WELLINGTON, dimanche 23 février 2014 (Flash d’Océanie) – La collectivité française de Nouvelle-Calédonie a entamé ce week-end une mission d’études en Nouvelle-Zélande avec pour maître mot la recherche de solutions les plus adaptées au problème de logement social dans des villes océaniennes.
Cet « échange de pratiques » devrait comporter, côté français, un groupe de l’Association des Maîtres d’Ouvrages Sociaux de Nouvelle-Calédonie (AMOS), a annoncé l’Ambassade de France en Nouvelle-Zélande.
Cette délégation de onze personnes devrait être conduite par William Ihage, Directeur de la Société d’investissement des Iles Loyauté (SODIL), selon les mêmes sources.
Les membres de cette mission se rendront successivement à Wellington (23 et 24 février 2014) puis à Auckland (25 au 27 février 2014).
Ils devraient rencontrer des représentants du Ministère en charge de l’habitat et du logement social, ainsi que l’agence gouvernementale spécialisée dans l’accession au logement social, Housing New Zealand, ainsi que le groupe de soutien au logement des Maori, Te Matapihi.
Parmi les thèmes forts prévus d’être abordés : les expériences, des deux côtés (Nouvelle-Zélande et Nouvelle-Calédonie) en matière d’intégration de la culture océanienne dans un logement social urbain.
Des rencontres sont aussi prévues à la Résidence de France en présence de Laurent Contini, Ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande, et de M. Yves Lafoy, Délégué pour la Nouvelle-Calédonie en Nouvelle-Zélande.
« La problématique du logement social représente une priorité en Nouvelle-Calédonie, notamment pour ce qui est d’intégrer des valeurs océaniennes dans le tissu urbain. La Nouvelle-Zélande dispose d’un savoir-faire en la matière, reconnu dans l’ensemble de la région Pacifique. En effet, Auckland est aujourd’hui peuplé par environ 190 cultures et abrite la plus grande population du Pacifique dans le monde - 2/3 des ressortissants insulaires du Pacifique en Nouvelle-Zélande vivent à Auckland », a remarqué M. Lafoy, qui a coordonné cette mission.
Cette mission s’inscrit aussi dans le cadre plus général de la poursuite du processus d’intégration régionale de la Nouvelle-Calédonie dans son environnement océanien.
Cette démarche est soutenue par les ambassades de France de la région en vue de « contribuer à la coopération grandissante entre la Nouvelle-Calédonie et la Nouvelle-Zélande », estimé l’ambassadeur de France, qui rappelle que pour 2013, cinq visites placées sous le sigle « échange de pratiques » ont eu lieu, autour de thèmes aussi variés que les énergies renouvelables ou la prévention de la délinquance juvénile.
pad
Cet « échange de pratiques » devrait comporter, côté français, un groupe de l’Association des Maîtres d’Ouvrages Sociaux de Nouvelle-Calédonie (AMOS), a annoncé l’Ambassade de France en Nouvelle-Zélande.
Cette délégation de onze personnes devrait être conduite par William Ihage, Directeur de la Société d’investissement des Iles Loyauté (SODIL), selon les mêmes sources.
Les membres de cette mission se rendront successivement à Wellington (23 et 24 février 2014) puis à Auckland (25 au 27 février 2014).
Ils devraient rencontrer des représentants du Ministère en charge de l’habitat et du logement social, ainsi que l’agence gouvernementale spécialisée dans l’accession au logement social, Housing New Zealand, ainsi que le groupe de soutien au logement des Maori, Te Matapihi.
Parmi les thèmes forts prévus d’être abordés : les expériences, des deux côtés (Nouvelle-Zélande et Nouvelle-Calédonie) en matière d’intégration de la culture océanienne dans un logement social urbain.
Des rencontres sont aussi prévues à la Résidence de France en présence de Laurent Contini, Ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande, et de M. Yves Lafoy, Délégué pour la Nouvelle-Calédonie en Nouvelle-Zélande.
« La problématique du logement social représente une priorité en Nouvelle-Calédonie, notamment pour ce qui est d’intégrer des valeurs océaniennes dans le tissu urbain. La Nouvelle-Zélande dispose d’un savoir-faire en la matière, reconnu dans l’ensemble de la région Pacifique. En effet, Auckland est aujourd’hui peuplé par environ 190 cultures et abrite la plus grande population du Pacifique dans le monde - 2/3 des ressortissants insulaires du Pacifique en Nouvelle-Zélande vivent à Auckland », a remarqué M. Lafoy, qui a coordonné cette mission.
Cette mission s’inscrit aussi dans le cadre plus général de la poursuite du processus d’intégration régionale de la Nouvelle-Calédonie dans son environnement océanien.
Cette démarche est soutenue par les ambassades de France de la région en vue de « contribuer à la coopération grandissante entre la Nouvelle-Calédonie et la Nouvelle-Zélande », estimé l’ambassadeur de France, qui rappelle que pour 2013, cinq visites placées sous le sigle « échange de pratiques » ont eu lieu, autour de thèmes aussi variés que les énergies renouvelables ou la prévention de la délinquance juvénile.
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