Le spectacle se tiendra les 16 et 17 février à la Maison de la culture. Crédit photo : Thibault Segalard.
Tahiti, le 10 février 2024 - Première répétition général en costume, ce samedi, pour la troupe de l’école de danse chinoise Li Yune, qui se produira sur la scène du grand théâtre de la Maison de la Culture, les 16 et 17 février prochains. Le spectacle, mis en scène par Yvette Cheong Amouy, est en préparation depuis presque un an, et plongera les spectateurs dans la culture chinoise, avec l’interprétation de la légende du dragon de bois et la légende de Chang’e, la déesse de la lune. Retour en image sur cette journée de répétition, une semaine avant les représentations.
Yvette Cheong Amouy : « On fait ce genre de galas tout les deux ans »
Combien de temps avez-vous mis pour monter ce spectacle ?
“On en est a la dernière ligne droite là, mais ça a débuté il y a un an par la réflexion : trouver les thème, les différentes histoires… On travaille sur les danses et les chorégraphies depuis six mois. On fait ce genre de galas tout les deux ans, mais chaque année on propose des danses à l’occasion du Nouvel an chinois.”
Ces danses présentent-elles des chorégraphies traditionnelles ou des créations personnelles ?
“Pour celle du dragon de bois, c’est moi qui ai travaillé, c’est mon interprétation. On fait notamment voyager le dragon sur plusieurs provinces de la Chine… Pour la déesse Chang’e, on s’est basé sur de vielles légendes qu’on nous racontait, petites, et qu’on conte encore aujourd’hui. C’est très important de perpétuer les traditions et de permettre aux jeunes de perpétuer leur culture, à la fois polynésienne et chinoise.”
“On en est a la dernière ligne droite là, mais ça a débuté il y a un an par la réflexion : trouver les thème, les différentes histoires… On travaille sur les danses et les chorégraphies depuis six mois. On fait ce genre de galas tout les deux ans, mais chaque année on propose des danses à l’occasion du Nouvel an chinois.”
Ces danses présentent-elles des chorégraphies traditionnelles ou des créations personnelles ?
“Pour celle du dragon de bois, c’est moi qui ai travaillé, c’est mon interprétation. On fait notamment voyager le dragon sur plusieurs provinces de la Chine… Pour la déesse Chang’e, on s’est basé sur de vielles légendes qu’on nous racontait, petites, et qu’on conte encore aujourd’hui. C’est très important de perpétuer les traditions et de permettre aux jeunes de perpétuer leur culture, à la fois polynésienne et chinoise.”