Le Président de la Polynésie française, Gaston FLOSSE, et le Ministre du Logement, Marcel TUIHANI, ainsi que le maire de Papeete, Michel BUILLARD, ont procédé, lundi après-midi, à la pose de la première pierre du projet immobilier Tamatea, situé sur les hauteurs de l’Uranie, à l’entrée Ouest de Papeete.
Cet ensemble comprendra 60 logements (20 F2, 25 F3 et 15 F4), répartis sur 5 étages, destinés au logement à loyer modéré. En effet, seuls les foyers ayant des revenus plafonnés à 4 SMIG peuvent prétendre acheter ou louer de tels logements, a précisé le promoteur, Franck ZERMATI. Le Pays a apporté son soutien à ce projet par le biais de la défiscalisation. C’est aussi la première fois qu’une société privée est agréée, en Polynésie, pour réaliser des logements de ce type.
Un investissement d’1,3 milliard Fcfp est prévu et la construction, programmée sur environ 14 mois, devrait donner du travail à une soixantaine de personnes. Avant même que les travaux aient officiellement commencé, 90% des logements ont été réservés et le profil des acquéreurs est généralement celui de jeunes de la classe moyenne, de ménages ayant des revenus cumulés équivalant à deux ou trois fois le SMIG.
Le même promoteur prévoit de réaliser l’année prochaine un projet similaire dans la même zone géographique, l’immeuble Tera Matai, qui comprendra 67 logements pour un investissement d’1,5 milliard Fcfp. Des démarches sont en cours pour que ce projet puisse, pour sa part, bénéficier du dispositif de défiscalisation métropolitain.
Le Président de la Polynésie française et le ministre du Logement se sont félicités de la mise en œuvre d’un partenariat public-privé dans le secteur logement social et du logement intermédiaire. La construction de logements sociaux constitue une priorité pour le Gouvernement, a fortiori vu le « retard considérable » accumulé dans ce secteur depuis ces dernières années, a souligné le Président.
Cet ensemble comprendra 60 logements (20 F2, 25 F3 et 15 F4), répartis sur 5 étages, destinés au logement à loyer modéré. En effet, seuls les foyers ayant des revenus plafonnés à 4 SMIG peuvent prétendre acheter ou louer de tels logements, a précisé le promoteur, Franck ZERMATI. Le Pays a apporté son soutien à ce projet par le biais de la défiscalisation. C’est aussi la première fois qu’une société privée est agréée, en Polynésie, pour réaliser des logements de ce type.
Un investissement d’1,3 milliard Fcfp est prévu et la construction, programmée sur environ 14 mois, devrait donner du travail à une soixantaine de personnes. Avant même que les travaux aient officiellement commencé, 90% des logements ont été réservés et le profil des acquéreurs est généralement celui de jeunes de la classe moyenne, de ménages ayant des revenus cumulés équivalant à deux ou trois fois le SMIG.
Le même promoteur prévoit de réaliser l’année prochaine un projet similaire dans la même zone géographique, l’immeuble Tera Matai, qui comprendra 67 logements pour un investissement d’1,5 milliard Fcfp. Des démarches sont en cours pour que ce projet puisse, pour sa part, bénéficier du dispositif de défiscalisation métropolitain.
Le Président de la Polynésie française et le ministre du Logement se sont félicités de la mise en œuvre d’un partenariat public-privé dans le secteur logement social et du logement intermédiaire. La construction de logements sociaux constitue une priorité pour le Gouvernement, a fortiori vu le « retard considérable » accumulé dans ce secteur depuis ces dernières années, a souligné le Président.
