PORT-MORESBY, mardi 22 novembre 2011 (Flash d’Océanie) – Une nouvelle hécatombe, sur fonds de conflits intertribaux, a eu lieu en début de semaine dernière dans la province papoue de Madang et s’st soldée par la mort de treize personnes, prises en embuscades dans ce qui semble être une opération de représailles entre villages rivaux.
La communauté ciblée est celle du petit village de Jiwaka (Hauts-Plateaux de l’Ouest), qui a été prise dans une embuscade par un groupe d’hommes appartenant à une tribu voisine et résidant dans le district de Simbai, à la jonction des régions de Madang, de Ramu et de Jimi, rapporte mardi le quotidien The National
Les assaillants de Simbai semblent avoir profité d’une réunion festive du groupe de Jiwaka pour lancer une attaque, lundi 15 novembre 2011, armés de haches, de sabres d’abattis ou de barres de fer.
Selon les comptes-rendus de la police, plusieurs des victimes auraient péri à l’intérieur de maisons incendiées volontairement par les attaquants.
D’autres, dont les corps restent encore à identifier, auraient été massacrés à coups de sabres d’abattis.
L’enquête, ouverte depuis la semaine dernière, continue à tenter d’établir les mobiles des agresseurs, une poste faisant état d’une affaire d’adultère, une autre privilégiant la thèse d’un conflit foncier entre coutumiers revendiquant les royalties de la mine de nickel proche de Ramu.
Les autorités provinciale demandent par ailleurs depuis la semaine dernière l’envoi urgent de renforts policiers sur zone, afin de contenir toute éventuelle escalade entre parties belligérantes.
En réponse, la police nationale a préféré exhorter les populations riveraines à garder le calme et à ne pas se faire justice elles-mêmes.
La communauté ciblée est celle du petit village de Jiwaka (Hauts-Plateaux de l’Ouest), qui a été prise dans une embuscade par un groupe d’hommes appartenant à une tribu voisine et résidant dans le district de Simbai, à la jonction des régions de Madang, de Ramu et de Jimi, rapporte mardi le quotidien The National
Les assaillants de Simbai semblent avoir profité d’une réunion festive du groupe de Jiwaka pour lancer une attaque, lundi 15 novembre 2011, armés de haches, de sabres d’abattis ou de barres de fer.
Selon les comptes-rendus de la police, plusieurs des victimes auraient péri à l’intérieur de maisons incendiées volontairement par les attaquants.
D’autres, dont les corps restent encore à identifier, auraient été massacrés à coups de sabres d’abattis.
L’enquête, ouverte depuis la semaine dernière, continue à tenter d’établir les mobiles des agresseurs, une poste faisant état d’une affaire d’adultère, une autre privilégiant la thèse d’un conflit foncier entre coutumiers revendiquant les royalties de la mine de nickel proche de Ramu.
Les autorités provinciale demandent par ailleurs depuis la semaine dernière l’envoi urgent de renforts policiers sur zone, afin de contenir toute éventuelle escalade entre parties belligérantes.
En réponse, la police nationale a préféré exhorter les populations riveraines à garder le calme et à ne pas se faire justice elles-mêmes.
