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Territoriales 2013 : Emile Vernier, chevalier de la départementalisation "pour assainir la situation"


Emile Vernier, tête de liste du RRPP aux élections Territoriales 2013
Emile Vernier, tête de liste du RRPP aux élections Territoriales 2013
L’offre du Rassemblement pour le respect des populations polynésiennes (RRPP) détonne dans le paysage politique local, à la veille des élections territoriales 2013 : un parti de citoyens, qui ne donne plus aucun crédit à la capacité des polynésiens à s’extraire de "la faillite générale" sans le secours tutélaire de la France. Sa proposition : la départementalisation. Interview de son chef de file, Emile Vernier.

Retraité de l’enseignement, qu’est-ce qui vous pousse à vous engager dans cette campagne pour les Territoriales 2013 ?

Emile Vernier : La situation du Pays, celle des retraités, celle des jeunes : la situation de faillite en général. Vous savez, j’ai 60 ans, trois enfants, cinq mo’otua (petits-enfants, NDLR) et un autre en route. Et nous en sommes tous là, dans le Rassemblement pour le respect des populations polynésiennes. Tout ça nous pousse à nous manifester. Le constat est aussi que l’on ne nous écoute pas. Alors la seule solution est d’aller à l’Assemblée. On se rend bien compte qu’il y a quelque qui se passe, une attente dans la population.

Vous souhaitez être représenté à l’APF, quelles solutions comptez-vous prôner pour le redressement du Pays ?

Emile Vernier : Nous ne briguons pas des sièges à l’Assemblée. Nous voulons la majorité. Si j’étais élu et devais participer à une opposition, je me demande même si je resterais. (…) Nous avons déjà des mesures d’urgence. La première est de faire un point de la situation économique et financière de notre pays. Dès après l’élection, il faudra rencontrer l’Etat, à Paris, tout de suite, pour lui expliquer cette situation avec d’autres mots. Nous souhaitons que l’Etat s’occupe du Pays. Et donc, deuxième mesure d’urgence : il faut clarifier une bonne fois pour toutes l’avis de la population sur la question de l’indépendance. Avant la fin de l’année 2013, nous mettrons en place un référendum à propos de cette question (…). L’article 1er du statut d’autonomie de 2004 prévoit ce moyen de consultation populaire. Pourquoi n’y a-t-il jamais eu de référendum sur la question de l’indépendance, avant d’engager toutes ces démarches à New York ? Le gouvernement se fiche du monde et des électeurs.
Elus nous consulterons la population par le biais du référendum pour toutes les décisions importantes qui engagent la vie de la société.
Nous diminuerons également le nombre de ministres du gouvernement à cinq et à 20 le nombre de conseiller techniques. Dès que possible on fera voter une diminution des indemnités des élus de l’ordre de 30 à 50%. En termes d’image, il est important de montrer que la classe politique ne va pas là-bas pour l’argent. C’est important pour restaurer la confiance de la population dans ses élus.
Le statut d’autonomie est un statut excellent que les hommes politiques locaux ont dévoyé pour l’argent. Ils se sont gavés sur le dos de la population. Il y a des gens très riches à l’assemblée.


Quelle est votre approche sur la question du foncier ?

Emile Vernier : En 2004 le slogan des indépendantiste était Fa’aho’i te fenua no te nuna’a (rendons la terre au peuple, NDLR). Rien n’a été rendu à ce jour. Au contraire on tente de spolier les terres, à travers diverses mesures. (…) Il y a aujourd’hui 218 000 hectares dans toute la Polynésie que le gouvernement essaie de prendre, faute de succession. Ca nous annulerons. Nous considérons que ce n’est pas au propriétaire de faire des efforts pour prouver que c’est à lui, c’est au gouvernement de faire les recherches et de contacter les ayants-droits.

Vous proposez de créer un service public chargé de régler ces questions ?

Emile Vernier : Ce service existe déjà, dans l’espace républicain, en Corse : le Girtec, créé en 2007 (Groupement d'intérêt public pour la reconstitution des titres de propriété en Corse, NDLR). En Corse le problème est comparable au notre. Ils n’ont pas de titres de propriété. On propose la création d’un Girtep, en Polynésie : un service public chargé de régler ces questions de terre.

Sur le fond, le fer de lance de votre proposition politique est la départementalisation. Comment expliquez-vous cette position ?

Emile Vernier : Je viens de vous donner la réponse. Le statut d’autonomie n’a à mes yeux plus aucune valeur. Il n’a pas servi à construire notre pays. Combien de milliers de milliards Fcfp avons-nous eu depuis le début du CEP ? J’ai fait une estimation entre 7 000 et 10 000 milliards Fcfp, depuis 1962. Ca fait des sous. Quand je vois où tout cela nous a mené, j’ai pitié de ma population.
Nous demandons la départementalisation pour assainir la situation de la Polynésie française. L’Etat gère les fonds et l’Assemblée élue proposera les grands travaux. Le francs CFP sera remplacé par l’euro. Un impôt sur le revenu sera mis en place. Et cet impôt est très important pour restaurer une équité devant l’impôt. Notre pays est fracturé entre des très riches et des très pauvres. Et au milieu il y a nous. Nous ne pouvons pas supporter ça. Ce pays est tellement beau. Le département serait pour une période transitoire de 20 à 30 ans. Le temps d’assainir la situation. Le temps de mettre en place des aides aux plus démunis comme le RSA (Revenu de solidarité active, NDLR).


Vous pensez que les polynésiens sont inaptes à se gouverner dans le cadre d’un statut d’autonomie ?

Emile Vernier : Sur ce qu’on a vu jusqu’à aujourd’hui, c’est une évidence. Les gouvernants locaux ont montré leur appétit pour l’argent, se sont vendus. Au RRPP, nous ne devons rien à personne et nous ne voulons rien devoir.

Au terme du premier tour, le 21 avril prochain, quelle sera votre attitude si vous êtes amenés à choisir un rapprochement avec les listes qualifiées pour le second tour ?

Emile Vernier : Personnellement, compte tenu de la particularité de notre démarche et notre souhait de départementalisation, si je devais prendre cette décision, je serais incapable de me rapprocher de quiconque : l’autonomie c’est permettre encore à des dirigeants de nous voler ; l’indépendance, nous ne souhaitons pas cela. Je ne peux plus accepter que des personnes, sous couvert d’autonomie deviennent des milliardaires. Voilà ma position, aujourd’hui, personnelle.
(…) Qualifié pour le second tour, là les choses sont simples : si nous sommes au second tour, nous remporterons cette élection. Regarder le nombre d’abstention, aux dernières élections législatives : ces gens-là ne veulent plus voter pour eux. C’est pour ça que je lance un appel : votez pour nous !

UIUIRA’A MANA’O IA EMILE VERNIER TĀNE

Emile Vernier, a vauvau mai te mau rēni arata’i o tā ‘oe tārena ?

Emile Vernier : Nō mātou nei, tē horo nei mātou nō te hō’ē tārena e pae tāpa’o. Te tāpa’o mātāmua : te pārurura’a ihoa ïa i te mau ta’ata te i fa’atuha’a hia e te feiā  ma’i. Te piti o te tāpa’o, te parau ïa nō te fenua. Te toru o te tāpa’o, hina’aro mātou ‘ia pāruru hia tō tātou nūna’a nō raro roa, nūna’a ‘aita e moni tā rātou. E te maha o te tāpa’o, ‘ia riro tō tātou fenua mai i te hō’ē « Département », e mata’eina’a rahi no farāni.

Te nā’o ra ‘oe mea rahi te mau ta’ata o te ora nei ra ia au i te hō’ē fāito moni haeha’a roa, te reira mau ihoa o tā ‘oe i ‘ite ?

Emile Vernier : Te reira mau ihoa ! Mea rahi a’e te mā’ohi te i raro a’e noa rātou i te 20 000 farāne, i te mau ta’ata te i ni’a. Mea rahi ! Mea rahi ! I ni’a i tā mātou tāpura, tē vai nei te hō’ē vahine, e fārerei vau iā na ‘ananahi. Tā na moni : 12 000 i te ‘ava’e. ‘Ua pohe te tāne. ‘Ua fa’aho’i  te « CPS » terā 12 000 farāne i te ava’e i ni’a iā na nō te fa’aora i tō na ‘utuāfare. Piha’iho iā na, tē vai nei te hō’ē mo’otua nō te piha maha i te fare ha’api’ira’a tuarua. Nāhea pa’ai ‘ō na e nehenehe e rave maita’i i te ‘ohipa, nā roto noa ihoa i te hō’ē mōriêhinu ānei a ore ra te hō’ē mōri mata’i. Mea pe’ape’a, mea māuiui !

Te fa’ahiti ra ‘oe te fifirau e fārerei hia ra i te pae o te fenua, ‘eāha ïa tā ‘oe ‘ōpuara’a ?

Emile Vernier : ‘Oia mau, te fifi e vai nei i roto i tō tātou fenua, hō’ē ā i tō te fenua Corse.  ‘Aita hō’ē a’e pū e fa’a’ite mai ra te mau papara’a tupuna a te mau ta’ata ato’a. I te fenua farāni, ‘ia pohe ana’e te hō’ē ta’ata, e horo’a hia e ono ‘āva’e nō te vavāhi te faufa’a nā i ni’a i te hua’ai tāta’itahi. E ono ava’e. Mai te mea ‘aitia i oti, i te hitura’a o te ‘ava’e, e haru te hau te tahi faufa’a. E hōro’a hia e ono ava’e. Tā tātou, ‘aita ! E nehenehe tātou e vaiho i tā tātou faufa’a i roto i te vavāhi ‘ore, hānere e hānere matahiti noa nā reira. Te fifi i teie taime, ‘aita e papara’a tupuna.
‘Aita ato’a e nehenehe e fa’anoa’a i te parau fatura’a nō teie a ore ra terā fenua. Te vai nei te tōmite. ‘Ia noa’a ana’e i teie tōmite, e parau ihoa ïa te tahi pae o tō tātou nūna’a « Ah ! Nō’u ihoa ïa teie fenua. » ‘Aita pa’ai e ‘ite hia i te mea ‘ua tōmite a’e na hia paha i teie tāpū fenua i te mau matahiti 1890 ra. E mai i taua tau ra tae roa atu i teie mahana, ‘aita e hō’ē a’e ‘ā’amu nō teie fenua. Nehenehe ‘ōna e ho’o hia, nehenehe ‘ona e ‘aitau hia, ‘aita tātou e ‘ite. Tō tātou pa’ai hua’ai tamari’i nō ‘ananahi.
Nō reira, mea ti’a ia te hau fenua ia ha’amau i te hō’ē pū nō te pā’imi te ‘ā’amu nō terā e terā fenua. I teie mahana, mea fifi roa nō tō tātou nūna’a nō te mea ‘aita rātou e ta’a fa’ahou. A ha’amana’o na i te matahiti 2004 ra, ‘ua nā’o mai ra te tahi pūpū « e fa’aho’i hia i tō ‘outou fenua! ». I teie mahana, te nā’o ra ‘oia (Oscar Temaru tāne) « i teie mahana, te ‘īa ra vau i te fenua ». Tā mātou, e piti ture o tā mātou e tu’u i roto i te ve’a a te hau, e fa’a’ore mātou. ‘A vaiho atu i te hau fenua e ha’apa’o i te pae o te papara’a tupuna nō te mea ‘e rāve’a tā na. Nā na e fa’a’ite mai te papara’a tupuna nō terā e terā atu mau ‘ōpū fēti’i.
Nō mātou, e ti’a ihoa ‘ia ha’amau teie pū pi’i hia « GIRTEC ». I farāni, ‘ua ha’amau hia ‘oia i te matahiti 2007 ra. Te vai ato’a nei teie pū i te fenua nō Corse. ‘Ia mana’o ana’e vau, ‘aita e nehenehe e ha’amau i te reira i’ō nei, nō te mea e ‘ere tātou e « Département ». Mea rahi te mau vāhi ‘eita te hau farāni e tauturu ia tātou nō tā tātou papa ture ‘ōtōnōmī. Nō reira mātou e haere i ni’a i terā fā’otira’a : e turu mātou i te ha’amata’eina’ara’a. ‘Ia hi’o ana’e hia, terā paha te toru o te ‘ē’a !


‘Aita ‘oe e tū’ati ra i te huru fa’anahora’a poritita a vētahi mau pūpū, ‘eāha ïa te vāhi ta’a ‘ē i roto pū ia ‘oe ‘e rātou ?

Emile Vernier : ‘Ē ! ‘Eiaha pa’ai nā te moni e fa’atere ia tātou, nā te ta’ata ra. ‘A fa’aho’i mai te fa’aterera’a ia te mā’ohi. ‘A tu’u te mā’ohi i rōpū. Nō te mea, i teie taime ‘ia ‘ite ana’e vau te tahi mau pūpū poritita e hina’aro ra e fa’a’ite e mea pūai roa rātou. ‘E piriaro ‘āpī ana’e. Mea fa’atāmā’a roa ia rātou. Mea haere roa e ti’i i te mau ta’ata  i Taha’a, Bora Bora. Ia mātou e fa’atupu nei i tā mātou mau rurura’a, ‘aita e fa’atupu i te tāmā’ara’a. ‘Aita e pe’e ia mātou.
‘Aita e nehenehe iā’u e ani i te moni i te hō’ē vahine e 12 000 farāne noa tā na i te ‘āva’e. Mea haere noa mai mai i terā. Nō tō na here. Nō reira vau e pe’ape’a ai (…) i teie mahana, nā te moni e fa’atere nei ia tātou. Nā te moni e ha’avi’ivi’i i tō tātou ferurira’a. E hina’aro mātou ‘ia tūmā hia i te reira mau ravera’a. ‘O mātou, ‘e ‘ere o vau ana’e, te here nei mātou i tō mātou fenua. Te parau nei au, ‘aita mātou e haere i’ō nō te moni.


Te hina’aro ato’a ra ‘oe e taui te huru o te fa’aterera’a hau fenua, ma te fa’atopara’a i te fāito nūmera o te mau fa’atere hau. Nā reira ato’a nō te mau ti’a i te fare ‘apo’ora’a rahi ?

Emile Vernier :  Nō te rahira’a o te mau ti’a i ma’iti hia i te fare ‘apo’ora’a rahi, ‘aita ‘e ‘ere nā tātou. ’Ua tu’u hia i roto i te papa ture o tō tātou nei fenua, e 57 ihoa. A piti, nō te rahira’a ra  o te mau fa’atere hau, i’ō, nā tātou. Nō te mea, te parau ra te papa ture « ‘eiaha e hau atu i te ‘ahuru ». Tē parau nei vau, ‘ia fa’atopa hia i ni’a i te faito pae ta’ata nō te ha’amāmā te mau ha’amau’ara’a o te fa’aterera’a a te hau. E hi’ora’a ato’a nā te nūna’a. ‘Ia ‘ite ato’a ‘oia i te mea ‘aita mātou e horo nō te moni. Nō reira, ‘ua tano ihoa, a fa’atopa te mau fāito moni  a te hau fenua, tae noa atu i tā te mau ti’a nō te ‘apo’ora’a rahi  i ni’a i terā  fāito 30 tae atu i te 50 i ni’a i te hānere.

Mai te peu e ma’iri atu ‘outou i te hatuara’a mātāmua, ‘eaha ïa i tō muri mai ?

Emile Vernier :  Mai te mea te i ni’a mātou i te 5 tae atu i te 12.5 i ni’a i te hānere, i roto i terā ārea,  e nehenehe mātou e fa’a ō i roto i te tahi pūpū poritita horo. Te fifi ra i teie mahana, te hina’aro nei mātou ‘ia tāmā hia te orara’a poritita. ‘Aita vau e mana’o e  mai te mea e vai noa te ‘ōtōnomī, e tāmā hia teie orara’a poritita. Nō reira, i teie taime, ‘aita e nehenehe ia ‘u e parau ‘e tāpiri mātou i te tahi pūpū nō te mea ‘aita ihoa mātou e ‘āfaro i te ‘ōtōnomī. E ha’apa’o noa i te pūtē. ‘Ia mātou, te « Département », e ha’apa’o i te nūna’a.
Te ti’amāra’a, te mea o tā’u i ‘ite nā roto i te roro uira, ‘ia haere ana’e ‘oe i Vanuatu ānei a ore ra i te tahi atu mau fenua o te i ti’amā, ‘Auē ! ‘aita vau e hina’aro tā’u nūna’a ia tae i ni’a i terā huru. ‘Ahani ra tātou mai ia Taratoni mā, mea ‘ē ïa. Mea rahi i tā rātou faufa’a.  Tā tātou faufa’a, te rātere noa. E te iti noa ra te mau rātere. Te vai nei te tumu. Nō te aha te fāito rātere i topa ai ? Nā mua a’e, ‘aita tātou i tae atu ra i ni’a i terā fāito 300 000 mau rātere. I teie mahana, te ‘āfara’a noa. I te matahiti ma’iri a’e nei, te i ni’a ana’e i te fāito 162 000 mau rātere.
‘Aita tātou e ora i te reira noa mau fāito rātere. Nō mātou, e haere mai te mau rātere mai te peu te vai ra te tahi mau vāhi mai te mau casino ānei, mai te hō’ē vāhi mata’ita’ira’a i’a huru rau, a ore ra te tahi vāhi ha’utira’a mai ia Disneyland ma. Te vai ra te mau ‘ona nā rāpae mai o te riro i te haere mai e tu’u i tā rātou moni io tātou nei. I teie mahana, ‘aita rātou e haere mai. ‘Ua ‘ite rātou mai te mea e ti’amā teie fenua, ‘e topa tari rātou. E topa tari te orara’a. ‘Ua ‘ite rātou, ‘e ‘ere rātou i te mea ma’au !

 
Mai i te peu e riro o Porinetia ei Mata’eina’a nō Farāni, nō te hō’ē tau roa ?

Emile Vernier : ‘Aita, nō te mea, mea rahi te tauturu tā te hau farāni e horo’a nei nō tō na iho nūna’a, tae noa ato’a atu nō te tahi ā mau fenua ‘aihua’a ra’au. Te ‘ere ra tātou i te rahira’a o te mau tauturu  nō teie noa papa ture tō tātou. Nā te reira e pāto’ito’i te tahi mau ravera’a rau. ‘Aita te mau ti’a o te fare ‘apo’ora’a rahi e tau’a noa a’e i teie nūna’a ri’i ri’i tō tātou. Mea moni a’e rātou, fātata roa i te hō’ē mirioni i te ‘āva’e.’Aita ihoa ïa rātou e fa’aro’o mai ra te nūna’a e autā ra. Nō reira, mai te peu e manuia noa atu mātou, e ani mātou i te mana’o nō Pōrīnetia pa’ato’a, i ni’a ihoa rā te parau nō te Ti’amāra’a ‘e te Ha’amata’eina’ara’a.
Nō teie ‘ohipa, e nehenehe e rave i te reira nō te hō’ē  tau 15 haere atu 20 matahiti. I muri mai, e ho’i mai ā mātou i mua i te aro o te nūna’a nō te ani i tō rātou mana’o, e rave tāmau ānei a ore ra e taui te papa ture. ‘Aita mātou e rave teie mau fā’otira’a nā roto noa i tō mātou mana’o. E fa’atura hia ihoa te reo o te nūna’a. ‘E taime nahonaho teie nō te fa’aineine i tō tātou ‘ananahi.


‘Ua fa’atuha’a hia ‘oe, e orara’a nahonaho to ‘oe, ‘eaha ïa te tumu ‘oe e ‘aro fa’ahou ai ?

Emile Vernier : ‘Ua ‘ite ‘oe, aroha rahi tō’u ‘ia ‘ite ana’e vau i tō’u nūna’a i roto i te fifi. Parau mau, e moni tātuha’ara’a tā’u, terā ra, ‘aita te reo o tō’u nūna’a e fa’aro’o hia ra. Pau o tō na autara’a, e ‘au e ‘aita ihoa ‘oia e tau’a noa hia a’e. A tīrē te ‘ohipa pi’o. ‘Ia maita’i te huru o te orara’a.
 
TP
 
 
 

Rédigé par Jean-Pierre Viatge le Mercredi 13 Mars 2013 à 15:12 | Lu 1983 fois
           



Commentaires

1.Posté par lou le 13/03/2013 17:04 | Alerter
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Ce pauvre Vernier est ridicule: Qu'est-ce que ça change la départementalisation?
Si nos élus sont vraiment tous des pourris et des incapables, ils continueront leur "méfaits" quel que soit le statut.
Ne vaudrait-il pas mieux de faire de la Polynésie un vaste camp militaire???

2.Posté par Gaucho le 13/03/2013 18:11 | Alerter
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Avec Emile Vernier les choses sont très claires, on sait exactement ce qu'il va se passer, son programme et net ,sans bavure, ce n'est pas le cas des autres candidats, ils se présentent, mais ne disent rien sur ce qu'ils vont faire, mais bon c'est normal ils vont faire comme d'habitude: se remplir les poches sur le dos de la population.
Seule la départementalisation sortira la Polynésie de l'enlisement dans lequel elle est.
Seule cette troisième voie empêchera les indépendentistes de créer une dictature religieuse, et empêchera les autonomistes de créer une espèce de république bananière.
La départementalisation garantira la démocratie dans un pays ou sont nés les droits de l'homme, et nous ouvrira un horizon européen, marche pied d'une économie mondiale

3.Posté par . CORROSOL le 13/03/2013 20:22 | Alerter
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avant de décider de la départementalisation, de l'indépendance ou de la poursuite de l'autonomie actuelle: il faut demander au peuple ce qu'il veut en mettant dans la balance ce qu'on va perdre et ce qu'on peut gagner.
C'est ça la démocratie

4.Posté par Mr Lafontaine le 13/03/2013 21:27 | Alerter
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Il a une tête de winner notre chevalier!

5.Posté par Début-2-la-faim le 14/03/2013 01:56 | Alerter
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MULTIPLICATION DES PETITES LISTES = DIVISION DES AUTONOMISTES + DÉMOBILISATION DES ABSTENTIONNISTES = > MAINTIEN AU POUVOIR DES ANCIENS PARTIS

ET MORT ENTERRÉE DE L’ESPÉRANCE DU CHANGEMENT TANT ATTENDU !!!

MI-MILE : FAIS ALLIANCE OU ABSTIENS-TOI ! Tu veux la DEPARTEMENTALISATION, mais tu ne vas remettre aux manettes que la FAILLITE DU TAHOERAA OU LA FOLIE INDÉPENDANTISTE. SOIS RESPONSABLE !!!

6.Posté par inconnu le 14/03/2013 03:09 | Alerter
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Le problème c'est qu'il n'existe aucun départements d'outer-mer qui prospèrent: martinique, gaudeloupe, réunion, mayotte c'est un désastre, beaucoup de chômage, pas de croissance. En revanche les collectivités territoriales elles marchent bien: Nouvelles-calédonie, saint-martin, saint-barth et la Polynésie pendant près de 20 ans. C'est la gestion désastreuse du taui depuis 2004, un projet politique fondé sur de la rancoeur, du racisme assumé, et le spectre de l'indépendance qui ont fait fuir investisseurs et les gens compétents. Pour la constitution d'un front autonomiste, avec une fiscalité faible donc attractive voilà notre seule solution. Quant à l'euro, il étrangle les pays de l'europe du sud Grèce, l'espagne, portugal en rendant ses exportations trop cher. Il faut garder le francs pacifique mais ne plus l'indexé sur l'euro, comme le francs CFA en son temps avait été dévalué de 50% par rapport au francs français.

7.Posté par wakrap le 14/03/2013 07:58 | Alerter
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Ouaip, j'organiserais bien un dîner sur la départementalisation en l'invitant. Ceci dit, rêver de demander à une entité, qui aligne bientôt 40 années continues de déficit budgétaire, de gérer notre vie est d'une touchante naïveté.

8.Posté par KAINA54 le 14/03/2013 09:25 | Alerter
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Je suis pour l'impôt sur le revenu, contrairement à ce que disait Teva T hier au soir à la TV, ce n'est as les pauvres qui va encore payer, si l'impôt sur le revenu est bien fait, juste et équitable, le petit Tetuanui qui ne gagne même pas le SMIG, n'aura rien à payer, il faudra faire des tranches d'imposition, de 80 à 149 999f/mois= Forfait à 5 000f/An- 150 à 300 000f/mois=1%/an - 301 à 450 000f/mois=1.5%/An- 451 à 550 000f/mois=2%/An- 551 à 650 000f/mois= 3%/An- 651 à 700 000f/mois = 4%/An- 701 à 750 000f/mois=5%/An- 751 à 800 000f/mois= 6%/An- 801 à 850 000f/mois=7%/An- 851 à 950 000f/mois= 8%/An - 951 et PLUS/mois = 10%/An. On SUPPRIME la TVA la TDL et tout les autres petits TAXE qui alimente les caisses du PEI. Vous verrez que la Polynésie et surtout la Population vivronts MIEUX et il n'y aura plus d'exclut ou de Pauvres....
A PRENDRE DE LA GRAINE LES FUTURS du Gouvernement.....

9.Posté par beaulieu jean pierre le 14/03/2013 10:13 | Alerter
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Je suis asser d'accord avec KAINA54, l'impôt sur le revenu, serait une bonne chose si il vient en remplacement d'une bonne par des taxes diverses qui en étrangle plus d'un. La ou je suis moins d'accord c'est sur les pourcentages qui devraient être plus élevés pour les gros salaires. Par exemple 10% pour les salaires de 500 000 FCP ferait qu'il lui resterait quand même 450 000 Cfp en net
Teva R, disait que ce sont surtout les gens de la classe moyenne qui seraient atteint; question, à partir de quel salaire pense t'il que l'on fait parti de la classe moyenne ?

10.Posté par [email protected] le 14/03/2013 14:09 | Alerter
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Emile .... un doux (?) rêveur .... qui croit que l'Etat va se surcharger avec un département de plus !
il a déjà fort à faire avec sa dernière "erreur " ... celle de Mayotte !
Emile n'a pas compris qu'en métropole aussi , l'heure était à la rigueur !

11.Posté par Faut pas pousser! le 14/03/2013 14:29 | Alerter
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Intéressante l'analyse de inconnu post 6. cela reste un raccourci certes mais ça vaut la peine d'y réfléchir.

12.Posté par RQ le 14/03/2013 15:17 | Alerter
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iaorana ,
hier soir Monsieur Emile , tu nous a fait de la peine ! Imaginons que vous soyez élus , que deviendrons nous et nos enfants , nous avons équipe actuelle chargée du Taui , voyons ce que ça donne , tous les moteurs de l' économie sont partis .Il faut de la compétence ! pas du chalala ; Il y a des gens très compétents dans ce pays ,choisissons et retenons les , car ailleurs ils sont apréciés !

13.Posté par TETUMU le 14/03/2013 16:14 | Alerter
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Emile Vernier, crois tu que la départementalisation va rendre la terre aux Polynésiens? Non mais! vous rêvez en tricolore ! Toute cette colonisation depuis 200 ans n'a fait qu'accroitre le vol des terres... Si vous aimez tant vivre la départementalisation, allez donc en France y vivre! Je suis français, et je n'ai pas envie de rentrer en France pour y vivre. Même si la vie est plus chère, ici avec peu.on vit bien. Il y a du soleil toute l'année.
Avec la départementalisation, les chômeurs de France vont se rappliquer illico presto, pour toucher le RMI et se dorer au soleil, et toutes les places d'emploi seront pour eux.
Dans le monde entier, la relance économique est en baisse. Le taux de chômage augmente dans tous les pays. Vous n'avez qu'à voir l'Espagne, la Grèce, la France, etcc....comme en Polynésie.... Bientôt nous allons vivre dans des caravanes....

14.Posté par doudou le 14/03/2013 16:27 | Alerter
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le post 6 parle des departements outremer,eu touche le RSA pour les gens qui ne travaille pas.En departement il a oublier la guyane,que la France est loin de leur donner l'independance(centre spacial+or et petrole)donc pas de soucie pour eu.Ensuite il parle des collectivités térritoriales,nouvelle caledonie marche bien grace au Nickel.St martin et Saint Barth marche bien pour le tourisme mais n'oublions pas que ce sont des zone franche.Donc pas de taxe.Pour la polynésie il faudrait faire de mème,créer une zone franche pour que les touristes et investisseurs soit interressé.Mais faudrait savoir se que l'on veut entre la tranquilité et le developpement du tourisme avec casino,discothèque et tout ce que apporte les soirées (drogue,prostitution,alcool etc...)ils passent tous par la.

15.Posté par emere cunning le 14/03/2013 18:09 | Alerter
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Vernier, notre petit pépère s'affole. Et il a bien raison. Jusqu'ici verni de la tête aux pieds avec son boulot pépère et stable, son chouette salaire, son ITR, sa petite association d'instits retraités en vadrouille permanente à Las Vegas pour aller jouer les toata que Gaston Flosse s'est saigné pour leur obtenir... sauf que y'a plus quelqu'un maintenant pour porter sa bonne parole de patriote au rabais à Paris. Loin d'être bête, il sait que la France va mal, et pis ses départements, quels qu'ils soient. But nevermind, pépère il est, pépère il restera (pour dire les choses gentiment) comme bien d'autres ici. Alors, il nous a dégoté sa départementalisation en espérant que tout continuera à lui tomber tout cuit dans son beau bide.

16.Posté par inconnu le 15/03/2013 01:55 | Alerter
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@doudou je suis d'accord avec toi, ça reste malgré tout un choix! mais Tahit est plus ou moins une zone franche il y a beaucoup moins d'impôts qu'en France, les tahitiens ne le réalisent pas, mais mettre l'impôt sur le revenu serait une catastrophe pour la Polynésie, ça ferait fuir les dernières personnes qui consomment. Et mettre le RSA en place= encourager les gens à rien faire, et le travail au black

17.Posté par wakrap le 15/03/2013 07:59 | Alerter
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Kaina et JP sont en pleine décontraction. Jouent à fixer des taux d'IRPP en jugeant si il en reste assez au tondu! De petit totalitaires en culotte courte. Je vous rappelle la DDH et la sanctuarisation de la propriété privée. Il est répugnant de voler cette propriété autrement que pour participer à proportion de ses revenus au fonctionnement de l'Etat. Si vous inversez le raisonnement, combien je peux prendre sans qu'ils ne se révoltent et puissent encore manger, c'est immoral, laid et contraire aux droits les plus fondamentaux de l'homme. De vrais socialauds en roue libre.

18.Posté par wakrap le 15/03/2013 08:14 | Alerter
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@ notre inconnu. Il y a moins, mais un peu moins d'impôts ici qu'un métropole. Plus que dans beaucoup de pays. On est à 40% du PIB ici, soit un peu plus plus que la moyenne de l'OCDE et en plus on ne paie pas les fonctions régaliennes arméee policie justice ni l'éducation. Ce qui fait qu'on est le pays de la planète où l'on paie la plus d'impôts par rapport au service rendu. En rajouter est une folie.

19.Posté par Lou le 15/03/2013 08:31 | Alerter
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@wakrap (18): "...le pays de la planète où l'on paie la plus d'impôts par rapport au service rendu". Quel raisonnement tordu! Nous sommes en République française, dont nous bénéficions des services de l'Etat comme les autres: Police, armée, diplomatie, recherche, enseignement supérieur... plus les subventions directes de l'Etat.
Si l'on prend en compte tout cela, nous sommes beaucoup moins imposés que le reste des Français.
Que nos impôts indirects (et un peu directs avec la CST) soient mal utilisés, et même gaspillés, c'est une évidence. Mais il ne faut pas aller pleurer que nous les plus imposés "de la planète" (D'ailleurs, qu'est-ce que vous en savez?).

20.Posté par wakrap le 15/03/2013 09:55 | Alerter
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Et tu te dis journaliste! et tu es incapable de savoir que l'on est ici plus imposés que la moyenne de l'OCDE ? On donne la carte de presse comme on donne le bac de nos jours ! Prend n'importe quel journal , n'importe quel site, tape OCDE PIB sur google... tu auras les chiffres et tu verras qu'on est plus imposés ici que la moyenne de l'OCDE mais avec un service minable. On ne pleure pas d'être plus imposés, on le constate on s'en révolte car c'est un vol légal et immoral étant donné le service minable que l'on en retire. Mais c'est aussi parce que l'on ne paie pas d'impôts pour financer les subventions à la presse de pignoufs qu'on en paie moins.

21.Posté par Lou le 15/03/2013 10:52 | Alerter
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@wakrap: Faux, archi faux! Parmi les pays considérés comme paradis fiscaux figure "La Polynésie française, où n'existe ni impôt sur le revenu, ni ISF, ni droits de succession" (Wikipedia). En Polynésie, si tu vis sur ta terre de l'agriculture ou de la pêche et que tu ne consommes aucun produit sur lequel pèse la TVA, tu peux vivre sans payer d'impôt.
La Polynésie n'est même pas sur la liste de l'OCDE, et la Nouvelle Calédonie est très loin derrière la France et surtout les Pays du Nord de l'Europe.
Par rapport à ce très bas niveau d'imposition nous bénéficions de très bons services publics (va voir en Afrique).
Et cela n'a rien à voir avec une soi-disant carte de presse que je n'ai pas. Mesure un peu tes propos, tu dis trop de bêtises.

22.Posté par wakrap le 15/03/2013 12:34 | Alerter
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Site de l'ISPF : 38%de prélèvement. Moyenne de l'OCDE 36% 38% c'est énorme et bien plus que la moyenne de l'OCDE et nos services publics sont assez minables par rapport à la moyenne de l'OCDE http://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9l%C3%A8vements_obligatoires . ISF + IRPP représentent 5,4% des prélèvements en France, pas plus. http://www.contrepoints.org/2013/02/11/114473-tout-le-monde-paie-des-impot Vu de l'enfer fiscal de France même la Belgique, hyper imposée est un paradis fiscal à voir combien y fuient. Oh si, tu paies des impôts et quantité même en vivant de ton faapu (taxes EDT, essence, eau, tel, taxe foncière, taxe sur le matériel de jardinage, liste infinie...) Tu as un côté pathétique à vouloir imaginer un monde qui n'existe pas. Et tu n'as pas contredit un seul de es chiffres et propos. Allez, vas y, prend un seul et unique chiffre que j'ai donné et contredit au lieu de bouffoner.

23.Posté par inconnu le 16/03/2013 01:51 | Alerter
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il y a tellement d'exceptions au codes des impôts, de dispositifs de défiscalisations qu'au final l'imposition direct en polynésie est extrêmement faible

24.Posté par Jeff le 16/03/2013 09:53 | Alerter
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A propos des impôts, je trouve que c'est très dommageable que beaucoup ne sachant même pas comment fonctionne notre fiscalité, se permettent donner des avis et des leçons ! Effectivement et ce n'est un secret pour personne, notre poids fiscal est aussi lourd, si ce n'est plus, que celui de la métropole et ce, alors que tous les services régaliens sont pris en charge par l'état. Lisez un peu les rapports de l'IEOM, vous serez définitivement éclairés sur la question. Notre fiscalité est aussi parmi les plus injustes au monde, car étant indirecte, prélevée sur tout ce qui s’importe et se consomme, elle touche surtout et en particulier les plus défavorisés. Rien que sur ce point la départementalisation aurait pour effet immédiat de soulager la pression qui s’exerce sur les plus petits et de repartir l’effort de contribution de manière plus équitable. Voilà qui explique pourquoi tout est si cher chez nous.

25.Posté par Manou le 16/03/2013 10:01 | Alerter
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Eh Lou, où tu as vu jouer que chez nous on paye pas d'impôts ? Amuse toi à calculer combien tu payes en impôts indirects chaque mois....Calcule combien d'impôts il y à dans le prix d'une canette de Coca cola. Calcule ce que tu payes comme impôts dans tes courses du mois, en plus de payer la TVA !!! Tu vas tomber par terre !!!

26.Posté par Mere le 16/03/2013 11:01 | Alerter
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@Lou et inconnu, wakrap à raison parce que vous ne comparez que les standards d’imposition directe. Or en Polynésie le système est différent car le plus gros des prélèvements fiscaux se fait de façon indirecte. L’imposition directe chez nous ne pèse pas lourd et de ce fait, les gens ont l’impression de ne pas payer beaucoup d’impôts. Mais dans la réalité ils en payent beaucoup, indirectement tous les jours, en plus de la TVA. Ce sont les impôts et taxes à l’importation, (y compris sur les produits d’origine CE), qui sont inclus dans les prix des marchandises. Ce sont des prélèvements fiscaux que nous payons sans nous en rendre compte.

27.Posté par wakrap le 16/03/2013 12:13 | Alerter
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Il faut nuancer les choses en fonctions des catégories fiscales: le monde salarié et fonctionnaire vit en quasi franchise fiscale directe. Par contre le sociétés paient bien plus d'impôts direct que partout ailleurs dans le monde sauf peut être Cuba et j'en suis pas sur, les non salariés en paient un peu moins qu'en métropole mais un niveau très proche quand on ajoute patente et impôt sur les transactions. Le paradis ici est pour les moins productifs et les plus privilégiés, les fonctionnaires, leurs impôts indirects sont compensés par leur majoration. Eux sont dans un vrai paradis fiscal, les autres rament en enfer pour le paradis des fonctionnaires.

28.Posté par doudou le 16/03/2013 15:27 | Alerter
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Niveau impot,quand ils ont mis la Tva il devaient nous enlever octroie de mer,ceci n'a jamais ete fait.Quand on me dit que la polynesie est plus ou moins une zone franche cela me fait rire,c'est une zone franche pour ce qui on des societes avec la defisque.Mais pour les autres tout est taxé avec des prix a faire peur mème les touriste qui reparte les mains vides.donc arreté de prendre les gens pour des imbeciles avec des taxe pour pouvoir payer tout les pistonés des municipalité et des GIP et des autresqui sont payer pour allez voté les maires et autres qu'ils les ont embauché.Nous avons plus les moyens de payé des gens pour boire le café en longueur de journée.Voila le problème.Faite le ménage et nous aurons moins d'impot

29.Posté par Phil le 16/03/2013 16:47 | Alerter
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Notre fiscalité indirecte concerne tout le monde car lorsque vous achetez n'importe quel produit importé, vous payez des taxes d'importation qui s'appliquent sur le prix de la marchandise plus le coût du fret. Tous les consommateurs sont donc concernés par l'imposition indirecte. C'est pourquoi le fenua est parmi les endroits les plus chers au monde.

30.Posté par Pacman le 16/03/2013 17:02 | Alerter
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Si on mets en place l'impôt direct comme dans les autres départements, alors il est normal que l'on supprime tous les impôts indirects ! Cela aurait pour effet de rendre notre coût de la vie 38% moins cher et de prelever l'impôt de manière plus juste et plus équitable.

31.Posté par wakrap le 16/03/2013 17:55 | Alerter
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L'impôt direct n'est en rien plus ou moins juste ou équitable. Ce qui compte, quel que soit les impôts , c'est que tout le monde les paie. Et actuellement les entreprises et les non salariés paient des impôts directs et indirects et les salariés et fonctionnaires seulement les impôts indirects. Ce qu'il faut, au minimum, c'est supprimer les impôts directs des non salariés pour les mettre à égalité selon la constitution et les droit de l'home avec les salariés et les fonctionnaires.

32.Posté par inconnu le 17/03/2013 05:36 | Alerter
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@wakrap, belgique=paradis fiscal non je ne crois pas, le régime fiscal est simplement plus favorable sur l'immobilier, et les successions. Personne n'a dit ici c'est que c'était un système juste, et c'est justement parce qu'il s'agit d'un paradis fiscal qu'il n'est pas juste, il n'y pas de redistribution équitable. En Polynésie les exceptions aux codes des impôts font que l'on peut faire fondre son imposition comme neige au soleil. On transforme l'Impôt sur les sociétés (33 %) en taxes sur les transactions en nom propre 5% cf( les roulottes). Les charges patronales deux fois plus faible qu'en France, pas de taxe sur la plus-valu immobilière, droits des successions beaucoup plus faible, pas d'impôts sur le revenu, au final tu t'y retrouves largement. Je rappel que la dernière tranche d'imposition en France C'est 45%, donc on verse à l'état près de la moitié de son salaire quand on gagne 150 000 euros par parts. On confond beaucoup de choses ici, la suisse est un paradis bancaire, la Polynésie Française est un paradis fiscal pour les personnes physiques, l'imposition directe est parmi les plus faible au monde. L'imposition directe ne te laisse aucun choix, la TVA est un impôt à assiette large, il permet de collecter facilement, et d'un point de vue macroéconomique c'est le moins déletère. Ce sont les marges colossales des importateurs le problème et le manque de compétition qui maintiennent les prix à niveau trop élevé. Quand au service publics, je ne vois pas la différence, pour donner un exemple, le système de santé en Polynésie Française est meilleur que ce lui de la France, ticket modérateur plus élevé, Généralisation du Tiers-payant (kiné, dentiste etc.) pas de médecin référent etc.

33.Posté par inconnu le 17/03/2013 06:04 | Alerter
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La question que l'on doit se poser, c'est ce que signifie adopter la départementalisation. Si ce que l'on souhaite c'est un système juste peu importe la prospérité économique sans opportunités on un endroit inéquitable mais prospère. Qui dit qu'un système est juste ou non, le communisme est le plus équitable au monde on a vu ou ça conduit. La première conséquence de la départementalisation c'est une imposition française qui étranglera la Polynésie. On ne peut pas compter sur l'exportation qui est extrêmement faible, donc le peu d'activité qu'il y a est basé sur la consommation. L'impôt sur le revenu qui ne l'oublions pas touche pas que les riches, mais la classe moyenne=diminution du pouvoir d'achat immédiat et par voie de conséquence de la consommation. La TVA est également très élevée en France aussi, ça ne changera rien à l'imposition indirecte. Mais le secteur qui sera le plus touché c'est l'immobilier et donc le batiment. De plusieurs manière d'abord, Un régime fiscal sur les successions parmi les plus spoliant du monde. Un ISF=première part 800 000 euros donc tout ce qui ont une maison à Taina, lotus, Tetavake etc. 0,5% an de la valeur du patrimoine etc. Ceux qui vivent des revenus du capital, exemple celui qui perçoit des loyers, la moitié à l'état. Exil fiscal des ménages fortunés de Tahiti vers la nouvelle-zélande, les états-unis etc. Donc tout un tas de biens invendable sur le marché. Une diminution drastique de l'activité dans le batiment secteur fondamental à Tahiti, avec fermeture d'entreprise et licenciement. La départementalisation fera exploser une bulle immobilière avec des propriétaires terriens qui verront leur patrimoine sacrément dévalué. Une chute sans précédent de l'activité dans le batiment deuxième secteur clé après le tourisme chomage de masse avec distributions de prestations sociales. Quand au dispositif de défiscalisation c'est pas terrible mais leurs disparition immédiate seraient extremement destructeur pour le batiment et le tourisme

34.Posté par wakrap le 17/03/2013 08:35 | Alerter
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@ inconnu, tu ne réponds pas à mon propos qui est que seuls les entreprises et les non salariés paient un impôts sur le revenu, pas les salariés et les fonctionnaires. Et tu dis en plus qu'ils faudrait qu'ils en paient encore plus. C'est du racisme social no plus, ni moins. Propos immoral.
Quant aux charges patronales, elles ne sont pas plus patronales que salariale, la différence est artificielle, c'est in fine le salarié qui paie car tout ceci est déduit de son salaire global car cela constitue le coût salarial qui devrait intégralement revenir au salarié qui devrait librement choisir son assurance maladie et retraite.

35.Posté par inconnu le 17/03/2013 09:17 | Alerter
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@wakrap la moitié de mon propos à été retiré ou je fais la démonstration que ce serait une catastrophe de passer par une départementalisation, je ne sais pourquoi. Mais justement je dis tout l'inverse, pour moi il ne faut surtout pas mettre l'impôt sur le revenu, il faudrait même réduire l'impôt sur les société! Quant aux charge le patrons en paie les deux tiers, le alarié un tiers. Pour le reste ça n'as strictement aucun sens, une entreprise ne paye pas l'impôt sur le revenu mais l'impôt sur les sociétés, quant à l'impôt sur le revenu ,fonctionnaire ou pas, salarié tout le monde le paie du moins en France. A tahiti on a la très modeste CST, un veritable paradis fiscal pour les personnes physiques.Quand ont met tout bout à bout c'est à dire l'impôt sur les successions notamment ridicule chez nous. La morale n'a rien avoir là dedans, il faut cesser d'etre dans l'idéologie et penser pratique

36.Posté par Bud le 17/03/2013 12:02 | Alerter
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@Inconnu, la seule chose que tes longs commentaires produisent, c’est nous éclairer sur la très grande méconnaissance qu’ont les gens sur la réalité de notre fiscalité polynésienne. Encore une fois, n’essaye pas de comparer ce qui n’est pas comparable. En Polynésie ce sont les impôts indirects qui représentent le plus gros pourcentage des prélèvements fiscaux. Cet impôt, pas moins de 35% sur la valeur CAF des produits, se retrouve additionné au prix de vente des marchandises. C’est pour cette raison que l’on dit que cet impôt est injuste car pour une canette de coca-cola que tu payes, tu t’acquittes de l’impôt sur un montant fixe, que tu sois riche ou pauvre. L’avantage de l’impôt direct c’est qu’il est proportionnel à ta richesse. Enfin, sache que chez nous, lorsque tu possèdes des biens fonciers, tu payes des impôts, quand tu fais des plus values, tu payes des impôts. Il n’y a que pour les droits de succession que nous soyons d’accord.

37.Posté par JC le 17/03/2013 12:08 | Alerter
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@Inconnu, si le fenua etait un paradis fiscal, on en serait pas là, on serait envahis des milliardaires de tout poil voulant investir sur n'importe quoi chez nous....Quelque chose ne va pas dans ton analyse.

38.Posté par Toerau le 17/03/2013 12:21 | Alerter
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Voilà qui est un débat intéressant ! Nous avons tous pu faire le constat que même certains dirigeants politiques se présentant aux prochaines élections ne savent même pas comment ça marche, comment le pays fonctionne. Ils nous parlent de reforme fiscale, alors qu’ils ne savent même pas comment tout ça fonctionne. C’est là peut être qu’est le véritable drame du pays.

39.Posté par inconnu le 17/03/2013 14:32 | Alerter
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@JC on en a un paquet de multimillionnaire intéressé par la fiscalité faible sur le patrimoine, les successions, les revenu du capital, les revenu tout cours t'inquiète pas, ils partent depuis 2004 en masse.@bud c'est également chez moi, c'est pour ça que je peux comparer. C'est sans commune mesure en terme d'imposition à partir du moment ou tu gagne 1,5 fois le smig. Le pb c'est que vous ajouté des choses qui n'ont rien à voir. Tu hérite d'une tante en France c'est 70% à l'état, tu peux ajouté toute l'imposition indirect que tu veux (genre sur la taxe sur le jardinage) ça change rien. Met simplement le régime fiscal sur les successions et l'immobilier de la France, et c'est l'insurrection générale vu que les tahitiens sont avant tout des propriétaires terriens. Sans compter les histoires d'indivis!

40.Posté par inconnu le 17/03/2013 14:34 | Alerter
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@bud regarde tahiti ou polynésie française paradis fiscale sur google, tu verras le nombre de sources sur le net, qui te ferons la démonstration exhaustive des avantages fiscaux dont on dispose. Y compris de la part d'avocat fiscaliste.

41.Posté par inconnu le 17/03/2013 14:41 | Alerter
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Je rappel qu'en France la dernière tranche d'imposition sur le revenu c'est 45% pour 150 000 euros annuel soit quasiment la moitié versé à l'état. Donc il te reste 80 000, lance çà à Tahiti tu vas voir, et ça fera bien plus que toute tes taxes indirectes. Le choix n'est pas d"ordre moral mais d'efficacité macroéconomique, tu veux un système juste mais qui marche pas, ou un système prospère qui crée des opportunités. Je le rappel, ya pas département d'outre-mer qui prospère sur le plan économique. Tant qu'à faire on fait un état communiste tout le monde gagne pareil et ce sera super équitable et super juste...

42.Posté par wakrap le 17/03/2013 16:20 | Alerter
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Non, inconnu, tu rêves, va voir ce lien déjà donné, l'IRPP avec ses pseudos 45% c'est peanuts en métropole en raison du système fiscal usine à gaz : http://www.contrepoints.org/2013/02/11/114473-tout-le-monde-paie-des-impot

43.Posté par wakrap le 17/03/2013 16:25 | Alerter
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Mettre le système fiscal français ici, c'et la faillite du peu d'économie locale comme dans les DOM et le chômage qui passe de 20 à 50% sur le champ. D'autre part j'ai lu que la TVA c'est pas bien. Non et non. La TVA est un impôt parfaitement juste car il est proportionnel: celui qui gagne deux fois plus en paie deux fois plus car il dépense deux fois plus. L'IRPP n'est pas proportionnel mais progressif : celui qui gagne 2 fois plus paie 10 fois plus, et ça c'est profondément injuste..

44.Posté par Bud le 17/03/2013 17:11 | Alerter
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@Inconnu, Je pense que nous n’avons pas la même compréhension de ce que c’est que l’imposition indirecte. Je te parle de l’imposition qui est fondue dans le prix de vente des produits à la consommation, hors PPN bien entendu. Celle qui est prélevée en tant que droit d’entrée sur tous les produits qui sont importés, y compris ceux made in France et que les commerçants nous répercutent. Soit 30 à 35 % de la valeur CAF, (Coût + Fret). Si tu prends le total des marchandises importées en valeur Cfp sur une année, tu ajoutes la valeur du fret, tu appliques 30 à 35 % sur ce montant, tu divises ce montant par le nombre des foyers fiscaux et tu obtiens une idée de ce que ça représente. On est bien loin du paradis fiscal !

45.Posté par wakrap le 17/03/2013 19:25 | Alerter
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Une imposition indirecte est une imposition qui n'est pas liée au revenu des personnes mais qui est liée à leurs dépenses ou capital. Par exemple les très riches, les très très riches qui possèdent des fortunes mais n'ont pas de revenu et vivent de leurs rentes, ne paieraient strictement aucun impôt sur le revenu et seuls les impôts indirects les atteignent. Les riches adorent l'IRPP car n'y sont pas soumis, et les gogos suivent le discours des politiciens bien souvent très riches qui défendent l'IRPP.

46.Posté par inconnu le 18/03/2013 00:58 | Alerter
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@warkrap je suis totalement d'accord avec toi sur le fait qu'il ne faut pas rajouter d'impôts et que la TVA est la meilleur manière de récupérer des recettes fiscales sans pénaliser l'activité, l'Allemagne l'a fait, la France maintenant y pense. Au cours des réformes shroder en Allemagne, la TVA a augmentée de 3 points sans que le niveau général des prix n'augmente du fait de la concurrence, sans compter que ça taxe aussi les importations qui permettent aux entreprises étrangères de désendetter la Polynésie. @bud: le cout est une charge indirecte certes mais pas un impôt ça peut pas se prendre en compte, la taxe sur les importations oui