PAPEETE, le 7 mai 2019 - La chambre de l’instruction a rejeté mardi l’appel du parquet demandant le placement en détention provisoire du docteur Gilles Soubiran. Le praticien, mis en examen le 25 avril dernier pour « agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans » a cependant vu son contrôle judiciaire alourdi. Désormais assigné à résidence à temps complet, Gilles Soubiran se retrouve donc de fait dans l’incapacité d’exercer.
Mis en examen pour « agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans » le 25 avril dernier, l’ancien président du conseil de l’ordre des médecins avait d’abord été incarcéré avant un débat différé devant le juge des libertés et de la détention pour décider de son maintien ou non en liberté durant le reste de l’enquête.
Suite à ce débat, le médecin avait été placé sous surveillance électronique. Mesure dont le parquet avait fait appel.
Cet appel a été rejeté partiellement par la chambre de l’instruction, qui a refusé mardi le placement en détention provisoire mais qui a toutefois assigné le docteur Soubiran à résidence à temps complet. De ce fait, le médecin n’est plus en capacité d’exercer.
Mis en examen pour « agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans » le 25 avril dernier, l’ancien président du conseil de l’ordre des médecins avait d’abord été incarcéré avant un débat différé devant le juge des libertés et de la détention pour décider de son maintien ou non en liberté durant le reste de l’enquête.
Suite à ce débat, le médecin avait été placé sous surveillance électronique. Mesure dont le parquet avait fait appel.
Cet appel a été rejeté partiellement par la chambre de l’instruction, qui a refusé mardi le placement en détention provisoire mais qui a toutefois assigné le docteur Soubiran à résidence à temps complet. De ce fait, le médecin n’est plus en capacité d’exercer.
