PORT-MORESBY, mercredi 26 juin 2013 (Flash d’Océanie) – La police papoue de la capitale Port-Moresby tente toujours d’établir les circonstances exactes, ainsi que les implications, dans le cadre de l’assassinat, sous forme de quasi-exécution, de quatre ressortissants chinois retrouvés morts dans la nuit de mardi à mercredi.
Les quatre victimes seraient de nationalité chinoise, et tous âgées d’une cinquantaine d’années, rapporte mercredi la radio nationale NBC.
Leurs corps ont été retrouvés, lacérés de blessures infligées par des armes de type sabre d’abattis, a précisé le chef des opérations de la police de la capitale, Perou N'Dranou.
L’un des corps avait été décapité.
Deux des victimes, un couple, dirigeaient une entreprise locale, un supermarché.
Les deux autres victimes seraient des employés de la même entreprise.
C’est un cinquième employé, également chinois, rescapé de cette attaque, survenue aux alentours de 21h00 locales mardi (GMT+9), qui a alerté la police.
Il est toujours interrogé par les enquêteurs, notamment afin de reconnaître d’éventuels perpétrateurs parmi les suspects depuis interpellés.
La police déclare pencher pour le moment pour la thèse d’un cambriolage qui aurait mal tourné.
L’ambassade de Chine, en réponse aux questions des médias locaux, a depuis fermement démenti la thèse selon laquelle ce quadruple meurtre serait l’œuvre de triades chinoise et s’inscrirait dans le cadre d’un règlement de comptes entre entrepreneurs rivaux dans la capitale papoue.
pad
Les quatre victimes seraient de nationalité chinoise, et tous âgées d’une cinquantaine d’années, rapporte mercredi la radio nationale NBC.
Leurs corps ont été retrouvés, lacérés de blessures infligées par des armes de type sabre d’abattis, a précisé le chef des opérations de la police de la capitale, Perou N'Dranou.
L’un des corps avait été décapité.
Deux des victimes, un couple, dirigeaient une entreprise locale, un supermarché.
Les deux autres victimes seraient des employés de la même entreprise.
C’est un cinquième employé, également chinois, rescapé de cette attaque, survenue aux alentours de 21h00 locales mardi (GMT+9), qui a alerté la police.
Il est toujours interrogé par les enquêteurs, notamment afin de reconnaître d’éventuels perpétrateurs parmi les suspects depuis interpellés.
La police déclare pencher pour le moment pour la thèse d’un cambriolage qui aurait mal tourné.
L’ambassade de Chine, en réponse aux questions des médias locaux, a depuis fermement démenti la thèse selon laquelle ce quadruple meurtre serait l’œuvre de triades chinoise et s’inscrirait dans le cadre d’un règlement de comptes entre entrepreneurs rivaux dans la capitale papoue.
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