Les parcelles de cette 2e salve d'achat sont situées sur le motu en face de l'ex Club Med.
PAPEETE, le 4 août 2014. Un arrêté du Conseil des ministres du 23 juillet dernier paru dans le Journal officiel daté du 1er août autorise l’établissement public TNAD (Tahiti Nui aménagement et développement) à acquérir 11 parcelles du motu situé face à l’ancien Club Méditerranée, à Moorea. Ces 11 parcelles constituent une réserve foncière de près de 7,5 hectares qui viennent abonder la réserve foncière du Pays en vue d’y développer le projet du Moorea Mahana Beach sur le site de l’ancien complexe hôtelier de l’île sœur afin de créer une nouvelle zone de développement touristique en Polynésie allant de pair avec le Tahiti Mahana Beach à Punaauia. TNAD est autorisé à se porter acquéreur de ces parcelles au prix maximum de 20 000 Fcfp le m2 (hors frais de notaire). Le tout pourra donc représenter au final un investissement de près de 1,5 milliard pour l’établissement public d’aménagement du Pays.
C’est déjà la 2e opération du même type en quelques mois sur ce site de l’ex Club Med. Mi mai, TNAD avait déjà été autorisé par le gouvernement polynésien à acquérir près de 15 hectares (répartis entre une trentaine de parcelles) de l’ancien Club Med de Moorea pour un prix avoisinant les 3 milliards de Fcfp. Au total donc, le Pays pourrait avoir à débourser pas loin de 4,5 milliards de Fcfp pour maîtriser la réserve foncière de ce site qui fut l’un des fleurons de l’activité touristique en Polynésie française jusqu’au début des années 2000. La finalisation de cette opération d’acquisition foncière par le Pays pourrait être achevée d’ici la fin de l’année 2014.
C’est déjà la 2e opération du même type en quelques mois sur ce site de l’ex Club Med. Mi mai, TNAD avait déjà été autorisé par le gouvernement polynésien à acquérir près de 15 hectares (répartis entre une trentaine de parcelles) de l’ancien Club Med de Moorea pour un prix avoisinant les 3 milliards de Fcfp. Au total donc, le Pays pourrait avoir à débourser pas loin de 4,5 milliards de Fcfp pour maîtriser la réserve foncière de ce site qui fut l’un des fleurons de l’activité touristique en Polynésie française jusqu’au début des années 2000. La finalisation de cette opération d’acquisition foncière par le Pays pourrait être achevée d’ici la fin de l’année 2014.
