Marine Le Pen, la présidente du Front National et Louis Aliot, vice-président.
PAPEETE, lundi 18 mars 2013 – Marine Le Pen, la présidente du Front National et Louis Aliot, vice-président, effectuent un bref séjour en Polynésie française du 20 au 22 mars prochains, pour achever une tournée dans le Pacifique ponctuée par une visite de six jours en Nouvelle-Calédonie, du 14 au 20 mars.
Court passage à Tahiti où Marine Le Pen rencontrera les adhérents et sympathisants du Front National polynésien et diverses personnalités la société civile.
La présidente du Front National est l’invitée du journal télévisé de TNTV, mercredi soir. Elle est attendue sur Polynésie première pour l’édition en langue française du JT, le lendemain à 19 heures alors qu’elle reçoit la presse dans la matinée, à l’hôtel Radisson Tahiti.
La candidature Le Pen avait réalisé un score surprise, en Polynésie française, lors du premier tour des élections Présidentielles, le 21 avril 2012, avec 5 151 voix. Elle s’était placée en troisième position derrière la candidature UMP Nicolas Sarkozy (40 611 voix) et le PS François Hollande (29 130 voix).
Alors que la résolution défendue par le Pays pour la réinscription de la Polynésie française sur la liste des territoires non autonomes de l’ONU pourrait être mise au vote fin mars, Marine Le Pen a exhorté ce vendredi à Nouméa les opposants à l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie à se regrouper, en vue du référendum d'autodétermination prévu entre 2014 et 2018.
Depuis l'accord de Nouméa (1998), un processus de décolonisation est en cours en Nouvelle-Calédonie, précédant un référendum d'autodétermination qui doit être organisé au cours de la mandature 2014/2018.
Les élections territoriales de 2014, cruciales pour l'avenir politique du Caillou, aiguisent les ambitions, notamment au sein de la droite non-indépendantiste, qui se déchire.
La présidente du FN a également prôné l'organisation "le plus rapidement possible" du référendum d'autodétermination dont l'issue contre l’indépendance ne fait, selon elle, "aucun doute".
Court passage à Tahiti où Marine Le Pen rencontrera les adhérents et sympathisants du Front National polynésien et diverses personnalités la société civile.
La présidente du Front National est l’invitée du journal télévisé de TNTV, mercredi soir. Elle est attendue sur Polynésie première pour l’édition en langue française du JT, le lendemain à 19 heures alors qu’elle reçoit la presse dans la matinée, à l’hôtel Radisson Tahiti.
La candidature Le Pen avait réalisé un score surprise, en Polynésie française, lors du premier tour des élections Présidentielles, le 21 avril 2012, avec 5 151 voix. Elle s’était placée en troisième position derrière la candidature UMP Nicolas Sarkozy (40 611 voix) et le PS François Hollande (29 130 voix).
Alors que la résolution défendue par le Pays pour la réinscription de la Polynésie française sur la liste des territoires non autonomes de l’ONU pourrait être mise au vote fin mars, Marine Le Pen a exhorté ce vendredi à Nouméa les opposants à l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie à se regrouper, en vue du référendum d'autodétermination prévu entre 2014 et 2018.
Depuis l'accord de Nouméa (1998), un processus de décolonisation est en cours en Nouvelle-Calédonie, précédant un référendum d'autodétermination qui doit être organisé au cours de la mandature 2014/2018.
Les élections territoriales de 2014, cruciales pour l'avenir politique du Caillou, aiguisent les ambitions, notamment au sein de la droite non-indépendantiste, qui se déchire.
La présidente du FN a également prôné l'organisation "le plus rapidement possible" du référendum d'autodétermination dont l'issue contre l’indépendance ne fait, selon elle, "aucun doute".
