Présidences: Le conseil politique du Tahoera’a Huira’atira confirme ses choix

Les élus du Tahoera’a Huira’atira, sont visiblement incapables d’avoir un esprit critique.
Car au vu des délires politiques et économiques de Gaston Flosse en public, La France risque de mettre fin à sa perfusion budgétaire en Polynésie très rapidement.
En effet, si les décideurs politiques du prochain gouvernement de la Polynésie autonome ne mettent pas en œuvre de véritables projets économiques, et si le prochain gouvernement n’arrête pas immédiatement les fausses bonnes idées de Gaston Flosse, ( comme le projet hôtelier Tahiti Mahana Beach où, ce « machin » à copain, le laboratoire d’idées stratégiques), les mécontentements sociaux en Polynésie vont dangereusement augmenter.
Ces mécontentements augmenteront jusqu’à l’explosion sociale d’une frange importante de la population polynésienne, qui faute, d’avoir une perspective pour elle-même et pour ses enfants, risque de s’exprimer par la violence.
En Polynésie autonome le viol des libertés individuelles, (chez la femme ou chez l’homme), le manque d’accès à la santé par le manque de structures adaptées, les handicapés qui sont les grands oubliés des autorités territoriales et de l’État, les nombreux vieux abandonnés par une Politique sociale inadaptée des gouvernements successifs, l’absence d’une véritable politique de la jeunesse, les familles qui implosent par la méconnaissance même de leurs droits, fait de la Polynésie autonome, une collectivité française de non-droit.
Cet espace de non-droit est la conséquence de statuts politiques d’autonomie mal rédigés, parce que les initiateurs de ces statuts n’ont jamais tenu compte des véritables besoins humains et sociaux de ces « Français » du bout du monde.
Les partis politiques en Polynésie autonome sont, (à force de nombrilisme), des usines à vent que seuls les nébuleux arrivistes de l’État comprennent et méprises.
Gaston Flosse et une majorité d’élus polynésiens, (pour maintenir leurs privilèges personnels), asphyxient, par un pseudo-langage social, la population du pays qu’elle prétend capable de diriger.
Mais la vérité sociale, en Polynésie autonome, est bien autre, car, il y a une majorité de famille polynésienne qui a perdu ses repères traditionnels, (les chefs de...

Les élus du Tahoera’a Huira’atira, sont visiblement incapables d’avoir un esprit critique.
Car au vu des délires politiques et économiques de Gaston Flosse en public, La France risque de mettre fin à sa perfusion budgétaire en Polynésie très rapidement.
En effet, si les décideurs politiques du prochain gouvernement de la Polynésie autonome ne mettent pas en œuvre de véritables projets économiques, et si le prochain gouvernement n’arrête pas immédiatement les fausses bonnes idées de Gaston Flosse, ( comme le projet hôtelier Tahiti Mahana Beach où, ce « machin » à copain, le laboratoire d’idées stratégiques), les mécontentements sociaux en Polynésie vont dangereusement augmenter.
Ces mécontentements augmenteront jusqu’à l’explosion sociale d’une frange importante de la population polynésienne, qui faute, d’avoir une perspective pour elle-même et pour ses enfants, risque de s’exprimer par la violence.
En Polynésie autonome le viol des libertés individuelles, (chez la femme ou chez l’homme), le manque d’accès à la santé par le manque de structures adaptées, les handicapés qui sont les grands oubliés des autorités territoriales et de l’État, les nombreux vieux abandonnés par une Politique sociale inadaptée des gouvernements successifs, l’absence d’une véritable politique de la jeunesse, les familles qui implosent par la méconnaissance même de leurs droits, fait de la Polynésie autonome, une collectivité française de non-droit.
Cet espace de non-droit est la conséquence de statuts politiques d’autonomie mal rédigés, parce que les initiateurs de ces statuts n’ont jamais tenu compte des véritables besoins humains et sociaux de ces « Français » du bout du monde.
Les partis politiques en Polynésie autonome sont, (à force de nombrilisme), des usines à vent que seuls les nébuleux arrivistes de l’État comprennent et méprises.
Gaston Flosse et une majorité d’élus polynésiens, (pour maintenir leurs privilèges personnels), asphyxient, par un pseudo-langage social, la population du pays qu’elle prétend capable de diriger.
Mais la vérité sociale, en Polynésie autonome, est bien autre, car, il y a une majorité de famille polynésienne qui a perdu ses repères traditionnels, (les chefs de familles ne savent plus aujourd’hui comment éduquer leurs enfants pour leur assurer un avenir avec une visibilité à long terme).
Donc, si les Droits Humains en général ne sont pas, enfin, considérée comme prioritaire, par le prochain gouvernement de la Polynésie autonome, et, si l’État continue à ne pas prendre ses responsabilités face au désastre social en Polynésie autonome, il devient certain que la jeunesse devenue majoritaire exprimera son désespoir par de la violence.