Le prévenu, interpellé le 29 mai dernier à Faa’a en état d’ébriété, avait menacé les gendarmes en indiquant qu’il voulait les tuer. Il avait ensuite jeté une chaise sur le véhicule de la gendarmerie. Déjà condamné trois fois pour des faits similaires, l’homme a écopé d’une peine de 4 mois de prison ferme assortie d’un mandat de dépôt.
Les forces de l’ordre avaient été appelées à intervenir sur la base d’un témoignage leur indiquant que deux hommes, particulièrement ivres, présentaient un comportement agressif. Sur les lieux, les trois gendarmes s’étaient heurtés à l’un des deux hommes qui les menaçait de « les tuer. » L’individu s’était emparé d’une chaise qu’il avait jeté sur la fourgonnette de la gendarmerie.
Présenté ce jeudi en comparution immédiate, le prévenu, sans emploi, s’est montré très calme. Il a exprimé des regrets. Sans convaincre le tribunal qui l’a interrogé sur son casier judiciaire, et notamment sur ses trois condamnations pour outrage et rébellion. L’individu n’a pas su expliquer la raison pour laquelle il se montrait violent avec les forces de l’ordre.
Le procureur de la République a requis un an de prison dont six mois avec sursis, le tout assorti d’un mandat de dépôt : « c’est la quatrième fois qu’il essaie d’en découdre avec les forces de l’ordre. Les faits sont inacceptables. »
Bien que l’avocat du prévenu ait indiqué que son client devait commencer une formation professionnelle en juillet prochain, le tribunal l’a condamné à huit mois de prison dont 4 avec sursis. Il a également ordonné un mandat de dépôt.
Les forces de l’ordre avaient été appelées à intervenir sur la base d’un témoignage leur indiquant que deux hommes, particulièrement ivres, présentaient un comportement agressif. Sur les lieux, les trois gendarmes s’étaient heurtés à l’un des deux hommes qui les menaçait de « les tuer. » L’individu s’était emparé d’une chaise qu’il avait jeté sur la fourgonnette de la gendarmerie.
Présenté ce jeudi en comparution immédiate, le prévenu, sans emploi, s’est montré très calme. Il a exprimé des regrets. Sans convaincre le tribunal qui l’a interrogé sur son casier judiciaire, et notamment sur ses trois condamnations pour outrage et rébellion. L’individu n’a pas su expliquer la raison pour laquelle il se montrait violent avec les forces de l’ordre.
Le procureur de la République a requis un an de prison dont six mois avec sursis, le tout assorti d’un mandat de dépôt : « c’est la quatrième fois qu’il essaie d’en découdre avec les forces de l’ordre. Les faits sont inacceptables. »
Bien que l’avocat du prévenu ait indiqué que son client devait commencer une formation professionnelle en juillet prochain, le tribunal l’a condamné à huit mois de prison dont 4 avec sursis. Il a également ordonné un mandat de dépôt.
