L'île de Rapa a essuyé des rafales de vents violents, dont la force pouvait atteindre plus d'une centaine de kilomètre à l'heure.
Dans la nuit du lundi 5 au mardi 6 août, l’île de Rapa a essuyé une série de vents violents. Les dégâts ne sont pas importants. Ces derniers n’ont pas épargné les deux villages principaux de l’île, Ahurei et Area.
« D’après nous, et il était tard dans la nuit, les vents soufflaient à près de 100 km/h. » nous expliquait le maire de Rapa, Narii Tuanainai. Selon lui, les dégâts font état d’une partie de la toiture du hangar des services de l'équipement qui a été arrachée, ainsi que de deux autres toitures appartenant à des particuliers. On compte également des fils téléphoniques et électriques coupés par les chutes de branches. Les équipes communales s’activent actuellement pour rétablir les connexions.
Même constat dans le petit village de ‘Āreva. Là, deux toitures ont été arrachées. Elles provenaient d’un fare d’un particulier et de la maison de prière du village. Interview tôt ce mardi matin, le tāvana est positif : « Heureusement, il n’y a aucune victime. ». Bien que la procédure de relogement ne soit pas d’actualité, la commune a toutefois convenu de fournir du matériel (bois, tôles, clous et autres) ainsi qu’une équipe d’ouvriers lesquels aideront les sinistrés à réparer les toitures arrachées. Cela devrait réduire le coût des dégâts qui s’élèverait à 2 millions de francs.
TP
« D’après nous, et il était tard dans la nuit, les vents soufflaient à près de 100 km/h. » nous expliquait le maire de Rapa, Narii Tuanainai. Selon lui, les dégâts font état d’une partie de la toiture du hangar des services de l'équipement qui a été arrachée, ainsi que de deux autres toitures appartenant à des particuliers. On compte également des fils téléphoniques et électriques coupés par les chutes de branches. Les équipes communales s’activent actuellement pour rétablir les connexions.
Même constat dans le petit village de ‘Āreva. Là, deux toitures ont été arrachées. Elles provenaient d’un fare d’un particulier et de la maison de prière du village. Interview tôt ce mardi matin, le tāvana est positif : « Heureusement, il n’y a aucune victime. ». Bien que la procédure de relogement ne soit pas d’actualité, la commune a toutefois convenu de fournir du matériel (bois, tôles, clous et autres) ainsi qu’une équipe d’ouvriers lesquels aideront les sinistrés à réparer les toitures arrachées. Cela devrait réduire le coût des dégâts qui s’élèverait à 2 millions de francs.
TP
