnête. Je vais simplement ici dénoncer les mensonges et rétablir la vérité :
Tout d’abord Magenta n’est absolument pas comparable à Faa’a de même que Tahiti ne ressemble en aucun point à la Nouvelle Calédonie.
Il autorise tout de même les avions de ligne, encore heureux, mais sait-il que parmi les pilotes de ces avions, qu’il accepte dans son incommensurable magnanimité, nombreux sont ceux qui perfectionnent leur pilotage et leur dextérité par l’entraînement à la voltige et que cela lui permettra de rentrer chez lui, en métropole, avec un petit plus sur le plan sécurité ?
Il prétend faire une différence entre ceux qui gagnent leur vie en pilotant ou en gérant les avions de transport et ceux qui « ne font que s’amuser » mais ne sait-il donc pas qu’il s’agit des mêmes et de leurs élèves, futurs pilotes professionnels qui cherchent simplement à se perfectionner (en y prenant du plaisir bien évidemment puisque ce métier est fait de passion) ?
Il parle de privilégiés se faisant plaisir à 50000 fcfp de l’heure. La majorité des avions de voltige de la place ont été construits par leurs propriétaires et le prix annoncé est d’un étonnant ridicule. Même le seul qui vole sous un régime autre, puisque construit en usine, est bien loin du prix cité, heureusement. Les pilotes, qu’ils soient instructeurs, élèves voltige ou en perfectionnement utilisant les avions incriminés ne sont pas des pri...

Ca y est ! Les corbeaux des plus tristes moments de notre histoire reviennent. Verront nous bientôt refleurir les sinistres bérets noirs de nos milices d’antan ? Il vient de Nouméa le Monsieur, ce doit être un écumeur de l’outre mer. Si je comprends bien il était déjà installé près de l’aéroport à Magenta, ne serait ce pas tout simplement par goût de la provocation qu’il se fixe près des aéroports? Il prétend imposer sa loi et ses mensonges là où il se trouve, quelle morgue mais surtout quelle suffisance!! Je n’ai pas bien compris le début car même s’il est particulièrement grossier comme ses termes le laissent paraître, il ne peut pas parler de ce qui est absent chez lui, absence confirmée par le fait qu’il se cache derrière un pseudonyme, c’est évidemment moins risqué mais aussi moins honnête. Je vais simplement ici dénoncer les mensonges et rétablir la vérité :
Tout d’abord Magenta n’est absolument pas comparable à Faa’a de même que Tahiti ne ressemble en aucun point à la Nouvelle Calédonie.
Il autorise tout de même les avions de ligne, encore heureux, mais sait-il que parmi les pilotes de ces avions, qu’il accepte dans son incommensurable magnanimité, nombreux sont ceux qui perfectionnent leur pilotage et leur dextérité par l’entraînement à la voltige et que cela lui permettra de rentrer chez lui, en métropole, avec un petit plus sur le plan sécurité ?
Il prétend faire une différence entre ceux qui gagnent leur vie en pilotant ou en gérant les avions de transport et ceux qui « ne font que s’amuser » mais ne sait-il donc pas qu’il s’agit des mêmes et de leurs élèves, futurs pilotes professionnels qui cherchent simplement à se perfectionner (en y prenant du plaisir bien évidemment puisque ce métier est fait de passion) ?
Il parle de privilégiés se faisant plaisir à 50000 fcfp de l’heure. La majorité des avions de voltige de la place ont été construits par leurs propriétaires et le prix annoncé est d’un étonnant ridicule. Même le seul qui vole sous un régime autre, puisque construit en usine, est bien loin du prix cité, heureusement. Les pilotes, qu’ils soient instructeurs, élèves voltige ou en perfectionnement utilisant les avions incriminés ne sont pas des privilégiés mais des travailleurs comme les autres gagnant leur vie en pilotant des avions de transport pour certains et en espérant en piloter un jour pour d’autres. Certains exercent d’autres métiers et partagent leur passion avec les premiers nommés. De plus il y a largement autant de Polynésiens d’origine que de Polynésiens d’adoption pour partager cette activité alors il faut cesser d’orienter les critiques contre une population particulière qui n’existe que dans l'esprit tortueux d'un affabulateur.
Il fait un parallèle entre certains Polynésiens qui, en effet, vivent dans des conditions inacceptable et de soi-disant privilégiés. Que fait-il pour ces familles, lui dont les « Ancêtres » furent raccourcis (un petit mot, juste pour faire remarquer qu’il a des ancêtres, lui, et de quel côté étaient ces ancêtres). Il doit rouler en vélo, voire marcher à pied et, suis-je bête, il ne prend pas l’avion pour rentrer en métropole chaque année.
Il aimerait bien que l’activité soit déplacée au plus loin et il confond 1 km en mer et la verticale des habitations, quelle mauvaise foi !! Il invente, il fait du catastrophisme à 2 sous, espérant ameuter les foules.
Il fait dire des choses complètement fausses en parlant d’arrogance car il faut le poids des mots pour faire passer les mensonges, mais ce ne sont tout de même que ragots de bas étage.
Il se vautre dans l’amalgame en utilisant des mots dont il ne connait manifestement pas le sens : colonies, barbares.
Il termine par un trait d’humour hilarant : Les filles de l’air. Qu’est ce qu’on a rigolé à cette lecture. Le problème, chez nous les aviateurs, c’est que la réglementation nous interdit de voler au ras des pâquerettes avec nos avions alors nous nous l’interdisons aussi avec notre l’humour.
Je renouvelle ici une invitation que j’avais déjà faite à ce Monsieur. Nous sommes tous les jours en zone nord de l’aéroport et il peut venir se renseigner, cela lui évitera d’écrire de minables mensonges. Il peut aussi consulter les documents officiels de l’aviation civile afin de vérifier la position des zones de voltige et il verra que jamais un avion de voltige ne peut survoler les habitations. Cela lui permettra de se rendre compte des inepties qu’il écrit, de cesser d’insulter les gens honnêtes et surtout de ne plus briser les insignes jumeaux de nos virilités, car nous, nous en avons encore et ne voulons pas les voir abîmer.
Alain LAFILLE