De retour de son déplacement à New-York, Oscar Temaru était l'invité du JT de Polynésie 1ère dimanche soir. Le président du gouvernement s'est exprimé sur sa démarche entreprise à l'ONU en faveur de la réinscription de la Polynésie sur la liste des pays non autonomes.
S'il a put rencontrer certains responsables qui selon lui sont prêts à le soutenir dans sa démarche, il convient que seuls le Vanuatu a décidé de prendre la parole pour parler du sujet, et que le sujet ne sera pas abordé à l'ONU avant la 4ème commission dont la date n'est pas à ce jour encore définie. En effet, c'est demain que la commission de décolonisation commencera aux nations unies, mais celle-ci se tiendra jusqu'au mois de novembre et il semble difficile selon Oscar Temaru de connaître précisément la date de ce 4ème comité.
Interrogé sur la légitimité de son voyage à New-York, le président du pays s'est félicité de certaines rencontres: Une visite à un responsable de la société OTEC, groupe spécialisé dans l'énergie thermique des mers, basé à Washington, dont il espère à présent une invitation, afin de mener le Pays vers une indépendance énergétique "Le problème, c'est avec EDT, a estimé Oscar Temaru avant d'annoncer qu'il envisageait un entretien rapide avec la direction du groupe EDT".
( Précisions que depuis plusieurs années le groupe Pacific Petroleium Company dirigé par Albert Moux travaille avec la société OTEC sur le projet d'une centrale offshore d'énergie thermique des mers de 5 mégawatts NDLR)
Le Président a également cité quelques rencontres avec des journalistes Irakiens, des responsables politiques de Roumanie, de Cuba, il a annoncé qu'il prévoyait prochainement un voyage à Cuba.
Oscar Temaru s'est félicité de l'élection de Jean-Pierre Bel à la tête du sénat. Il a évoqué sa rencontre avec Martine Aubry, estimant qu'elle était l'auteur d'une déclaration qu'il estime être très forte lorsqu'elle évoque "qu'il faut en finir avec la république coloniale"
Interrogé sur la situation intérieure du pays, le Président du Pays a estimé que le refus de prêt de la CPS était "une machination menée à son encontre" par "certains energumènes qui veulent à tout prix barrer la route à Oscar Temaru." (sic) "Ils sont animés par une volonté de me faire obstacle pour obtenir l'indépendance", a-t'il exprimé.
Restant vague sur l'attribution des 5 milliards de l'AFD destinés aux investissements du pays, il a affirmé que 2 milliards rentreraient demain dans les caisses du Pays afin d'honorer les échéances, dont les salaires des fonctionnaires, et que le budget serait réajusté grâce à un moratoire sur la défiscalisation ( moins de défiscalisation pendant un certains temps). Il a regretté ensuite que les statuts du pays l'empêche de faire appel à d'autres organismes de paiement tels que le Fonds Monétaire Internationale, la Banque Mondiale de Développement, la Banque Asiatique de Développement qui sont là, estime t-il pour le développement durable des pays indépendants.
Sur la baisse des indemnités des élus, Oscar Temaru, après avoir précisé que les salaires des élus avaient déjà été revus à la baisse en 2004, a estimé que le sujet devait être discuté abondamment avec les organisations patronales et syndicales, même s'il reconnaît que le budget de fonctionnement du pays évalué à 35 Milliards est beaucoup trop important.
S'il a put rencontrer certains responsables qui selon lui sont prêts à le soutenir dans sa démarche, il convient que seuls le Vanuatu a décidé de prendre la parole pour parler du sujet, et que le sujet ne sera pas abordé à l'ONU avant la 4ème commission dont la date n'est pas à ce jour encore définie. En effet, c'est demain que la commission de décolonisation commencera aux nations unies, mais celle-ci se tiendra jusqu'au mois de novembre et il semble difficile selon Oscar Temaru de connaître précisément la date de ce 4ème comité.
Interrogé sur la légitimité de son voyage à New-York, le président du pays s'est félicité de certaines rencontres: Une visite à un responsable de la société OTEC, groupe spécialisé dans l'énergie thermique des mers, basé à Washington, dont il espère à présent une invitation, afin de mener le Pays vers une indépendance énergétique "Le problème, c'est avec EDT, a estimé Oscar Temaru avant d'annoncer qu'il envisageait un entretien rapide avec la direction du groupe EDT".
( Précisions que depuis plusieurs années le groupe Pacific Petroleium Company dirigé par Albert Moux travaille avec la société OTEC sur le projet d'une centrale offshore d'énergie thermique des mers de 5 mégawatts NDLR)
Le Président a également cité quelques rencontres avec des journalistes Irakiens, des responsables politiques de Roumanie, de Cuba, il a annoncé qu'il prévoyait prochainement un voyage à Cuba.
Oscar Temaru s'est félicité de l'élection de Jean-Pierre Bel à la tête du sénat. Il a évoqué sa rencontre avec Martine Aubry, estimant qu'elle était l'auteur d'une déclaration qu'il estime être très forte lorsqu'elle évoque "qu'il faut en finir avec la république coloniale"
Interrogé sur la situation intérieure du pays, le Président du Pays a estimé que le refus de prêt de la CPS était "une machination menée à son encontre" par "certains energumènes qui veulent à tout prix barrer la route à Oscar Temaru." (sic) "Ils sont animés par une volonté de me faire obstacle pour obtenir l'indépendance", a-t'il exprimé.
Restant vague sur l'attribution des 5 milliards de l'AFD destinés aux investissements du pays, il a affirmé que 2 milliards rentreraient demain dans les caisses du Pays afin d'honorer les échéances, dont les salaires des fonctionnaires, et que le budget serait réajusté grâce à un moratoire sur la défiscalisation ( moins de défiscalisation pendant un certains temps). Il a regretté ensuite que les statuts du pays l'empêche de faire appel à d'autres organismes de paiement tels que le Fonds Monétaire Internationale, la Banque Mondiale de Développement, la Banque Asiatique de Développement qui sont là, estime t-il pour le développement durable des pays indépendants.
Sur la baisse des indemnités des élus, Oscar Temaru, après avoir précisé que les salaires des élus avaient déjà été revus à la baisse en 2004, a estimé que le sujet devait être discuté abondamment avec les organisations patronales et syndicales, même s'il reconnaît que le budget de fonctionnement du pays évalué à 35 Milliards est beaucoup trop important.
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