Tahiti, le 21 mars 2020 – Le conseil de l’ordre des médecins a demandé à l’État de « tout mettre en œuvre » pour assurer la protection du personnel de santé de Polynésie française.
Le conseil de l’ordre des médecins a réagi par voie de communiqué suite aux mesures prises par le haut-commissaire de la république française, Dominique Sorain, et le président de la Polynésie française, Édouard Fritch, vendredi. En effet, le conseil a tenu à saluer les mesures de confinement général.
Sans surprise, le conseil a également salué l’engagement des personnels de santé qui, « en première ligne dans cette épreuve, font preuve d’un sens du devoir admirable ». Aussi, le conseil demande-t-il que le personnel de santé soit protégé. Il enjoint donc l’État de « tout mettre en œuvre » pour apporter les moyens et les garanties nécessaires « afin de limiter au maximum les risques liés à l’exercice de leurs fonctions ». Concrètement, il demande à ce que la distribution des équipements de protection au corps médical dans son ensemble soit faite « en tout point de la Polynésie ». Selon le conseil, cette mesure serait « fondamentale, au même titre que le déploiement des dépistages »
Le conseil de l’ordre des médecins a réagi par voie de communiqué suite aux mesures prises par le haut-commissaire de la république française, Dominique Sorain, et le président de la Polynésie française, Édouard Fritch, vendredi. En effet, le conseil a tenu à saluer les mesures de confinement général.
Sans surprise, le conseil a également salué l’engagement des personnels de santé qui, « en première ligne dans cette épreuve, font preuve d’un sens du devoir admirable ». Aussi, le conseil demande-t-il que le personnel de santé soit protégé. Il enjoint donc l’État de « tout mettre en œuvre » pour apporter les moyens et les garanties nécessaires « afin de limiter au maximum les risques liés à l’exercice de leurs fonctions ». Concrètement, il demande à ce que la distribution des équipements de protection au corps médical dans son ensemble soit faite « en tout point de la Polynésie ». Selon le conseil, cette mesure serait « fondamentale, au même titre que le déploiement des dépistages »
