PARIS, le 29 juin 2014. Philippe Vigier, le président du groupe UDI à l'Assemblée nationale a salué dans un communiqué ce dimanche "la très belle victoire" de Maina Sage lors des législatives partielles dans la première circonscription de Polynésie française. "Je sais combien il est difficile dans le cadre d'une élection législative partielle de mobiliser les électeurs autour d'un projet. Elle a su le faire avec énergie et conviction", écrit-il. Maina Sage va rejoindre à l'Assemblée nationale le groupe UDI, où siègent déjà les deux autres députés polynésiens, Jonas Tahuaitu et Jean-Paul Tuaiva, appartenant comme elle -depuis quelques mois- au parti orange Tahoeraa Huiraatira qui dispose depuis mai 2013 d’une large majorité au sein de l’assemblée territoriale.
Avec 58,02% des voix, Maina Sage a devancé largement samedi l'indépendantiste Tauhiti Nena (UPLD), qui obtient 41,98% des suffrages. Cette législative partielle était organisée pour remplacer le député Edouard Fritch (UDI), qui a démissionné de l'Assemblée nationale après avoir été élu maire de la commune de Pirae en mars dernier. Edouard Fritch est également président de l'assemblée de la Polynésie française et devait donc faire un choix dans le cadre du non cumul des mandats. Par ailleurs, Edouard Fritch est pressenti pour remplacer Gaston Flosse à la présidence de la Polynésie française, celui-ci étant menacé d'inéligibilité par un arrêt de la Cour de cassation dont la décision est attendu le 23 juillet prochain.
Avec 58,02% des voix, Maina Sage a devancé largement samedi l'indépendantiste Tauhiti Nena (UPLD), qui obtient 41,98% des suffrages. Cette législative partielle était organisée pour remplacer le député Edouard Fritch (UDI), qui a démissionné de l'Assemblée nationale après avoir été élu maire de la commune de Pirae en mars dernier. Edouard Fritch est également président de l'assemblée de la Polynésie française et devait donc faire un choix dans le cadre du non cumul des mandats. Par ailleurs, Edouard Fritch est pressenti pour remplacer Gaston Flosse à la présidence de la Polynésie française, celui-ci étant menacé d'inéligibilité par un arrêt de la Cour de cassation dont la décision est attendu le 23 juillet prochain.
