Richard Bailey en présence du capitaine du navire et du ministre de l’équipement, Luc Faatau.
PAPEETE, le 18 février 2018 - Cela fait désormais vingt ans que le Paul Gauguin sillonne le Pacifique. A cette occasion, une cérémonie a été organisée ce samedi sur le pont supérieur du navire en présence de Luc Faatau, ministre de l’équipement, et de M. Bailey, président directeur général de la société Pacific Beachcomber.
De nombreuses personnalités ont assisté ce samedi à la célébration des 20 ans du Paul Gauguin. Après un discours de M. Bailey, PDG de la société Pacific Beachcomber, les convives ont pu profiter de deux spectacles de danse polynésienne. La soirée s’est achevée par un magnifique feu d’artifice offert par le port autonome. Luc Faatau, ministre de l’équipement, a salué le succès du projet : « Le Paul Gauguin est un très bel exemple de réussite car, vingt ans dans ce milieu, ce n’est pas courant ! Beaucoup n’ont pas résisté, c’est pour cela que je félicite la direction et les actionnaires qui ont bien voulu prendre le risque. La société Pacific Beachcomber est un peu sortie de son activité traditionnelle de l’hôtellerie pour se lancer dans le tourisme de croisière." Interrogé sur le projet de construction d’un dock, le ministre a confirmé que cela était envisagé : « Les bateaux comme le Gauguin ou l’Aranui sont obligés d’aller ailleurs pour faire leurs carénages, et cela correspond à un arrêt d’activité de trois mois. Alors que l’on sait que le Gauguin achète plus de 300 millions de francs par an de produits locaux. C’est pour cela que l’on réfléchit à l’installation d’un dock spécialement destiné à ce type de navires. »
De nombreuses personnalités ont assisté ce samedi à la célébration des 20 ans du Paul Gauguin. Après un discours de M. Bailey, PDG de la société Pacific Beachcomber, les convives ont pu profiter de deux spectacles de danse polynésienne. La soirée s’est achevée par un magnifique feu d’artifice offert par le port autonome. Luc Faatau, ministre de l’équipement, a salué le succès du projet : « Le Paul Gauguin est un très bel exemple de réussite car, vingt ans dans ce milieu, ce n’est pas courant ! Beaucoup n’ont pas résisté, c’est pour cela que je félicite la direction et les actionnaires qui ont bien voulu prendre le risque. La société Pacific Beachcomber est un peu sortie de son activité traditionnelle de l’hôtellerie pour se lancer dans le tourisme de croisière." Interrogé sur le projet de construction d’un dock, le ministre a confirmé que cela était envisagé : « Les bateaux comme le Gauguin ou l’Aranui sont obligés d’aller ailleurs pour faire leurs carénages, et cela correspond à un arrêt d’activité de trois mois. Alors que l’on sait que le Gauguin achète plus de 300 millions de francs par an de produits locaux. C’est pour cela que l’on réfléchit à l’installation d’un dock spécialement destiné à ce type de navires. »
"Très grande réussite"
Pour M. Bailey, qui a racheté le Paul Gauguin il y a dix ans, le bilan est très satisfaisant : « Nous sommes très heureux, tout cela est extrêmement positif. Ce sont vingt ans sans aucun incident ou erreur de navigation. Au niveau de la sécurité en mer, c’est une très grande réussite ( …) Pour la satisfaction clientèle, c’est le top. Nous avons des clients qui font le voyage jusqu’à 30 fois (…) Il y a dix ans, si le Gauguin était parti en Méditerranée, cela aurait été autant de nuitées hôtelières perdues. Nous avions alors décidé de monter au créneau et nous n’avons aucun regret car la synergie est tout à fait opérante. Quand nous avons acquis ce navire, il n’y avait aucune structure commerciale. Il a donc fallu créer une structure dans le marché émetteur de clients. » L’homme d’affaires espère maintenant pouvoir toucher une clientèle plus jeune.
