(Photo : Alain Jocard-AFP)
Tahiti, le 27 janvier 2020 - Le ministère du Tourisme précise lundi les mesures de surveillance mises en place localement en collaboration avec la direction de la santé, alors que près de 300 touristes chinois sont actuellement en vacances en Polynésie française.
"A ce jour, environ 300 touristes chinois se trouvent en Polynésie française répartis sur trois îles : Tahiti, Moorea et Bora Bora", précise lundi un communiqué du ministère du Tourisme qui affirme que "ces touristes font l’objet d’un suivi médical particulier, les centres médicaux étant en contact quotidien avec les hôtels d’accueil pour s’assurer qu’aucune personne ne développe la maladie. Si un voyageur était suspecté, il serait immédiatement mis à l’écart avec port de masque, avant que le SAMU le prenne en charge et effectue une mise en quarantaine. Pour le moment, aucun voyageur suspect n’a été signalé".
Tahiti Tourisme a relayé les informations nécessaires auprès des établissements hôteliers.
La plupart des touristes chinois actuellement sur le territoire viennent de Beijing et Shanghai. Ces touristes sont principalement arrivés en Polynésie française via l’aéroport de Tokyo-Narita ou l’aéroport d’Auckland. Un jet privé est arrivé dimanche en provenance de Guam, avec une dizaine de passagers chinois à son bord.
Les services de l’État, Police aux frontières et Direction régionale des douanes, ont été sensibilisés aux risques liés au coronavirus, et ont reçu des consignes tel que le nettoyage des mains avec gel antibactérien, souligne par ailleurs ce message officiel.
En plus des mesures de précaution prises par l'État et le Pays, le gouvernement de la République populaire de Chine a mis en place des portiques détecteurs de fièvre dans l’ensemble de ses aéroports internationaux, et interdit les voyages en groupes vers l’étranger depuis aujourd’hui. En outre, les personnes dont le passeport a été émis à Wuhan ou ayant séjourné à Wuhan ne sont pas acceptées par les compagnies aériennes.
L’aéroport de Tokyo-Narita a aussi mis en place des contrôles auprès de ses voyageurs, avec notamment un formulaire à remplir à l’arrivée. L’aéroport d’Auckland procède aussi à des contrôles auprès de ses voyageurs.
"A ce jour, environ 300 touristes chinois se trouvent en Polynésie française répartis sur trois îles : Tahiti, Moorea et Bora Bora", précise lundi un communiqué du ministère du Tourisme qui affirme que "ces touristes font l’objet d’un suivi médical particulier, les centres médicaux étant en contact quotidien avec les hôtels d’accueil pour s’assurer qu’aucune personne ne développe la maladie. Si un voyageur était suspecté, il serait immédiatement mis à l’écart avec port de masque, avant que le SAMU le prenne en charge et effectue une mise en quarantaine. Pour le moment, aucun voyageur suspect n’a été signalé".
Tahiti Tourisme a relayé les informations nécessaires auprès des établissements hôteliers.
La plupart des touristes chinois actuellement sur le territoire viennent de Beijing et Shanghai. Ces touristes sont principalement arrivés en Polynésie française via l’aéroport de Tokyo-Narita ou l’aéroport d’Auckland. Un jet privé est arrivé dimanche en provenance de Guam, avec une dizaine de passagers chinois à son bord.
Les services de l’État, Police aux frontières et Direction régionale des douanes, ont été sensibilisés aux risques liés au coronavirus, et ont reçu des consignes tel que le nettoyage des mains avec gel antibactérien, souligne par ailleurs ce message officiel.
En plus des mesures de précaution prises par l'État et le Pays, le gouvernement de la République populaire de Chine a mis en place des portiques détecteurs de fièvre dans l’ensemble de ses aéroports internationaux, et interdit les voyages en groupes vers l’étranger depuis aujourd’hui. En outre, les personnes dont le passeport a été émis à Wuhan ou ayant séjourné à Wuhan ne sont pas acceptées par les compagnies aériennes.
L’aéroport de Tokyo-Narita a aussi mis en place des contrôles auprès de ses voyageurs, avec notamment un formulaire à remplir à l’arrivée. L’aéroport d’Auckland procède aussi à des contrôles auprès de ses voyageurs.
