On l’apprend sur le site de l’organisation des Nations Unies : le 24 septembre, le premier ministre de la République de Vanuatu, Meltek Livtuvanu, s’est exprimé au 4ème jour du débat général de la 66ème session de l’ONU en faveur de la réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays à décoloniser.
« Souhaitant que la demande du droit à l’autodétermination de la Polynésie française ne soit pas rejetée, Vanuatu et plusieurs autres îles du Pacifique soutiennent la réinscription de ce territoire français à l’ordre du jour du Comité spécial pour la décolonisation de l'ONU », a indiqué le Premier Ministre en conclusion de son intervention.
Meltek Livtuvanu a également évoqué à la tribune les difficultés économiques auxquelles son île est confrontée. « Comme pour les autres petits États insulaires en développement, la situation économique de Vanuatu est menacée d’instabilité, à cause de la hausse des prix des produits alimentaires et des produits pétroliers ». « De même les effets conjugués des catastrophes naturelles et des changements climatiques menacent l’économie de notre petit État insulaire en développement », s’est inquiété M. Livtuvanu.
Deuxième pays à se prononcer ouvertement en faveur de la réinscription de la Polynésie, les îles Salomon. Leur premier ministre, M. Danny Philip, a tout d’abord rappelé que son pays, ayant connu des conflits récents, était engagé à œuvrer pour la paix. C’est dans ce contexte que son pays a mis en place un partenariat avec les Fidji, Vanuatu et la Papouasie-Nouvelle-Guinée pour mettre sur pied une école de police commune afin de répondre aux catastrophes naturelles autant qu’aux conflits. M. Philip a soutenu à la tribune l’inscription des territoires français de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie française dans la liste de la décolonisation des Nations Unies.
« Souhaitant que la demande du droit à l’autodétermination de la Polynésie française ne soit pas rejetée, Vanuatu et plusieurs autres îles du Pacifique soutiennent la réinscription de ce territoire français à l’ordre du jour du Comité spécial pour la décolonisation de l'ONU », a indiqué le Premier Ministre en conclusion de son intervention.
Meltek Livtuvanu a également évoqué à la tribune les difficultés économiques auxquelles son île est confrontée. « Comme pour les autres petits États insulaires en développement, la situation économique de Vanuatu est menacée d’instabilité, à cause de la hausse des prix des produits alimentaires et des produits pétroliers ». « De même les effets conjugués des catastrophes naturelles et des changements climatiques menacent l’économie de notre petit État insulaire en développement », s’est inquiété M. Livtuvanu.
Deuxième pays à se prononcer ouvertement en faveur de la réinscription de la Polynésie, les îles Salomon. Leur premier ministre, M. Danny Philip, a tout d’abord rappelé que son pays, ayant connu des conflits récents, était engagé à œuvrer pour la paix. C’est dans ce contexte que son pays a mis en place un partenariat avec les Fidji, Vanuatu et la Papouasie-Nouvelle-Guinée pour mettre sur pied une école de police commune afin de répondre aux catastrophes naturelles autant qu’aux conflits. M. Philip a soutenu à la tribune l’inscription des territoires français de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie française dans la liste de la décolonisation des Nations Unies.
