Tahiti, le 16 avril 2024 – La rapporteure publique a conclu, ce mardi au tribunal administratif de Papeete, à l'irrecevabilité des requêtes déposées par les agents du Centre de traitement des appels.
Les requêtes des agents du Centre de traitement des appels (CTA) ont été estimées irrecevables par la rapporteure publique ce mardi au tribunal administratif. Pour rappel, cinq pompiers avaient déposé un recours en novembre dernier pour enjoindre la commune d'Arue, où est implanté le centre, à entre autres, reconstituer leur carrière et instaurer des indemnités pour les heures effectuées les dimanches et jours fériés... En effet, même si l'un des agents expliquait à Tahiti Infos jeudi dernier que les conditions de travail s'étaient grandement améliorées au CTA, avec de nombreuses mesures mises en place, certains points restaient en suspens, notamment sur la reconstitution des carrières, où certains pompiers, passés auparavant par la fonction publique d'État, souhaitaient voir intégrée cette ancienneté dans leur nouvelle attribution dans la fonction publique communale.
Malheureusement pour eux, la rapporteure publique a décrété que ces requêtes étaient irrecevables, en raison de la forme du recours. La magistrate a également conclu au rejet de la demande des pompiers, qui revendiquaient une somme de 200 000 francs en raison du préjudice moral subi. Le tribunal rendra sa décision le 30 avril prochain.
Les requêtes des agents du Centre de traitement des appels (CTA) ont été estimées irrecevables par la rapporteure publique ce mardi au tribunal administratif. Pour rappel, cinq pompiers avaient déposé un recours en novembre dernier pour enjoindre la commune d'Arue, où est implanté le centre, à entre autres, reconstituer leur carrière et instaurer des indemnités pour les heures effectuées les dimanches et jours fériés... En effet, même si l'un des agents expliquait à Tahiti Infos jeudi dernier que les conditions de travail s'étaient grandement améliorées au CTA, avec de nombreuses mesures mises en place, certains points restaient en suspens, notamment sur la reconstitution des carrières, où certains pompiers, passés auparavant par la fonction publique d'État, souhaitaient voir intégrée cette ancienneté dans leur nouvelle attribution dans la fonction publique communale.
Malheureusement pour eux, la rapporteure publique a décrété que ces requêtes étaient irrecevables, en raison de la forme du recours. La magistrate a également conclu au rejet de la demande des pompiers, qui revendiquaient une somme de 200 000 francs en raison du préjudice moral subi. Le tribunal rendra sa décision le 30 avril prochain.
