L'enquête autour d'un réseau de proxénétisme et trafic de stupéfiants se poursuit. Un quadragénaire d'origine métropolitaine, gérant d’un établissement de nuit à Papeete, est maintenu en garde à vue pour des faits supposés de proxénétisme, détention et usage de stupéfiants et atteinte sexuelle sur mineur.
Il a été interpellé à sa descente d’avion, en provenance d'Auckland, mercredi 21 novembre à 22 heures. Il est inquiété pour avoir laissé se dérouler dans son établissement des soirées où étaient mêlés consommation de stupéfiants, proxénétisme et recours à la prostitution de mineurs. Ces soirées se déroulaient en présence d'une clientèle triée sur le volet.
L'homme aurait en outre, au cours d’une de ces soirées, eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans. La jeune fille lui aurait été présentée par une entremetteuse, proxénète présumée, responsable d'une agence dite de mannequins, alors que la jeune fille en déshérence, est une mineure en échec scolaire et rupture familiale. Ce fait pourrait valoir au quatragénaire d’être poursuivi pour viol.
La proxénète présumée est entendue sous le régime de la garde à vue depuis mardi, soupçonnée en outre de faits de trafic de stupéfiants.
Tous deux devraient être déférés vendredi devant le juge d'instruction Le Vaillant.
Depuis le début de la semaine, sept personnes ont été placées en garde à vue et, pour l'instant, trois mises en examen ont été prononcées dans ce dossier, deux pour recours à la prostitution de mineurs et un pour trafic de stupéfiants.
Les auditions sont menées conjointement par les services de gendarmerie et de police, sur commission rogatoire du juge Donatien Le Vaillant.
Il a été interpellé à sa descente d’avion, en provenance d'Auckland, mercredi 21 novembre à 22 heures. Il est inquiété pour avoir laissé se dérouler dans son établissement des soirées où étaient mêlés consommation de stupéfiants, proxénétisme et recours à la prostitution de mineurs. Ces soirées se déroulaient en présence d'une clientèle triée sur le volet.
L'homme aurait en outre, au cours d’une de ces soirées, eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans. La jeune fille lui aurait été présentée par une entremetteuse, proxénète présumée, responsable d'une agence dite de mannequins, alors que la jeune fille en déshérence, est une mineure en échec scolaire et rupture familiale. Ce fait pourrait valoir au quatragénaire d’être poursuivi pour viol.
La proxénète présumée est entendue sous le régime de la garde à vue depuis mardi, soupçonnée en outre de faits de trafic de stupéfiants.
Tous deux devraient être déférés vendredi devant le juge d'instruction Le Vaillant.
Depuis le début de la semaine, sept personnes ont été placées en garde à vue et, pour l'instant, trois mises en examen ont été prononcées dans ce dossier, deux pour recours à la prostitution de mineurs et un pour trafic de stupéfiants.
Les auditions sont menées conjointement par les services de gendarmerie et de police, sur commission rogatoire du juge Donatien Le Vaillant.
