Le groupe TO TATOU AI’A se demande si le Président de l’assemblée de la Polynésie Française a quelque chose à se reprocher. Que veut-il prouver en annonçant qu’il y a eu 153 textes adoptés à l’assemblée de la Polynésie française, quand on sait, qu’une bonne partie, sont des textes initiés par le gouvernement GTS 3 ?
Pensez-vous sincèrement rassurer la population en annonçant fièrement que l’assemblée de la Polynésie française et l’ensemble de ses élus ont bien travaillé ?
On mesure ici toute la vanité d’un tel discours ! Faire des constats c’est bien mais faire le constat des résultats observés grâces aux 153 textes adoptés, c’est mieux !
Cela amuse peut-être la galerie et défoule le cénacle des indépendantistes, mais ces jeux dérisoires ne font pas très sérieux au moment où plus d’un acteur économique retient son souffle, désorienté par l’avalanche de nouvelles taxes et le manque évident d’un cap pour notre pirogue polynésienne.
Peut-on encore se féliciter d’avoir économisé du papier, alors que nos dignes Maohi Socialist pataugent dans plus d’un milliard de biens publics ?
Nous appelons, désormais, à ce que cette « croisade » démagogique cesse et, qu’enfin, une équipe déterminée, engagée pour la population, et compétente prenne à bras le corps la crise qui plombe le moral des familles, qui freine l’activité des entreprises, qui empêche notre pays d’avancer.
L’heure n’est plus aux mascarades diplomatiques et aux voyages politiques payés par le pays. L’heure est à l’action, au travail, et au respect de la démocratie.
Pensez-vous sincèrement rassurer la population en annonçant fièrement que l’assemblée de la Polynésie française et l’ensemble de ses élus ont bien travaillé ?
On mesure ici toute la vanité d’un tel discours ! Faire des constats c’est bien mais faire le constat des résultats observés grâces aux 153 textes adoptés, c’est mieux !
Cela amuse peut-être la galerie et défoule le cénacle des indépendantistes, mais ces jeux dérisoires ne font pas très sérieux au moment où plus d’un acteur économique retient son souffle, désorienté par l’avalanche de nouvelles taxes et le manque évident d’un cap pour notre pirogue polynésienne.
Peut-on encore se féliciter d’avoir économisé du papier, alors que nos dignes Maohi Socialist pataugent dans plus d’un milliard de biens publics ?
Nous appelons, désormais, à ce que cette « croisade » démagogique cesse et, qu’enfin, une équipe déterminée, engagée pour la population, et compétente prenne à bras le corps la crise qui plombe le moral des familles, qui freine l’activité des entreprises, qui empêche notre pays d’avancer.
L’heure n’est plus aux mascarades diplomatiques et aux voyages politiques payés par le pays. L’heure est à l’action, au travail, et au respect de la démocratie.
