Dans le cadre du dispositif « prime à la casse » instauré par le Pays fin novembre 2009, la Société Environnement Polynésien s’est vue confier une mission de traitement des vieilles voitures reprises. En partenariat avec les concessionnaires et une société de remorquage, près de 700 anciens véhicules ont ainsi été récupérés, dépollués et compactés, en 14 mois.
Une mesure pour l’emploi dans le secteur automobile.
Rappelons que le dispositif « prime à la casse » est une aide qui a été instaurée en faveur de la préservation de l’emploi dans le secteur automobile. Prolongée jusqu’au 31 décembre 2010, cette mesure incitative a permis aux automobilistes détenteurs d’un véhicule de plus de huit ans, de bénéficier du soutien financier du Pays et d’un rabais du concessionnaire de leur choix, pouvant atteindre 400 000 Fcfp. Ce rabais était déterminé sur la base de la quantité de dioxyde de carbone émise, par kilomètre, par le véhicule neuf acheté.
400 véhicules récupérés en juin puis près de 300 unités en janvier
Cette mission s’est déroulée en deux temps. Tout d’abord, 400 véhicules ont été collectés auprès des concessionnaires Sodiva, Sopadep, Nippon Automoto, Prestige Auto et Tahiti Automobiles.
La société JB remorquage a été sollicitée pour acheminer les véhicules vers le site de traitement de la SEP basé à Tipaerui.
Puis, en raison de la prolongation de la mesure jusqu’au 31 décembre 2010, 300 vieilles voitures supplémentaires ont été collectées et traitées au niveau du site de Motu Uta, digue ouest.
Une mesure pour l’emploi dans le secteur automobile.
Rappelons que le dispositif « prime à la casse » est une aide qui a été instaurée en faveur de la préservation de l’emploi dans le secteur automobile. Prolongée jusqu’au 31 décembre 2010, cette mesure incitative a permis aux automobilistes détenteurs d’un véhicule de plus de huit ans, de bénéficier du soutien financier du Pays et d’un rabais du concessionnaire de leur choix, pouvant atteindre 400 000 Fcfp. Ce rabais était déterminé sur la base de la quantité de dioxyde de carbone émise, par kilomètre, par le véhicule neuf acheté.
400 véhicules récupérés en juin puis près de 300 unités en janvier
Cette mission s’est déroulée en deux temps. Tout d’abord, 400 véhicules ont été collectés auprès des concessionnaires Sodiva, Sopadep, Nippon Automoto, Prestige Auto et Tahiti Automobiles.
La société JB remorquage a été sollicitée pour acheminer les véhicules vers le site de traitement de la SEP basé à Tipaerui.
Puis, en raison de la prolongation de la mesure jusqu’au 31 décembre 2010, 300 vieilles voitures supplémentaires ont été collectées et traitées au niveau du site de Motu Uta, digue ouest.
Un traitement complet avant exportation.
Dans un premier temps, les voitures ont été débarrassées de tout élément polluant :
batterie, carburant et huile. Ensuite un élévateur déposait le véhicule à compacter entre les
mâchoires de la presse hydraulique. Enfin, les blocs (1m3 pour environ 1 tonne) ainsi
formés ont été stockées dans l’attente de leur exportation en Nouvelle Zélande pour
recyclage.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Stéphanie au 54 34 52.
1 batterie dans la nature = 30 m3 de terre pollués pendant trente ans
1 litre d'huile de moteur dans la nature = 1 million de litres d'eau pollués
Dans un premier temps, les voitures ont été débarrassées de tout élément polluant :
batterie, carburant et huile. Ensuite un élévateur déposait le véhicule à compacter entre les
mâchoires de la presse hydraulique. Enfin, les blocs (1m3 pour environ 1 tonne) ainsi
formés ont été stockées dans l’attente de leur exportation en Nouvelle Zélande pour
recyclage.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter Stéphanie au 54 34 52.
1 batterie dans la nature = 30 m3 de terre pollués pendant trente ans
1 litre d'huile de moteur dans la nature = 1 million de litres d'eau pollués
