Après avoir abattu le fortin Ai'a Api de Mahina, en février 2011, et contre toute attente, Patrice Jamet continue son chemin vers les territoriales de 2013.
Le rassemblement qu'il met en place est baptisé Ia Tura to'u fenua (respectons notre pays, ndlr). Ce rassemblement politique invite à sa première réunion, qui se tiendra le samedi 29 septembre à 14 heures, dans les locaux du siège de Tura to'u fenua, à Mahina, PK 10.5 en face du collège).
Partant de là, Patrice Jamet se donne 126 jours pour convaincre. Il souhaite un rassemblement strictement citoyen et sans couleur politique. Inutile de parler d'alliance, pas plus que de sensibilité autonomiste ou indépendantiste. L'homme ne raisonne pas de cette manière. Il en appelle au rassemblement de personnes de la société civile, aux citoyens de Polynésie et aux jeunes maires, "60% des élus municipaux sont nouvellement élus" estime Patrice Jamet. Leur nouveauté est gage de probité et trouve grâce à se yeux.
Car pour participer à son mouvement, il suffit en premier lieu de ne jamais avoir été élu à l'assemblée de Polynésie française.
"Quand ça ne va pas, j'agis", explique Patrice Jamet, "c'est comme ça. Et j'essaye de proposer des solutions. La situation du pays est causée par les gens que nous avons élus et le pays ne va pas. Ils faut complètement renouveler les élus de l'assemblée de Polynésie. (...) Notre projet c'est de former une nouvelle génération d'élus, au service de la population. On veut amorcer quelque chose pour demain."
Pour l'instant Tura to'u fenua n'a pas de programme, pas plus qu'il n'a commencé à discuter préséance dans le cadre de la constitution d'une liste. "Nous avons de nombreux cerveaux en Polynésie française", explique le candidat, "ils ont fait des études et sont en train de réfléchir au programme que nous allons défendre".
Pour l'heure, ce parti citoyen navigue dans les principes : celui de l'honnêteté en politique et de l'amour de son prochain. Avec le credo que lorsque ces préalables sont appliqués dans la gestion des affaires collectives, le principal est fait. Le reste n'est qu'affaire de technicien.
Le rassemblement qu'il met en place est baptisé Ia Tura to'u fenua (respectons notre pays, ndlr). Ce rassemblement politique invite à sa première réunion, qui se tiendra le samedi 29 septembre à 14 heures, dans les locaux du siège de Tura to'u fenua, à Mahina, PK 10.5 en face du collège).
Partant de là, Patrice Jamet se donne 126 jours pour convaincre. Il souhaite un rassemblement strictement citoyen et sans couleur politique. Inutile de parler d'alliance, pas plus que de sensibilité autonomiste ou indépendantiste. L'homme ne raisonne pas de cette manière. Il en appelle au rassemblement de personnes de la société civile, aux citoyens de Polynésie et aux jeunes maires, "60% des élus municipaux sont nouvellement élus" estime Patrice Jamet. Leur nouveauté est gage de probité et trouve grâce à se yeux.
Car pour participer à son mouvement, il suffit en premier lieu de ne jamais avoir été élu à l'assemblée de Polynésie française.
"Quand ça ne va pas, j'agis", explique Patrice Jamet, "c'est comme ça. Et j'essaye de proposer des solutions. La situation du pays est causée par les gens que nous avons élus et le pays ne va pas. Ils faut complètement renouveler les élus de l'assemblée de Polynésie. (...) Notre projet c'est de former une nouvelle génération d'élus, au service de la population. On veut amorcer quelque chose pour demain."
Pour l'instant Tura to'u fenua n'a pas de programme, pas plus qu'il n'a commencé à discuter préséance dans le cadre de la constitution d'une liste. "Nous avons de nombreux cerveaux en Polynésie française", explique le candidat, "ils ont fait des études et sont en train de réfléchir au programme que nous allons défendre".
Pour l'heure, ce parti citoyen navigue dans les principes : celui de l'honnêteté en politique et de l'amour de son prochain. Avec le credo que lorsque ces préalables sont appliqués dans la gestion des affaires collectives, le principal est fait. Le reste n'est qu'affaire de technicien.
