Pirae, vendredi 12 octobre 2012 – Le ministre de l’Agriculture a présenté la vocation du prochain Recensement général agricole (RGA) de Polynésie française, qui débute le 22 octobre et enquêtera sur 70 des 118 îles du pays, à travers les cinq archipels, jusqu’en mai 2013.Ce relevé d’informations est financé par un budget de 180 millions Fcfp, grâce à un partenariat Etat/Pays et sera mené par le bureau d’étude Pae Tai Pae Uta en collaboration avec les agents du Service du développement rural.
Le premier recensement général de l’agriculture en Polynésie française avait été réalisé en 1995. Aucune enquête n’a été conduite depuis cette date, sur ce secteur de l’économie, en Polynésie.
En 2010, à la demande du ministère de l’agriculture de la Polynésie française une mission d’appui méthodologique à l’élaboration d’une stratégie de mise en chantier d’un recensement général de l’agriculture et à l’évaluation du coût de l’opération a été diligentée en Polynésie française par le conseil général de l’agriculture métropolitain.
En mai 2012, un appel à concurrence pour la réalisation de ce recueil de données a été lancé dans le cadre d’un marché public. Deux bureaux d’études ont répondu à l’appel d’offres.
Le RGA décline en trois étapes : la réalisation d’un recensement de l’agriculture ; l’actualisation et la finalisation des travaux de cartographie conduits dans le cadre du système d’information géographique (SIG) ; la mise en place d’un système d’information agricole (SIA).
Le RGA s’inscrit dans une démarche visant à améliorer la connaissance de la structure et de la composition des exploitations et des productions agricoles en Polynésie française et à mettre à disposition des décideurs des instruments économétriques performants pour planifier de manière la plus pertinente possible la politique sectorielle.
« L’agriculture polynésienne repose sur deux piliers », constate Kalani Teixeira, ministre de l’Agriculture du gouvernement Temaru, « une agriculture professionnelle et une agriculture de subsistance. Le poptentiel de développement se trouve dans les archipels tels que Marquises, Australes, Tuamotu et îles-sous-le-vent. Il y a aujourd’hui le besoin d’une vision précise des secteurs à mettre en avant. Nous avons besoin de précision, surtout si l’on entend planifier à moyen terme le développement de ce secteur de l’économie du Pays. Au travers de ce recensement nous allons aboutir à une cartographie précise. »
Le premier recensement général de l’agriculture en Polynésie française avait été réalisé en 1995. Aucune enquête n’a été conduite depuis cette date, sur ce secteur de l’économie, en Polynésie.
En 2010, à la demande du ministère de l’agriculture de la Polynésie française une mission d’appui méthodologique à l’élaboration d’une stratégie de mise en chantier d’un recensement général de l’agriculture et à l’évaluation du coût de l’opération a été diligentée en Polynésie française par le conseil général de l’agriculture métropolitain.
En mai 2012, un appel à concurrence pour la réalisation de ce recueil de données a été lancé dans le cadre d’un marché public. Deux bureaux d’études ont répondu à l’appel d’offres.
Le RGA décline en trois étapes : la réalisation d’un recensement de l’agriculture ; l’actualisation et la finalisation des travaux de cartographie conduits dans le cadre du système d’information géographique (SIG) ; la mise en place d’un système d’information agricole (SIA).
Le RGA s’inscrit dans une démarche visant à améliorer la connaissance de la structure et de la composition des exploitations et des productions agricoles en Polynésie française et à mettre à disposition des décideurs des instruments économétriques performants pour planifier de manière la plus pertinente possible la politique sectorielle.
« L’agriculture polynésienne repose sur deux piliers », constate Kalani Teixeira, ministre de l’Agriculture du gouvernement Temaru, « une agriculture professionnelle et une agriculture de subsistance. Le poptentiel de développement se trouve dans les archipels tels que Marquises, Australes, Tuamotu et îles-sous-le-vent. Il y a aujourd’hui le besoin d’une vision précise des secteurs à mettre en avant. Nous avons besoin de précision, surtout si l’on entend planifier à moyen terme le développement de ce secteur de l’économie du Pays. Au travers de ce recensement nous allons aboutir à une cartographie précise. »
