Le ministre en charge du Budget et des Finances, Nuihau Laurey, a signé avec Matahiarii Brothers, directeur général délégué de la Banque Socredo, une convention d’emprunt d’un montant de 1 milliard Fcfp, ce vendredi, pour achever le plan de financement de l'exercice 2015.
PAPEETE, 15 janvier 2016 - Le Pays emprunte 1 milliard Fcfp à la banque Socredo, pour compléter son plan de financement de l’exercice 2015. Les emprunts formalisés dans le cadre de l’exécution du budget de l’année dernière totalisent 7,87 milliards Fcfp, sur un total de 8 milliards Fcfp autorisé par l’assemblée.
Sur le principe, cet emprunt de 1 milliard Fcfp en plus des 6,999 milliards Fcfp prévus par le budget primitif de l’année dernière avait été autorisé par la représentation polynésienne lors du collectif budgétaire de juin 2015, afin de financer le programme des opérations de logement social. Il n’a été formalisé que ce vendredi par la signature avec la banque Socredo d’un prêt convenu sur 10 ans au taux fixe de 2,3 %. La date limite de mobilisation est fixée au 31 décembre 2016.
Cet accord permet à la collectivité polynésienne de boucler son plan de financement en ne sollicitant que 98,39% (7,87 milliards au lieu de 8) des emprunts votés par l’assemblée pour le financement du budget. En conséquence, au 31 décembre 2015, l’encours de la dette totale de la Polynésie française s’établit à 91,936 milliards Fcfp, dont 4,467 milliards Fcfp auprès de la Banque Socredo.
Vendredi à 9 heures, le vice-président de la Polynésie française et ministre en charge du budget et des finances, Nuihau Laurey a signé avec Matahiarii Brothers, directeur général délégué de la Banque Socredo, cette convention d’emprunt d’un montant de 1 milliard Fcfp.
Ce financement nouveau permettra entre autres à la Polynésie française de mener à bien les opérations de construction de logements sociaux programmées dans le cadre du budget 2015 dont un certain nombre de programmes sont actuellement en cours.
Le budget primitif 2016 prévoit un recours à l’emprunt à hauteur de 7 milliards pour l’exercice à venir. Sommes que la collectivité envisage de solliciter auprès d’organismes tels que la Caisse des dépôts et consignations (CDC) ou de l’Agence France Local (AFL), deux entités qui prêtent à des taux voisins de 1 % avec un remboursement étalé sur des durées excédent les 10 ans. La CDC sera sollicitée pour le financement des programmes de logement social prévus au budget 2016, notamment dans le cadre du Contrat de projets, et s’adressera notamment pour le reste à l’AFL, spécialisée dans le financement des collectivités locales, indique Nuihau Laurey.
Sur le principe, cet emprunt de 1 milliard Fcfp en plus des 6,999 milliards Fcfp prévus par le budget primitif de l’année dernière avait été autorisé par la représentation polynésienne lors du collectif budgétaire de juin 2015, afin de financer le programme des opérations de logement social. Il n’a été formalisé que ce vendredi par la signature avec la banque Socredo d’un prêt convenu sur 10 ans au taux fixe de 2,3 %. La date limite de mobilisation est fixée au 31 décembre 2016.
Cet accord permet à la collectivité polynésienne de boucler son plan de financement en ne sollicitant que 98,39% (7,87 milliards au lieu de 8) des emprunts votés par l’assemblée pour le financement du budget. En conséquence, au 31 décembre 2015, l’encours de la dette totale de la Polynésie française s’établit à 91,936 milliards Fcfp, dont 4,467 milliards Fcfp auprès de la Banque Socredo.
Vendredi à 9 heures, le vice-président de la Polynésie française et ministre en charge du budget et des finances, Nuihau Laurey a signé avec Matahiarii Brothers, directeur général délégué de la Banque Socredo, cette convention d’emprunt d’un montant de 1 milliard Fcfp.
Ce financement nouveau permettra entre autres à la Polynésie française de mener à bien les opérations de construction de logements sociaux programmées dans le cadre du budget 2015 dont un certain nombre de programmes sont actuellement en cours.
Le budget primitif 2016 prévoit un recours à l’emprunt à hauteur de 7 milliards pour l’exercice à venir. Sommes que la collectivité envisage de solliciter auprès d’organismes tels que la Caisse des dépôts et consignations (CDC) ou de l’Agence France Local (AFL), deux entités qui prêtent à des taux voisins de 1 % avec un remboursement étalé sur des durées excédent les 10 ans. La CDC sera sollicitée pour le financement des programmes de logement social prévus au budget 2016, notamment dans le cadre du Contrat de projets, et s’adressera notamment pour le reste à l’AFL, spécialisée dans le financement des collectivités locales, indique Nuihau Laurey.
