PAPEETE, le 6 mai 2016. Le Président du Pays -également ministre de l'agriculture- s'est entretenu ce vendredi avec les représentants des deux syndicats des éleveurs de porcs. Ces derniers ont présenté leur projet de stratégie pour faire face à la baisse du cheptel.
Les responsables des deux syndicats d’éleveurs de porcs et le président de l’abattoir, lui-même éleveur de porcs ont été reçu par Edouard Fritch. Ils ont souhaité présenter au président du Pays la stratégie qu'ils comptent adopter pour lutter contre la brucellose, une maladie qui entraîne l’avortement des truies et a détruit une bonne partie des élevages de porcs.
Les éleveurs regroupés en coopérative ont un projet d’installation d’un centre de naissances contrôlées préservé de la brucellose à Taravao. Ce centre permettra de garantir l’approvisionnement des élevages locaux, pour l’engraissement des porcs, avec à la base des porcelets sains. Les éleveurs
ont également exprimé leur crainte quant à un éventuel abandon du système de quotas d’importation des porcs.
Enfin, ils souhaitent que soient revues les bases et l’assiette retenues pour le calcul de la CST agricole dont les règles ont été changées sans concertation en 2014. Autre souci récurrent des éleveurs : le manque d’espace foncier pour satisfaire de nouveaux porteurs de projets d’élevage.
Les responsables des deux syndicats d’éleveurs de porcs et le président de l’abattoir, lui-même éleveur de porcs ont été reçu par Edouard Fritch. Ils ont souhaité présenter au président du Pays la stratégie qu'ils comptent adopter pour lutter contre la brucellose, une maladie qui entraîne l’avortement des truies et a détruit une bonne partie des élevages de porcs.
Les éleveurs regroupés en coopérative ont un projet d’installation d’un centre de naissances contrôlées préservé de la brucellose à Taravao. Ce centre permettra de garantir l’approvisionnement des élevages locaux, pour l’engraissement des porcs, avec à la base des porcelets sains. Les éleveurs
ont également exprimé leur crainte quant à un éventuel abandon du système de quotas d’importation des porcs.
Enfin, ils souhaitent que soient revues les bases et l’assiette retenues pour le calcul de la CST agricole dont les règles ont été changées sans concertation en 2014. Autre souci récurrent des éleveurs : le manque d’espace foncier pour satisfaire de nouveaux porteurs de projets d’élevage.
