PAPEETE, le 28 septembre 2015 - Dès demain et jusqu'au 3 octobre, la salle Muriavai de la Maison de la Culture reçoit les œuvres de Melissa Prokop, une artiste passionnée par la culture du triangle polynésien. Sa nouvelle exposition est une belle invitation au voyage.
Arrivée en Polynésie en 2003, Melissa Prokop est une artiste à l’art profondément ancré dans ses racines polynésiennes et dans sa culture. Si elle dessine "depuis toujours", elle explique avoir commencé à peindre en autodidacte quand elle a posé le pied au fenua et s'y consacre "exclusivement voilà quatre ou cinq ans maintenant." Pour sa nouvelle exposition, qui se tiendra du 29 septembre au 3 octobre, elle dévoile une trentaine de toiles réalisées à l'acrylique, sa technique de prédilection car, "facile à nettoyer, elle se mélange également bien."
Melissa qualifie son style de "figuratif", mais souhaite continuer à évoluer, à expérimenter. Elle s’intéresse ainsi depuis quelque temps à "l’art abstrait et aux techniques mixtes telles que le plâtre, les collages, etc." Dans ses œuvres, l'artiste aime aussi "laisser un côté esquisse qui s'estompe en arrivant au sujet plus présent et travaillé." Les différentes couches confèrent alors un aspect "plus réaliste" à ses huiles et elle aime cette vision "brute", authentique.
RAPA NUI Á L'HONNEUR
Visages, tiki, vahine, nature, géométrie des formes, moments de poésie… ses motifs sont assez variés, et si l'artiste n'a pas de thème précis, une constante domine dans ses réalisations : l’emprunte culturelle locale, l’hommage aux peuples du triangle polynésien. Rapa Nui, Hawaii, Nouvelle-Zélande, et Polynésie bien sûr, tracent le chemin d’un art entièrement dédié à cette culture ancestrale qui a voyagé à travers le Pacifique.
Très sensible à la "spiritualité polynésienne", cette année, Melissa met encore davantage l'île de Pâques à l'honneur, un lieu mystique qui possède "une culture très forte malgré son isolement". Avec notamment son peuple pascuan qui a bien failli disparaître et le mystère de ses moai, Rapa Nui dégage un "mana puissant" que peut ressentir chaque visiteur attentif. Ce sont toutes ces vibrations que couche l'artiste sur ses toiles et qu'elle nous invite à découvrir.
Arrivée en Polynésie en 2003, Melissa Prokop est une artiste à l’art profondément ancré dans ses racines polynésiennes et dans sa culture. Si elle dessine "depuis toujours", elle explique avoir commencé à peindre en autodidacte quand elle a posé le pied au fenua et s'y consacre "exclusivement voilà quatre ou cinq ans maintenant." Pour sa nouvelle exposition, qui se tiendra du 29 septembre au 3 octobre, elle dévoile une trentaine de toiles réalisées à l'acrylique, sa technique de prédilection car, "facile à nettoyer, elle se mélange également bien."
Melissa qualifie son style de "figuratif", mais souhaite continuer à évoluer, à expérimenter. Elle s’intéresse ainsi depuis quelque temps à "l’art abstrait et aux techniques mixtes telles que le plâtre, les collages, etc." Dans ses œuvres, l'artiste aime aussi "laisser un côté esquisse qui s'estompe en arrivant au sujet plus présent et travaillé." Les différentes couches confèrent alors un aspect "plus réaliste" à ses huiles et elle aime cette vision "brute", authentique.
RAPA NUI Á L'HONNEUR
Visages, tiki, vahine, nature, géométrie des formes, moments de poésie… ses motifs sont assez variés, et si l'artiste n'a pas de thème précis, une constante domine dans ses réalisations : l’emprunte culturelle locale, l’hommage aux peuples du triangle polynésien. Rapa Nui, Hawaii, Nouvelle-Zélande, et Polynésie bien sûr, tracent le chemin d’un art entièrement dédié à cette culture ancestrale qui a voyagé à travers le Pacifique.
Très sensible à la "spiritualité polynésienne", cette année, Melissa met encore davantage l'île de Pâques à l'honneur, un lieu mystique qui possède "une culture très forte malgré son isolement". Avec notamment son peuple pascuan qui a bien failli disparaître et le mystère de ses moai, Rapa Nui dégage un "mana puissant" que peut ressentir chaque visiteur attentif. Ce sont toutes ces vibrations que couche l'artiste sur ses toiles et qu'elle nous invite à découvrir.
Infos pratiques
Du 29 septembre au 3 octobre de 9 à 17 heures (midi le samedi)
Vernissage mardi 29 septembre, à 18 heures
Salle Muriavai de la Maison de la Culture
Contact : 40 54 45 46
Du 29 septembre au 3 octobre de 9 à 17 heures (midi le samedi)
Vernissage mardi 29 septembre, à 18 heures
Salle Muriavai de la Maison de la Culture
Contact : 40 54 45 46
