Sydney, Australie | | lundi 13/04/2015 - Un Australien a été inculpé lundi de 145 faits d'agression sexuelle allant du viol à la production d'images pornographiques sur au moins 28 enfants qu'il est soupçonné d'avoir sollicités via les réseaux sociaux.
L'homme de 47 ans, originaire de Warwick, près de Brisbane (est de l'Australie), se servait de pseudos multiples tels que Jazz, Jazzman ou David Bourne, pour attirer des enfants de moins de 16 ans, a déclaré la police.
Il est accusé entre autres de viols, de production et de distribution d'images pornographiques pédophiles, entre 2002 et 2015. Les victimes habitent l'Australie.
D'après la police, il manipulait ses victimes via les réseaux sociaux pour obtenir d'elles des photographies indécentes, dont il se servait ensuite pour faire les faire chanter, et dans certains cas les violer, les filmer et les photographier.
L'enquête à débuté suite à une plainte en avril 2014, a dit au journal Warwick Daily News l'un des enquêteurs, qui a expliqué la longueur des investigations par la nécessité de retrouver les victimes.
"On a eu des réactions très diverses, gêne, état de choc et d'une certaine manière, du soulagement", a déclaré Russell Joyce. "L'enquête se poursuit car nous croyons qu'il y a davantage de victimes. Aujourd'hui, les gamins sont sur internet et il est difficile pour les parents de suivre ce qu'ils font".
La ministre de l'Intérieur de l'Etat du Queensland Jo-Ann Miller a appelé les parents à faire preuve de vigilance. "Ça ne suffit pas de dire qu'on ne comprend rien à Facebook ou qu'on ne sait pas se servir d'un iPhone", a-t-elle dit. "Il faut apprendre à se servir des outils utilisés par les enfants pour les superviser et les guider".
L'homme de 47 ans, originaire de Warwick, près de Brisbane (est de l'Australie), se servait de pseudos multiples tels que Jazz, Jazzman ou David Bourne, pour attirer des enfants de moins de 16 ans, a déclaré la police.
Il est accusé entre autres de viols, de production et de distribution d'images pornographiques pédophiles, entre 2002 et 2015. Les victimes habitent l'Australie.
D'après la police, il manipulait ses victimes via les réseaux sociaux pour obtenir d'elles des photographies indécentes, dont il se servait ensuite pour faire les faire chanter, et dans certains cas les violer, les filmer et les photographier.
L'enquête à débuté suite à une plainte en avril 2014, a dit au journal Warwick Daily News l'un des enquêteurs, qui a expliqué la longueur des investigations par la nécessité de retrouver les victimes.
"On a eu des réactions très diverses, gêne, état de choc et d'une certaine manière, du soulagement", a déclaré Russell Joyce. "L'enquête se poursuit car nous croyons qu'il y a davantage de victimes. Aujourd'hui, les gamins sont sur internet et il est difficile pour les parents de suivre ce qu'ils font".
La ministre de l'Intérieur de l'Etat du Queensland Jo-Ann Miller a appelé les parents à faire preuve de vigilance. "Ça ne suffit pas de dire qu'on ne comprend rien à Facebook ou qu'on ne sait pas se servir d'un iPhone", a-t-elle dit. "Il faut apprendre à se servir des outils utilisés par les enfants pour les superviser et les guider".
